Login to Kifflire
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon Déconnexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
AU NOM DES LARMES

AU NOM DES LARMES

Histoire de DFMM

5.0
avis
694
Vues
30
Chapitres

Larissa FADIO est une jeune femme de 26 ans qui vit chez son oncle Jacque et sa femme Suzanne. Orpheline depuis l'age de cinq elle a été obligé de vivre avec son oncle et ces frères sont restes au village. Elle n'a pas puis finit ces etudes pour plusieurs raisons du coup depuis deux ans elle suit une formation de couturière dans un atelier de la place. Ce matin encore elle doit s'y rentre elle s'est habillée simplement juste une mini robe qui laisse voir ces longues jambes. Parce que oui Larissa etait geante et avait une corpulence qui lui donnait des allures de mannequins sans oublié son teint chocolat. Decidement elle etait une très belle femme qui n'avait rien à envié aux autres femmes de son age.

Chapitre 1 1

Larissa FADIO est une jeune femme de 26 ans qui vit chez son oncle Jacque et sa femme Suzanne. Orpheline depuis l'age de cinq elle a été obligé de vivre avec son oncle et ces frères sont restes au village. Elle n'a pas puis finit ces etudes pour plusieurs raisons du coup depuis deux ans elle suit une formation de couturière dans un atelier de la place. Ce matin encore elle doit s'y rentre elle s'est habillée simplement juste une mini robe qui laisse voir ces longues jambes.

Parce que oui Larissa etait geante et avait une corpulence qui lui donnait des allures de mannequins sans oublié son teint chocolat. Decidement elle etait une très belle femme qui n'avait rien à envié aux autres femmes de son age.

Larissa FADIO *******

Comme vous avez puis le voir je vis chez mon oncle avec sa femme. Papa Jacque est un homme très calme raison pour laquelle je me suis toujours très bien attendue avec lui qu'avec sa femme. Il est comprehensif et très attentif. Il sait ecouter à lui je peux tout dire sans risque de me faire gronder où rejetter. Sa femme est tout le contraire c'est une personne qui se met facilement en colère et donc c'est pas evident de lui dire certaines choses. Je suis déjà prête pour le travail faut que je me depêche en traversant le salon je suis stopée par tonton Jacque.

Jacque: Larissa tu ne vois puis ? Même pas un bonjour.

__ Desolé Papa je ne t'avais pas vu. Bonjour Papa bien dormir ?

Papa parce qu'en vivant sur son toit je suis devenue sa fille.

Jacque: Je vais très bien et toi ?

__ Je vais egalement bien mais je suis en retard il faut que je file.

Je prends la direction de la porte en toute vitesse. En ouvrant la porte je peux l'entendre me souhaiter une bonne journée. Si je ne me depêche pas je serai en retard et Mr Moustapha ne va pas faire chaire de ma peau. Je suis de religion chretienne mais celui qui me forme est un mulsuman. C'est un homme de la cinquantaine marié propriétaire d'un grand atelier de couture. Dans laquelle je me fais former il n'a certes pas fait de longs etudes mais il maîtrissait l'art de la coupure du tissu et de la confection des vêtements. Après des minutes à me battre avec les taxis qui me filaient entre les doigts j'ai enfin fini par en trouver un. Il vient de me deposer devant l'atelier après lui avoir remit un billet de cinq cent francs. Je file dans l'atelier qui est situé juste en bordure de route. Et dieu merci il n'est pas encore là dieu merci mes deux collègues sont déjà arrivés Prisca et Harlette.

Prisca: Salut Lari pourquoi est ce tu respires de la sorte ?

Harlette: Je suis su qu'elle croyait que Mr Moustapha etait déjà arrivé ?

__ Tu as totalement raison mais bon j'ai eu de la chance cette fois.

Prisca: Tu as eu chaud ( rire)

__ haaaaah c'est ça toujours a rire pour rien. Nous avons beaucoup de travail aujourd'hui nous devons commencer si nous volons le terminer aujourd'hui.

C'est ainsi que nous nous sommes mit au travail et de toute la journée je n'ai pratiquement rien avalé. Il est déjà dix neuf heures c'est l'heure de rentrer je me léve de la chaise mon dos et mes pieds me font atrocements mal. Après avoir dire aurevoir aux filles je ramasse mon sac. C'est avec beaucoup de difficultés que je me rends pour prendre un taxi et avec de la chance je ne suis pas rester planté au bord de route trop longtemps. J'ai très vite trouver un taxi et après quelques minutes j'arrive enfin à la maison. Je toque et c'est la petite Sarah qui vient m'ouvrir.

__ Bonsoir ma puce.

Sarah: Bonsoir tantine Lari

Elle est si mignonne. C'est la cadette de la famille elle n'a que cinq ans. Elle me tient la main et nous entrons ensemble en traversant le salon je vois ma tante assise dans le canapé.

__ Bonsoir maman.

Hé oui même elle je l'appel maman.

Suzanne: La marmite est deposée au feu va terminer de me preparer le repas. Et n'oublie pas qu'il doit être servir avant vingt heures.

Comme toujours mon Bonsoir n'a pas reçu de suite favorable. Sans rien ajouter je remet mon sac à la petite Sarah pour qu'elle le depose dans la chambre avant d'eller à la cuisine. Où je trouve le riz qui mijote au feu doux en laissant un coup d'oeil à coté je vois un seau de tomates écrasée. J'en conclu qu'elle voulait faire de la sauce tomate. J'écrase juste les épices et les autres condiments. Et une heure après j'ai enfin fini je sers les enfants oui parce que seul papa mangeait à table le reste se debrouillaient. Je sers aussi mon oncle avant d'aller prendre un bain la fumée que j'ai obsorbé me met très mal à l'aise. Un bain froid c'est ce que j'ai fait en sortant de la douche je me sens beaucoup mieux.

__ Tantine Lari tu as l'air fatiguée maman ne t'a même pas laissé soufler. Elle exagère même pas un petit repos. Dit Francesca.

Elle etait la fille ainé de mon oncle et nous partageons la même chambre. Elle n'avait que 16 ans mais avait la langue bien pendue. Mon oncle à trois enfants Francesca 16 ans, Laure 12 ans, et sarah 5 ans.

__ Je t'ai toujours dit qu'il ne faut pas parler ainsi de maman .

Francesca: Je sais mais faut avouer que maman en fait un peu trop.

Suzanne: Larissa ! Larissa !

Francesca: Et sa recommence.

Je me demande bien ce que j'ai encore fait.

__ Oui maman j'arrive.

Je sors de la chambre et part voir ma tante au salon.

__ Oui maman.

Suzanne: Pourquoi est ce que tu n'as pas dressé la table ?

__ Mais j'ai déjà tout mit dans les assiettes.

Suzanne: À cause de toi mon mari à dormir sans manger. Tu n'auras pas d'argent de transports et encore moins d'argent de beignet cette semaine.

__ Mais maman.

Suzanne: Fin de la discussion.

Elle s'en va toute furieuse. Pas encore ça fait déjà la deuxieme fois ce mois ci je suis encore obligé de me reveiller tot pour marcher à pied. Je retourne dans la chambre ce que je venais de comprendre m'a fait perdre l'appetit.

Francesca: Laisse moi deviner tu es encore punit ?

__ Oui si te plait suis fatiguée je te pris de me laisser dormir.

Avant de me coucher je met le reveil sur mon telephone pour eviter les suprises de mauvais gouts. Parce que je dois me lever très tot pour effectuer mes taches ménagères avant de m'en allée.

Francesca: Bonne nuit tata Lari.

__ Bonne nuit à toi ma puce.

Le lendemain c'est à quatre heure que je me suis reveillée. Après avoir fini les taches qui m'étaient destinées j'ai commencé mon voyage à pied. Ayant peur d'arriver en retard Je n'ai pas eu de temps d'avaler quelques choses. La chance a encore été de mon coté aujourd'hui et je ne suis pas arriver à en retard. La journée est vite passer et je venais d'arriver à la maison et comme toujours ma tante etait au salon.

__ Bonsoir maman.

Suzanne: Je ne me sentais pas bien dont je n'ai pas puis faire la cuisine donc tu vas immediatement t'y mettre et prepare nous quelques choses.

Je n'attendais pas mieux vennant elle.

Suzanne SIMO*******

Je n'ai jamais supporté la mère de cette fille dont ce n'est pas la fille que je vais supporter. Après la mort de son père parce qu'il a été le premier à mourir elle vivait chez sa grand mère maternelle. C'est après la mort de sa mère que mon idiot de mari s'est proposé pour la prendre et faire d'elle sa fille. Idiot oui parce que mon mari n'en fait qu'à sa tête il m'arrive parfois de demander au ciel ce que j'ai puis faire de mal pour meriter une telle punition. Je lui avais pourtant demander de ne pas l'enméner ici mais il ne m'a pas écouté. Jacque a toujours été un peu mou en parlant du loup on voit la queue.

Jacque: Bonsoir cherie la journée a été ?

__ Bonsoir stressante j'ai la migraine depuis le matin cela m'empeche de faire quoi que se soit.

Cette migraine n'est qu' une excuse pour justifier le fait que Larissa soit entrain de cuisiner. Alors qu'elle vient juste à peine de rentrer.

Jacque: Patience j'espere que cela va te passer. As tu pris des cachets ?

__ Oui mais on dirait que cela n'ont aucun effet puisse que le douleur persiste.

Jacque: Je vois. Francesca ! Francesca ! Appel t - il en asseyant.

Cette dernière arrive en courant.

Francesca: Oui Papa Bonsoir.

Jacque: Comment est ce que tu vas ?

Francesca: Je vais bien Papa.

Jacque: Où sont passés tes soeurs ?

Francesca: Elles sont dans la chambre.

Jacque: Et Larissa est - elle déjà rentrée ?

Francesca: Oui Papa elle doit être à la cuisine.

Jacque: Tient cette argent tu vas aller à la pharmacie acheter un antimigraineux pour ta mère.

__ Pourquoi est ce que tu n'envois pas Larissa ? Il se fait déjà tard ce n'est pas du tout prudent pour elle de marcher à cette heure si.

Jacque: Pourquoi faut - il toujours que tu dramatises tout ? Il n'est que dix huit heure pas minuit. Larissa est à la cuisine comment est ce que tu veux qu'elle laisse la marmite au feu pour se rendre à la pharmacie ?

__ Hum.

Francesca vient juste de s'en aller. Quelques minutes après elle revient avec des medicaments. Cette va nu pied vient juste de servir à manger les enfants sont allés manger dans leurs chambres. Je suis restée au salon avec Jacque.

Larissa: bonne appetit à vous.

Je prends une bouchée que je recrache immediatement.

__ Beurk c'est quoi ça as tu vu des chiens ici ? C'est quoi ça ? Je n'arrive toujours pas à croire qu'à ton vieux age tu ne saches toujours pas cuisiner ? Avec tout ce que je t'ai appris, quel gachis tu me deçois enormement.

Jacque: Suzanne c'est pas la peine d'en faire tout un plat. Cette nourriture n'est pas aussi salé que tu le pretends. Est ce que je dois te rappeler que la dernière fois que tu as cuisiner s'était très salé ? Tellement salé que qu'apres avoir manger je ne sentais puis ma langue.

__ Tu veux me comparer avec cette fille ? Jacque ne me cherche pas okay. Si tu me cherches tu vas me trouver.

Jacque: La verité blessée.

Cette fille va me sentir.

Larissa: Bonne nuit Papa.

Jacque: Comment va le travail ?

Larissa: le travail avance Papa j'en apprend un peu plus chaque jour.

Jacque: As tu déjà acheté le satin qu'on t'a demandé ?

Larissa: Non pas encore.

Jacque: Comment ça tu as pourtant reçu l'argent ?

Larissa: ( suprise) non.

Il se tourne et me regarde ce regard je le connais bien.

Jacque: Suzanne.

__ Quoi ?

Jacque: J'attends une explication je t'ai donné cet argent ?

__ Je t'ai très bien dit ce jour là que j'avais besoin de cet argent pour me coiffé.

Jacque: Ok je te donnerai cette argent demain.

Larissa: Merci Papa.

A repondu cette idiote avant de s'en aller. Après ça nous avons un peu regarde la télévision avant d'aller nous couché. Le lendemain c'est de bonheur que je me reveille en fait il n'était que 3 heures du matin quant j'atterie dans la chambre de Larissa.

__ Larissa ! Larissa

Larissa: Oui maman.

Dit elle en se frottant les yeux ça se voir qu'elle a encore sommeil mais bon ce n'est pas mon probleme.

__ Léve toi.

Larissa: Mais il est trois heures du matin.

Dit elle après avoir regarde l'heure sur son telephone.

__ En quoi est ce que cela me regarde ? Tu vas te lever de ce lit et aller me laver les habits que j'ai trempé. Et fait attention parce que si tu reveilles quelqu'un tu auras de mes nouvelles. Et si tu ne finis pas ces habits pas de travail pour toi aujourd'hui.

Je retourne me coucher dans ma chambre.

Larissa FADIO ******

Pauvre de moi j'étais su que ma tante n'allait pas me rater. Comme toujours je vais payer les peaux casser. C'est avec beaucoup de difficultés que je me léve du lit et traine le pas jusqu'au magasin. Ma bouche est restée grand ouverte quand je vois le fut d' habit qu'elle avait trempé. Tantine Suzanne tu aurais puis trouvé mieux que ça. Je me mets au travail et c'est au environ de neuf heures que j'ai fini. Avec un mal de dos terrible. Après les avoir secher je suis allé prendre un bain bien chaud. Suis trop fatiguée pour aller au travail aujourd'hui je vais inventer une excuse bidon. En me rendant à la cuisine ma tante m'interpelle et je presume que c'est encore pour me chercher des noises.

Suzanne: As tu déjà fini avec les habits ?

__ Oui maman.

Suzanne: Si tu as fini tu peux maintenant deherber les alentours de la maison.

__ Hein ???

Suzanne: Es ce que tu trouves un problème à cela ?

__ Non Biensur que non.

Sans rien ajouter je me suis juste mit au travail. C'est au environ de treize heures que j'ai fini. Oh mon dieu je crois que ma tête va explosé assise devant la télévision depuis le matin, elle ne cesse de changer de chaines. Ma tante ne travaille pas du coup elle passe ces journées à la maison. Mon oncle à même voulu lui donner le capital pour commence un petit commerce mais elle prefère reste à la maison. Je ne sais pas trop pourquoi. Mon estomac à force de n'avoir rien reçu depuis hier a fini par se noué. Ce qui me donne des crampes à l'estomac. Je me suis servit un petit plat que je me met à manger le regard que ma tante pose sur moi m'empeche de bien avaler. On aurait dit qu'elle ne voulait pas que je mange au debut je fais semblant de ne pas la remarquer. Mais après je pars deposer mon plat à la cuisine avant aller m'enfermer dans la chambre. Il n'a pas faillu longtemps pour que le sommeil m'emporte. C'est à 20 h que je me suis reveillée avant aller me recouché et ceci jusqu'au lendemain. Je suis reveillée pas un sceau d'eau froid.

Continuer

Autres livres par Histoire de DFMM

Voir plus

Inspirés de vos vus

Les noces du destin

Les noces du destin

Romance

5.0

Prologue : Dans la pénombre de la vieille demeure Smith, le silence pesant semblait s'étendre, presque palpable. La grande table du dîner brillait encore des éclats des couverts en argent et des verres de cristal, témoins d'une soirée ponctuée de murmures et de regards en coin. Au centre de ce tableau familial, Edward Smith, patriarche et chef de la lignée, trônait en silence, le regard sombre fixé sur les visages de ses fils et petits-enfants. L'annonce de la visite inattendue de la famille Anthony avait laissé un goût amer dans l'air. Cette famille déchue, autrefois proche alliée, venait réclamer l'application d'un accord de mariage ancien, comme une dette oubliée, qu'Edward espérait ne jamais voir resurgir. En observant ses petites-filles, Stellah et Stacey, qui tentaient de défendre leur avenir, il ne pouvait s'empêcher de ressentir un mélange de frustration et de désarroi. Leur révolte était prévisible, légitime même, mais l'accord ancestral était inéluctable. C'est alors que la tension monta d'un cran, lorsque Richard, son fils cadet, désigna froidement Sandra, la plus jeune petite-fille, pour honorer ce mariage imposé. Sandra, la fille d'Andrew, celle que tous avaient dénigrée en silence, celle dont l'existence dans la famille n'était que tolérée. Son retour après dix-huit ans d'absence n'avait fait qu'amplifier le mépris à son égard, comme si elle représentait à elle seule les erreurs et les hontes de la lignée. Les regards se tournèrent vers Sandra. Cette dernière, d'un calme glacial, écouta les injures et le mépris qui fusaient de toute part. Les reproches, les mots cruels de ses grands-parents et oncles pleuvaient, tentant de la réduire à l'ombre qu'ils s'étaient évertués à voir en elle. Mais au milieu de cette tempête, elle se leva, silencieuse, et marcha lentement vers eux. Son visage impassible cachait une détermination que nul n'avait anticipée. - Je vais épouser Levy Anthony, déclara-t-elle d'une voix implacable, coupant court à toutes les protestations. L'effet fut immédiat : la pièce entière plongea dans un silence choqué. Et dans ce calme soudain, Sandra posa ses conditions, son regard défiant la famille entière. Elle avait accepté, oui, mais elle n'était pas sans armes. Les mots froids de Sandra firent frémir l'assemblée, rappelant à chacun l'ultimatum inscrit dans l'accord ancestral : si une des petites-filles refusait de s'unir aux Anthony, la fortune des Smith s'évanouirait dans des œuvres de charité, anéantissant la vie de privilèges à laquelle ils étaient accrochés. Ce soir-là, la maison des Smith fut témoin d'une scène qui changerait le cours de son héritage, où un simple accord allait sceller les destins et révéler l'inflexible volonté d'une jeune femme longtemps rejetée, mais qui allait, contre toute attente, renverser les règles de cette famille.

Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre