Login to Kifflire
icon 0
icon Recharger
rightIcon
icon Historique
rightIcon
icon DĂ©connexion
rightIcon
icon Télécharger l'appli
rightIcon
Ma solitude, ma liberté et mes erreurs

Ma solitude, ma liberté et mes erreurs

NANDITÉ

5.0
avis
11.1K
Vues
21
Chapitres

Prologue Salut les lecteurs et lectrices de nanditĂ©. J'vais vous raconter mon histoire. J'pense qu'il est grand temps de me vider la tĂȘte. C'est une grande occasion pour moi de me libĂ©rer l'esprit dans l'anonymat. Peut-ĂȘtre certaines personnes me jugeront mais, je ne vais pas en faire tout un tas de problĂšme, car j'ai des questions Ă  rĂ©soudre dans ma tĂȘte. L'essentiel est que j'serve d'exemple pour d'autres filles qui seront peut-ĂȘtre victimes ou qui vivent la mĂȘme situation que moi. J'aurai beaucoup plus Ă  gagner qu'Ă  perdre. Ça me permettra de tirer des conclusions et des conseils dans le futur, grĂące Ă  vos commentaires et messages. Ma solitude et ma libertĂ© sont mes erreurs. Je m'appelle DADA prĂ©nom d'emprunt bien sur. J'suis sĂ©nĂ©galaise de Kolda. J'ai 32ans maintenant vivant au bled plus prĂ©cisĂ©ment Ă  Dakar dans un quartier de la place. J'en suis Ă  ma 5Ăšme annĂ©e de mariage, si j'peux l'appeler ainsi, je ne sais pas si j'suis toujours dans les liens du mariage ou dans un autre monde. J'sortais avec un homme qui Ă©tait vraiment un dĂ©brouillard et qui faisait des choses pour moi, malgrĂ© sa situation difficile. Il Ă©tait journalier dans une sociĂ©tĂ© de notre village natal. J'avoue que j'suis une femme trĂšs belle mais cette beautĂ© m'a jouĂ© de mauvais tour. J'croyais que le monde m'appartenait. Avec le temps, j'commençais Ă  avoir un appĂ©tit grandissant pour l'argent. Au dĂ©but, j'Ă©tais fidĂšle Ă  mon petit ami ALLODI avec qui nous avons passĂ© 7ans de relation. Ce dernier est un homme simple, digne, gentil et surtout pieux. Vous aurez le temps de le connaitre. Le tournant de ma vie a commencĂ© lorsque j'suis venue Ă  Dakar avant de rencontrer Bachir. A suivre... NanditĂ© : Les confessions d'une femme dĂ©sespĂ©rĂ©e. J'espĂšre que vous ĂȘtes prĂȘts Ă  voyager dans un autre train. A chaque fois, que j'veux abandonner, j'reçois des histoires qui mĂ©ritent vraiment de partager. Merci Ă  Dada d'avoir proposĂ© cette histoire. Elle mĂ©rite d'ĂȘtre partagĂ©e. J'Ă©tais obligĂ© de sortir ma plume pour Ă©crire cette confession. On va se lancer. J'suis au premier rang pour Ă©couter et dĂ©couvrir avec vous ce qu'elle a Ă  raconter. Dada, la page est Ă  toi. Pour le moment tout ce que j'peux dire : InfidĂ©litĂ©, solitude, amour, trahison, dĂ©ception, tout y est. A bon entendeur...

Chapitre 1 01

1Ăšre Partie : Dada en personne

Au dĂ©but, j'Ă©tais une femme simple, rangĂ©e, ambitieuse certes mais qui avait les pieds sur terre. Je ne pensais et ne croyais qu'en mes Ă©tudes. J'vivais dans ma rĂ©gion natale de KOLDA. Avec le temps et les compliments des hommes qui venaient pour le travail dans ma rĂ©gion, j'ai fini par me prendre la tĂȘte et j'pensais que j'Ă©tais la plus belle femme au monde. J'Ă©tais trop courtisĂ©e par les Ă©trangers qui Ă©taient affectĂ©s Ă  Kolda. Les enseignants, les professionnels de diffĂ©rentes sociĂ©tĂ©s etc. Heureusement que j'avais un copain qui savait toujours me faire redescendre sur terre. Mon ALLODI d'amour, qui Ă©tait toujours lĂ  pour moi, il m'imposait de prier chaque jour. Avec lui, je ne marchais pas sur l'or mais j'ai eu Ă  comprendre ma religion et quelques valeurs de la vie. Il Ă©tait digne, il vivait Ă  la sueur de son front. Il me respectait Ă©normĂ©ment. J'peux jurer que des personnes ont pĂ©chĂ© Ă  cause de nous. J'passais trop de temps avec lui dans sa chambre et j'peux jurer qu'il ne m'a jamais demandĂ© de coucher avec lui. Nous flirtions parfois comme tout couple mais il n'est jamais allĂ© loin. Il me disait tout le temps, j'attends le grand jour pour passer Ă  l'acte. J'Ă©tais heureuse Ă  ses cĂŽtĂ©s. Je ne voulais pas rentrer chez moi, lorsque j'Ă©tais avec lui. Le dĂ©but de notre relation, il Ă©tait chĂŽmeur, malgrĂ© ses diplĂŽmes. Il a fait une formation en architecture. J'partageais mon argent de poche avec lui. Je ne suis pas issue d'une famille trĂšs aisĂ©e mais papa et maman me gĂątaient avec leurs faibles moyens. Allodi, courageux qu'il est, aprĂšs quelques recherches de travail sans succĂšs, il a mis ses diplĂŽmes Ă  cotĂ© pour se trouver un travail de journalier dans une sociĂ©tĂ© fraichement installĂ©e dans notre rĂ©gion. Il voulait et tenait vraiment Ă  rĂ©ussir dans la vie pour subvenir au besoin de sa famille et me marier. Il Ă©tait l'aĂźnĂ© d'une famille de 7 personnes. Il percevait 3.000F par jour au dĂ©but de son travail avant de passer Ă  5.000F. AprĂšs chaque descente, il prenait 1.000F pour son transport, il donnait 1000F Ă  sa maman et l'autre billet, il me le confiait. Il ne prenait plus mon aide. J'Ă©tais trop contente de son courage. Il pensait trop Ă  sa famille. AprĂšs 2 mois de travail, il est passĂ© Ă  5.000F par jour Ă  cause de son courage. Il a Ă©conomisĂ© jusqu'Ă  avoir de quoi prendre une chambre, vu que sa maison familiale devenait de plus en plus petite Ă  cause des cousins et cousines qui venaient de part et d'autre. Il s'est trouvĂ© une petite chambre de 10.000 F dans une maison modeste. AprĂšs chaque descente, il faisait un crochet chez ses parents pour manger avant de regagner sa chambre. Il a trĂšs tĂŽt su ce qu'il voulait pour lui. Il avait des copains qu'il frĂ©quentait trĂšs rarement. Il ne les voyait que les week-ends. J'peux dire, qu'il Ă©tait trop en avance sur eux cĂŽtĂ© esprit malgrĂ© qu'ils aient tous le mĂȘme Ăąge. Les autres pensaient qu'aux filles mais lui, je ne l'ai jamais vu sur certains dĂ©tails minimes. D'ailleurs, il ne cessait de prodiguer de bons conseils aux autres. Nos rencontres diminuaient de jour en jour. J'ai rĂ©ussi Ă  obtenir mon baccalaurĂ©at avec son aide. Il m'avait donnĂ© un bon coup de main pour rĂ©ussir Ă  mon examen. Il m'expliquait des cours que je ne comprenais pas. AprĂšs mon BAC, j'suis venue Ă  Dakar pour poursuivre mes Ă©tudes Ă  la CitĂ© Universitaire de Claudel. D'ailleurs, le jour de mon dĂ©part, c'est lui qui m'a accompagnĂ© jusqu'Ă  la gare pour que j'prenne le bus. Il m'a remis une somme de 20.000 F en guise d'aide. Je me rappelle jusqu'Ă  prĂ©sent de nos chaudes larmes et de sa derniĂšre parole « Je ne vais pas en rajouter des conseils dĂ©jĂ  reçus. Je te rappelle juste que tu as laissĂ© un homme au village qui ne vit que pour toi. Qui a placĂ© toute sa confiance en toi et qui t'attendra toujours. Inutile de te rappeler mon amour envers toi, parce que tu n'es pas Ă©trangĂšre de mes sentiments. Bonne chance ma belle et n'oublie jamais d'oĂč tu viens. MalgrĂ© les tentations que tu verras, souviens-toi qui tu es. Que ton avenir soit plus radieux que ton passĂ©. A trĂšs bientĂŽt mon amour et courage ».

Une fois arrivée à Dakar, aprÚs mon logement, j'ai fait la connaissance d'une certaine Nabou qui était devenue au fur du temps une amie proche pour ne pas dire meilleure amie. Mes premiers mois à Dakar, J'ai essayé tant bien que mal à garder mes habitudes, malgré les compliments et les regards des hommes. Au début, j'étais casaniÚre mais avec le temps, et l'influence de ma nouvelle amie, j'ai accepté de sortir certains jours pour manger de la glace. Un soir de samedi, nous avions croisé au glacier un homme mature qui avait les 50taines, d'aprÚs mon imagination mais un homme correct, civilisé et riche cÎté apparence. Il m'a interpellé en sortant du glacier. Je ne voulais pas lui répondre mais Nabou m'a poussé vers cet homme. Le monsieur était correct et bien éduqué. Il est venu vers nous avant de nous tendre la main. Il embrasse la mienne avant de me dire devant mon amie.

L'homme : Excuse-moi, tu n'aurais pas l'heure, parce que depuis que je t'ai vu, j'ai perdu la notion du temps. On s'est déjà vu quelque part ? Non. Tu ressembles énormément à ma prochaine copine qui sera trÚs bientÎt ma femme.

J'souris avant de regarder ma copine d'un air étonné. Il est un bon dragueur ce mec. J'ai toujours gardé le silence avant d'enlever ma main.

L'homme : Je m'appelle prince et j'suis charmant, on m'a dit que tu me cherchais ? Rire non j'blague, je me nomme Bachir au cas oĂč mon vrai nom t'intĂ©resserait. AÏE... AÏE...AÏE, en posant une de ses mains dans son cƓur.( J'croyais qu'il allait piquer une crise. J'ouvre grand les yeux en me mĂ©fiant) il reprend la parole.

Bachir : J'ai besoin d'une bouche Ă  bouche, car j'viens de me noyer dans votre regard tueur. Est-ce que j'peux connaitre votre nom.

J'respire profondément avant de sourire à nouveau. Intérieurement, je me disais qu'il est complÚtement fou ce vieux. Avec mon silence, il reprend la parole.

Bachir : En attendant, je t'appellerai Google, parce ce que tu es tout ce que j'recherche.

Face à ses belles paroles de pure drague, Nabou était visiblement séduite et j'avoue aussi que j'commençais à trouver ce monsieur drÎle. Ma copine prend la parole.

Nabou : Elle s'appelle Dada, elle est timide et moi c'est Nabou sa meilleure amie. J'vous laisse discuter. Oups, avant de m'en aller, tu es vraiment drĂŽle et tu ne te trompes pas, tu es un vrai prince charmant. Bonne discussion.

J'essayais de la retenir de la main mais elle se dĂ©tache et nous quitte. J'Ă©tais Ă©tonnĂ©e d'entendre Nabou dire qu'elle Ă©tait ma meilleure amie. Nous nous sommes connues ici et nous n'avons mĂȘme pas fait 6 mois et elle parle de meilleure amie. Pourtant je l'avais parlĂ© de mon Allodi et elle Ă©tait contente pour moi. Ils ont mĂȘme Ă©changĂ© aux tĂ©lĂ©phones. Mais bon, façon, c'est son problĂšme. J'gardais toujours le silence et ce Bachir reprend la parole.

Bachir : Face Ă  ce silence, j'pense que j'vais porter plainte pour excĂšs de beautĂ© sur la voie publique. J'crois que tu auras besoin d'un bon avocat pour t'en sortir. A moins que tu complĂštes quelque chose qui manque sur mon portable pour ĂȘtre sauvĂ©e : Ton numĂ©ro.

J'voulais sortir quelques mots de ma bouche mais mon tĂ©lĂ©phone sonna et c'Ă©tait mon ALLODI. J'Ă©tais contente et soulagĂ©e de recevoir cet appel qui tombait Ă  pic. J'profitais pour partir mais le monsieur me suivait. Je ne me suis pas gĂȘnĂ©e en rĂ©pondant Ă  cet appel « Bonsoir mon amour, je n'attendais que ton appel pour me coucher. Tu ne dois pas me faire ça mon cƓur, tu sais que j'aime t'entendre tout le temps. Stp, promets-moi que tu seras beaucoup plus attentif Ă  mon Ă©gard. Tu sais que tu es ma vie et que je ne peux pas vivre sans toi. DĂ©jĂ  la distance me ronge et si le silence s'y rajoute que ferai-je ? » En bon gentleman qu'il est, il s'excuse avant de promettre d'ĂȘtre plus attentif. J'souris et j'Ă©tais soulagĂ©e. Mon grand Ă©tonnement, c'est ce monsieur qui me suivait toujours. Mon amour m'a demandĂ© oĂč est-ce que j'Ă©tais et je l'ai menti en disant que j'Ă©tais devant la porte de notre chambre. Il demande Ă  parler Ă  Nabou, heureusement, qu'elle Ă©tait avec moi. Cette derniĂšre confirme mes propos avant de me redonner le tĂ©lĂ©phone. AprĂšs quelques minutes, on s'est dit Ă  demain. Bachir prenait tout son temps, il en profitait pour Ă©changer avec Nabou. Voyant que j'ai raccrochĂ©, il me dit « Waouh, j'dis merci Ă  cet homme vient de raccrocher. A cause de lui, j'ai entendu une douce et suave voix. Mon Dieu, quelle voix. Dada, j'vais ĂȘtre bref : Tu es une fille qui vit un amour Ă  distance, genre, une fille qui vient du village laissant son copain lĂ -bas et qui vit l'amour d'adolescence. C'est une belle chose mais j'pense que j'ai une carte Ă  jouer. Parce que j'viens de comprendre que tu as menti pour la premiĂšre fois ton copain en disant que tu Ă©tais devant la porte de votre chambre. Et ce n'est jamais un bon signe dans un couple. Les mensonges tuent l'amour ». J'finis par m'Ă©nerver en entendant ses paroles.

Dada : Je ne te permets pas de parler de moi sur ce ton. Je n'ai pas menti, j'essaie juste d'éviter des problÚmes avec le seul homme que j'aime et que j'aimerai de ma vie. J'connais ton genre, tu es un beau parleur et je te dis dÚs à présent tu n'as aucune chance avec moi. Va sortir ton numéro ailleurs. J'ai mon homme et je me marierai trÚs bientÎt.

Bachir : (Waouh en applaudissant). Quelle lionne, j'aime les griffes des lionnes. Ça me motive encore plus. Tu dis que tu es amoureuse patati patata bon c'est normal, si tu ne l'Ă©tais pas, j'ne prendrai pas le risque d'ĂȘtre le premier mec Ă  te draguer. Je ne sais pas si tu suis le foot mais il y'a toujours un gardien de but mais n'empĂȘche que les adversaires cherchent Ă  marquer des buts malgrĂ© sa prĂ©sence. Donc, considĂšres-moi comme un adversaire et ton mec comme un gardien de but. J'ferai tout mon possible pour marquer mon but. J'ai fait un oufff de soulagement lorsque j'ai su qu'il n'Ă©tait qu'un simple copain. J'vous ai assez emmerdĂ©. J'vous laisse ma carte de visite au cas vous aurez besoin quelque chose. Nabou m'a expliquĂ© que vous ĂȘtes des Ă©tudiantes. Connaissant la vie estudiantine, j'vous remets ça pour vos quelques besoins. J'suis un peu pressĂ© mais j'allais vous ramener jusqu'Ă  l'universitĂ© mais prenez un taxi. (Il me tend des billets que j'refuse de prendre mais Nabou les prend avant de dire au revoir. Ce Bachir me touche les joues avant de nous tourner le dos). Il monte dans une luxueuse voiture 4x4 noir vitre teintĂ©e. Nabou arrĂȘte un taxi, durant tout le trajet, j'suis restĂ©e silencieuse et je m'en veux d'avoir menti mon ALLODI. A notre arrivĂ©e, Nabou compte l'argent, le monsieur nous a remis une somme de 50.000 F CFA. Nabou Ă©tait trĂšs contente.

Nabou : Pourquoi tu es silencieuse ma belle. Tu n'as rien fait de mal. J'sais que tu te culpabilises Ă  cause de ton mec mais tu n'as rien fait de grave. Tu as menti pour sauver ton couple. D'ailleurs, prend ton argent. Il est gĂ©nĂ©reux ce Bachir. Premier jour, il te donne 50.000 F, jusqu'oĂč irait-il s'il a une chance avec toi ? Penses-y.

Je n'acceptais pas de prendre cet argent. Nabou les range dans son sac avant de me dire « Ils sont bien gardĂ©s. Si tu en as besoin, fais signe ». Elle se dĂ©shabille avant de prendre son bain pour se coucher. Cette derniĂšre avait l'habitude de collectionner les mecs. Elle sortait trop avant de revenir avec de fortes sommes d'argent. Il m'arrivait de passer des week-ends seule, parce qu'elle sortait et je ne savais pas oĂč est-ce qu'elle allait. Elle ne revenait que les dimanches nuits et pourtant, elle n'est pas de Dakar, je n'ai jamais essayĂ© de la poser cette question. En tout cas, elle revenait avec beaucoup de nourriture et des boissons. Elle me dĂ©pannait beaucoup. C'est sa vie, ça ne me regarde pas. Chaque nuit, elle parlait au tĂ©lĂ©phone et elle sortait des phrases trop hot et vulgaire pour son Ăąge. Au dĂ©but, ça m'Ă©tonnait mais avec le temps, je me suis habituĂ©e. J'ai pris mon bain Ă  mon tour. Je me suis couchĂ©e en me culpabilisant. Je me sentais sale, d'avoir mentie mon homme qui n'a jamais cessĂ© de me dire mĂȘme ses plus gros secrets familiaux. J'ai trouvĂ© difficilement le sommeil. Nous avions Ă©teint les lumiĂšres mais je n'ai pas fermĂ© les yeux. Nabou a fait un geste Ă©tonnant, son tĂ©lĂ©phone vibrait et elle s'est levĂ©e pour voir si j'dormais. J'ai fait semblant de fermer les yeux avant qu'elle ne dĂ©croche « Bonsoir Bachir, excuse d'ĂȘtre si ingrate. J'devais te faire part de notre arrivĂ©e. Nous sommes bien arrivĂ©s. D'ailleurs, Dada dort actuellement. Comme je te l'ai dit, tu peux tenter ta chance avec elle. Depuis qu'elle est lĂ , elle n'a jamais eu de copain ici. Elle sort avec un simple villageois donc c'est un amour qui finira bientĂŽt. Tu auras tout mon soutien. Bon a demain. » J'suis vraiment surprise et Ă©tonnĂ©e de ses paroles. J'vais digĂ©rer en attendant.

Continuer

Inspirés de vos vus

Autres livres par NANDITÉ

Voir plus
Chapitres
Lire maintenant
Télécharger le livre