Un Milliardaire Pas Comme Les Autres

Un Milliardaire Pas Comme Les Autres

Arcade24

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Dans ce monde, rien ne compte plus pour lui que de prendre soin de son fils. Après une séparation éprouvante Massimo à choisi de se consacrer qu'à son fils ainsi qu'à ses entreprises. L'amour ? Il s'en passe volontier ! Il ne souhaite plus revivre une autre déception amoureuse. Mais lorsqu'il fait la rencontre de la belle Dalia tout change aussi tôt. Cette dernière n'est pas comme les femmes qu'il a connu et cela va compliquer la ligne de conduite qu'il s'était imposé.

Chapitre 1 Chapitre 1

-- Papà! Papa!

J'arrête de discuter au téléphone avec mon interlocuteur, je me retourne pour faire face à cette petite tête blonde qui est assise à table. Très vite, je soupire. Il n'a toujours pas terminé son petit-déjeuner comme je le craignais, je raccroche le téléphone pour me diriger vers lui avec un sourire malgré moi. Un fois que j'ai pris place à côté de lui, il me sourit de plus belle.

-- Sí mio figlio.¹

-- Papà est-ce que je peux sortir de table ?

Je secoue la tête de droite à gauche en le regardant.

-- Sí.

-- Merci papa, il pose sa serviette à côté de son bol de céréales.

-- Une minute!

Il me regarde.

-- Tu finis au-moins ton verre de jus de fruits.

-- D'accord.

Il m'obéit sans discuter et vide son verre de jus sous mon regard observateur.

-- C'est bon papa !

Il me montre son verre de jus vide.

-- Oui.

Il quitte la table pour aller en direction du salon, je quitte à mon tour la table pour le rejoindre. Mais avant tout, je demande à Mafalda si elle a fait son goûter. Elle me le confirme en me le donnant, je remercie cette dernière avant d'aller retrouver mon fils qui a à présent son sac à dos sur les épaules.

-- On y va mio principe.

Il met sa main dans la mienne et nous nous dirigeons vers la voiture qui n'attend que nous.

Une fois confortablement installés nous allons en direction de son école.

Il ne cesse de regarder par la fenêtre de la portière, il semble impatient d'y être.

Après une demi-heure de route, le chauffeur se gare devant son école, il est exactement huit heures pile.

Je descends et laisse descendre mon petit Prince, il s'arrange et me regarde.

-- Bonne journée mon trésor à toute à l'heure, je lui embrasse le haut de la tête après m'être mis à sa hauteur.

-- Merci papa, bonne journée à toi aussi. Il me fait un bisou sur la joue avant de se diriger vers son institutrice qui l'attend déjà.

Je me lève et regarde mon petit prince disparaître derrière les grilles de son école. Je remonte en voiture et je demande à mon chauffeur de me conduire à mon entreprise. Il s'exécute sans tarder, moi je me reconcentre sur mon téléphone.

Après une vingtaine de minutes nous arrivons sur les lieux, je descends de la voiture après que mon garde du corps m'a ouvert la portière. Je gravis les escaliers de mon immense bâtiment et incline la tête à certains moments pour répondre aux salutations de mes employés.

Je pénètre dans l'ascenseur et arrive à mon étage, je sors de ce dernier réponds à la salutation de ma secrétaire et longe le couloir qui mène à mon bureau.

Une fois à l'intérieur, j'ai la surprise de découvrir Milla installée dans mon fauteuil.

-- Milla que me vaut l'honneur de ta visite ? Demandais-je en la dépassant.

-- Bonjour Milla, comment vas-tu ? Je suis heureux de voir que tu me rends une petite visite.

Je passe derrière mon bureau et je retire ma veste avant de prendre place dans mon fauteuil.

-- Milla, je n'ai pas de temps à perdre avec ça mais bon " Bonjour Milla Comment vas-tu ? Je suis heureux de voir que tu me rends une petite visite" est-ce que cela te convient ??

J'ai fini par céder parce que je sais qu'elle n'aurait pas lâché l'affaire.

-- Oui mon très cher frère, fit-elle en croisant ses jambes.

-- Ok , de quoi as-tu besoin ?

Je vais droit au but parce lorsqu'elle vient me rendre visite à l'entreprise c'est qu'elle a besoin d'un truc qui ne concerne que les finances.

Milla est ma petite sœur cadette, elle est mannequin et très dépensière. C'est l'un de ses plus grands défauts, elle ne sait pas gérer.

-- J'ai besoin d'un million de dollars pour me rendre aux Etats-Unis s'il te plaît.

-- Et pourquoi faire ? Tu as bien ton salaire et un compte en banque bien garnie non?

Elle grimace à la suite de ce que je viens de dire.

-- Je sais mais bon j'avais déjà fait exploser mes cartes et j'ai atteint le seuil, elle passe une main dans ses cheveux. Je t'en prie donne le moi, je te rembourserai à mon retour.

-- Si cela peut te faire quitter mon bureau au plus vite, d'accord.

Je sors mon chèque et je le remplis sous ses yeux.

-- Merci !

Elle prend le chèque et se lève.

-- De rien.

Elle fait le tour de mon bureau et vient me faire un câlin, je déteste ce genre de choses. Nous ne sommes plus enfants pour ce genre d'âneries.

-- C'est bon Blondinette, je l'éloigne de moi pour avoir un peu de distance.

-- Quel grincheux tu fais!

Je lui lance un regard qui lui fait peur.

-- C'est bon j'ai rien dit, fit-elle en levant les mains en l'air.

Elle met le chèque dans son portefeuille et me sourit.

-- Bon moi j'y vais on se voit à mon retour bisous, elle prend son sac à main et quitte mon bureau avec un sourire.

Une fois qu'elle quitte mon bureau c'est ma secrétaire qui l'a remplacé, elle me donne mon programme et s'en va. Je me rends en salle de réunion vu que j'en ai une dans dix minutes, elle dure une heure trente minutes.

Après cette interminable réunion, je quitte mon bureau pour me rendre sur le chantier qui est en cours. Et bien je suis en train de faire construire une nouvelle école pour les enfants et les parents qui sont démunis.

Je tiens vraiment à ce que cela fonctionne, ce projet me tient à cœur. Je reçois un appel de Rulio, un de mes nombreux fournisseurs. Il me fait savoir que je ne serai pas livré à tant, cela me met en colère vu que ça va avoir un impact sur mes projets.

Il s'excuse mais bon cela ne va pas régler le problème qui se forme. Je souffle et j'essaie de regagner un peu de calme. Je lui demande de me livrer au plus vite lorsque mes commandes seront prêtes.

Après une demi-heure de route, j'arrive enfin sur les lieux. Je retire ma veste pour être plus à l'aise sur le chantier, je reste donc en chemise blanche.

Filippo vient à ma rencontre, il est le chef de chantier. Il porte son uniforme de travail, une fois devant moi il me salue. Je fais de même et on commence à parler travail. Au bout d'une heure je suis en train de me diriger vers ma voiture, Filippo m'assure que tout rentrera en ordre.

Pendant que je marchais sur le trottoir j'entends à peine un "Attention !! " que je sens soudainement quelque chose sur moi. Ma chemise blanche et mon corps sont tâchés de peinture.

Ça y est c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase.

Je cherche le coupable, je lève la tête et remarque que ce dernier est suspendu en haut sur une nacelle. Lorsqu'il descend de sa nacelle suspendue, il me tarde de lui remettre les idées en place.

J'ai eu la surprise de découvrir une demoiselle en tee-shirt et en salopette avec de la peinture. Elle se dirige vers moi en étant inquiète.

-- Je suis vraiment désolée de ...

-- VOUS NE POUVIEZ PAS FAIRE PLUS ATTENTION ? MAIS QUE FAISIEZ-VOUS SUR CETTE NACELLE ?

Elle semble désolée et se contente de me regarder sans rien dire.

-- ON NE VOUS A PAS APPRIS À NE PAS JOUER AVEC LA PEINTURE ?

Sans mentir, je lui hurle littéralement tellement elle m'a fait perdre le peu de patience que j'avais.

-- Je suis désolée de ce qui vient de se produire mais ce n'est pas une raison pour me hurler dessus, je suis une artiste d'accord ?

Elle me répond sur un ton fort et ferme sans crier. Dites-donc, la petite brunette semble avoir du caractère. Mais moi je suis aussi un homme autoritaire.

-- MAIS QUI VOUS PERMET DE VOUS ADRESSEZ À MOI DE LA SORTE ? JE HURLE SI JE VEUX ET SUR QUI JE VEUX!

Je la regarde de toute ma hauteur, elle est face à moi tel un caniche face à un loup.

-- Vous n'en avez pas le droit ! Vous n'êtes qu'un homme mal poli, ce n'est que de la peinture pas besoin d'en faire un drame...

-- Je vous...

Filippo intervient.

-- Je vous prie Monsieur, calmez-vous s'il vous plaît, je m'excuse auprès de vous de la part de la petite.

La belle brune ne semble pas avoir dit son dernier mot.

-- Oncle Filippo vous...

-- Stop! Il se tourne vers la jeune femme en salopette. Tu en as déjà assez fait, laisse-moi arranger les choses.

Il reporte son attention sur moi. Je ne souhaite plus me donner en spectacle j'en ai fait assez pour aujourd'hui.

Je ne perds pas plus de temps, il est déjà onze heures et demi, j'ai beaucoup mieux à faire que de rester ici.

Une fois dans ma voiture pour rentrer chez moi, il me faut prendre une douche. Je serai un peu en retard pour aller chercher mon petit prince à cause de cette petite insouciante.

¹Oui mon fils.

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