Bonjour Mauricette ! Deux êtres ....chacun venu de son monde. Elle, vie banale, heureuse ouverte libre et indépendante . Lui, vie très active, à la recherche de son âme sœur .. La laissera t-il renter dans cette vie ? Quel est ce mystère ? Qui sont ces deux personnes ?
Prologue
Ndombolo ndombolo a ndombolo ndombolo champion du monde .....
J'étais entrain de tuer sérieusement sur la piste d danse avec ma pine'co Urielle PAMBO (dédicace) en plein NEW SAF ayayaya en mode diva de la boîte dans ma jolie robe qui me moulait le corps, qui était scintillante et s'arrêtait à peine à la naissance des fesses....
Urielle : ma co tu meet le tismé là ?
Moi : où ?
Urielle : A 12h15
Moi (continuant à remuer mon gros bodge là et suivant ses indications) : je le vois hum saignant hein
Urielle : si tu voyais combien de fois il ne fait que te reluquer le cul
Moi (bougeant encore bien mes fesses) : qu'il matte bien même
Urielle : AYANG tu es folle je jure
Moi :
On tuait encore sur la piste puis on alla rejoindre les deux vieux blancs avec qui on était venue en boite Urielle et moi, bon c'est plus moi qui ai entrainé Urielle mais bon.
Clément (le vieux qui me drague) : alors mes belles vous vous amusez bien
Moi(lui faisant un bisous) : trop même c'est l'éclate totale, je suis heureuse
Clément : si tu es heureuse je le suis aussi
Moi : et tu sais que lorsque je suis heureuse je sais te faire plaisir
Clément : et j'adore ça
Moi (coquine) : et ce soir tu vas encore plus adoré
Je sens seulement Urielle me pincer, j'éclate de rire. On passe un excellent moment la boisson coule à flot, moi-même championne du vin j'allume les verres les uns après les autres.
Clément (me tirant sur lui) : viens t'asseoir là
Je ne me fis même pas un peu prier directe je me mis sur sa cuisse et on flirtais, j'imaginais déjà la tête des filles des gens à côté une petite fille comme elle avec un vieux blanc comme ça (encore les gabonais) mais pour moi quoi ? je suis une salope et je l'assume.
Le dj balança encore un nerveux son là ivoirien c'est là où je mourrais directement, moi que tirer ma pineco sur la piste on a fini avec on a gâté le coin jusqu'à mes pieds me faisaient mal et que je voulais me soulager
Moi : ma co : on va au W.C
Ur : oui allons
On parti au toilette, en passant je vis le gar métisse de tout à l'heure qui me fixait toujours avec un verre à la main. Mais je l'ai ignoré je lui fis juste un magnifique sourire puis j'allais dans les vestiaires avec ma copine.
Ur : mouane tu es déchainée ce soir hein façon tu alignes les verres de JB là j'ai même pitié de ton estomac
Moi : hé laisse-ça petite je dois me déchainer parce que quand le vieux là va me faire ce soir là il faut que je sois bien saoule.
Ur : ma copine mais pourquoi ?
Moi : hummm tu le vois là tu penses qu'il est encore fougueux ?
Ur ( surprise) : comment ça ?
Moi : tu vois le vieux la et son pote tu leur donne quel âge ?
Ur : hum 45-50 ans
Moi (rigolant) : où ça ? des vieux pépés comme ça ? ils ont faciles 55-60 ans
Ur (étonnée) : non jure ???
Moi : ma sainte communion
Ur (mine dégoutée) : hum beurk et c'est des vieux comme ça qui veulent nous monter ?
Moi : d'après toi
Ur : moi pardon je ne veux pas ça ce sont les malchances
Moi : kiakiakiakia
Ur : tu ris hein tu vas te démerder avec tes vieux blancs là
Moi : tu penses qu'on boit là cadeau que le repas là c'est cadeau tu sais que les hommes sont des mauvais non
Ur : oui mais cette fois ci tu paieras l'addition pour nous deux en nature pardon 55ans carrément tu veux me donner les malchances ?
Moi : en tout cas du moment que j'ai mon fric le reste la mboukou je m'enfous
Ur : folle va
Je rentre à mon tours je fais pipi puis je viens rincer mes mains
Ur : oui mais ou est le rapport avec les verres que tu ne fait qu'aligner depuis là ?
Moi : c'est pourtant très simple
Ur : explique
Moi : à 55ans tu penses que le gar là bande encore bien ?
Ur : kikikiakaiaki tu es folle
Moi : donc voilà honnêtement il va e baiser en 3 minutes il aura jouit je n'aurai même pas eu le temps de prendre mon pied or si je suis bien bourrée quand il va finir de faire son sketch je vais direct dormir.
Ur : han hannnnn je vois mais yaco hein parce que une vieille bite comme ça dans ton con pardon mieux je me tais
Moi : oui c'est mieux
On finit on retourna sur la piste de danse, c'était la séquence danse hall, nous voilà maintnant en mode RUDE BOY et c'est à où je vois le bébé de tout à l'heure là que venir danser, on se jette un coup d'œil Urielle choppe son pote un gar chocolat bien mignon aussi là et elle le tue, moi je colle encore mon fessier au métisse là je fait descendre ma robe et voilà je joue ça à la Shakira dans un nerveux coup de rein.
Lui : hum tu mounes bien hein
Moi : ah tu trouves
Lui : oui je dirai même très bien
Moi : tu m'envois ravie
C'est là où je me cambre encore plus que tsouaaa tsoua tsouaaaaaa, le dj là aussi il jure que ce soir il va nous tuer sur la piste de danse. Moi que très déchainée objectif numéro 1 faire délirer ce beau tismé là ensuite le faire bander et numéro 3 me le faire tout court.
Je sais déjà que je ne vais pas jouir avec Clément tout à l'heure donc si je peux me faire plaisir avant pourquoi pas. On danse facile 5 chansons ensuite je vais m'asseoir car je vois bien que clément s'impatiente kiakiakia , il emmene là go et il voit un autre gar la gérer IMPOSSIBLE
Moi : bon je te laisse
Lui : oh déjà ?
Moi : oui mon mec va devenir jaloux
Lui : ah ton mec est là et tu danses comme ça avec moi ?
Moi : et pourquoi pas
Lui : je trouve ça juste un peu bizzar
Moi : eh beh tu ne devrais pas
Je vais faire signe à Urielle que je vais m'asseoir, elle me suit
Ur : ton pépéto là il se gonfle déjà
Moi : il est jaloux, il voit sa petite se faire gérer par un jeune
Ur : et quel jeune
On rigola et on alla s'asseoir
Moi (le smackant) : ça va mon bébé
Clé : c'était qui se mec
Moi : un ami ?
Clé : un ami ?
Moi (l'air de rien) : oui
Clé : tu sais que je suis là et tu te frottes à un autre mec, tu te fou de moi
Moi (faussement offusquée) : et puis quoi ? et alors tu sous-entend quoi
Clé :...
Moi : tu penses que c'était qui un dragueur ? tu crois que je suis une bordelle ? non mais attend je te dis c'est un ai c'est que c'set un ami putain
Clé : te faches pas ma gazelle stp
Moi (faisant toujours mon sketch) : tu fais chier tu viens de me gâcher la soirée là
Clé : je m'excuse poussin
Moi (boudant) :...
Clé : allez vient là poussin (il me prit dans ses bras et se mit à m'embrasser pendant de longues minutes)
Au bout de 5 minutes et de deux doigtés je mouillais déjà.
Moi (à son oreille) : bébé
Clé : hum
Moi : j'ai chaud je vais prendre un peu d'air dehors
Clé : ok à toute
Moi (à Urielle) : ma co je vais dehors tu m'accompagnes ?
Ur : allons
On se dirigea vers la sortie, arrivées dehors on croisa Grâce ma cousine (Grâce de SOUZA dédicace)
Gr : oh les tuées
Moi : ton cul
Gr : les gos du SAF, ne pas vous croisez ce samedi soir m'aurait vachement étonnée
Ur : toi-même tu fais quoi là
Gr : non oh pardon je suis avec mes copines et mon gar
Moi : ah ok cool la daronne va top ?
Gr : oui oui
Au même moment j'entendis
... : Bonsoir
On se retourna et on tomba sur le mignon bébé de tout à l'heure
Nous : bonsoir
Bébé (aux filles) : je peux vous l'enlevez deux minutes
Les gos là : oui oui
Il me tendit sa main et m'emmena vers score où était garé sa voiture
Lui : tu m'as dit que tu étais avec ton gar non
Moi : oui pourquoi ?
Lui : alors c'était qui le vieux avec qui tu flirtais ?
Moi : bah c'est lui mon mec
Lui (me regardant choqué) : tu blagues j'espère ?
Moi : non je suis très sérieuse
Il déverrouille sa portière d'une rav 4 grise on monte et on s'installe a l'arrière
Lui (étonné) : tu sais quel âge il a il peut être ton père
Moi : oui mais c'est pas le cas donc
Lui (choqué) il me fixe et ne dit plus rien au bout de 5 minutes
Lui : je m'appelle HENRI
Moi (enchantée) : moi c'est heu Mauricette (putain j'ai donné mon vraie prénom pourtant d'habitude je me fais appelée CLARA bon je m'enfous c'est trop tard
He : enchanté, j'ai 20ans je suis franco-gabonais mon père Français et ma maman gabonaise
Moi : c'était à prévoir
He : et pourquoi ? j'aurai pu être francais de mère et gabonais de père
Moi : non j'en doute les métisses du GABON c'est français du côté du père et c'est généralement c'est parce que vos mères ont fait la vie que je mène là actuellement donc euh c'est presque logique.
He (vexé) : tu clash ma mère là
Moi : non pas du tout, tu as voulu me juger j'ai pris exemple sur ta vie pour contrecarrer.
He : ok
On se fixa près d'une minute et sans comprendre pourquoi j'eus envie de sucer ses jolies lèvres roses alors je rapprochais ma bouche, il ne bougeait pas je m'en foutais je saisis ses lèvres et commença à l'embrasser il répondit à mon baiser. Ce fut un baiser vorace et bestial, on se faisait plaisir mutuellement, il jouait avec ma langue, moi aussi. Je mis ma main dans son pantalon et me mit à le masturber, il devint dur assez rapidement.
Moi : et bien très réactif
Lui : tu me fais de l'effet
Je me mis alors à le masturber puis je le mis dans ma bouvhe je lui fit une pire d'environ 5 minutes, le gar était impertubable. Et ensuite, j'ai juste enlever mon stringe t je me suis empalée sur sa bite. Le régal, on a fait l'amour là car cette-fois ci ce n'était pas la baise que je pratiquais non c'était de l'amour, c'était fusionnel et passionnel, en même temps bestial, je n'avais jamais connu ça par le passé après près d'une heure de pure plaisir (essayer de faire l'amour en étant presque saoule c'est juste génial). On finit par jouir. C'était le pied
Lui : eh merde j'ai pas mis de préservatif
Moi : t'inquiète je prendrais la pillule
Lui : il n'y a pas que ça et les maladies
Moi : je suis clean et toi
Lui : idem
Moi : ok pas de quoi stresser et avant que tu ne dises quoi que se soit quand je fais ma pute j'utiise toujours des preso
Hen : tu es folle
On s'est vite nettoyé et on est descendu
Hen : tu me passes ton numéro
Moi : non
He : pourquoi ?
Moi : c'est pas parce qu'on a baisé qu'on est en couple
He : je sais je voulais juste
Moi : laisse tomber
Je marchais à pas presser en direction de la boîte il me rejoint
He : j'ai kiffé ce moment câlin avec toi c'était génial
Au moment où je voulais répondre je vis clément rouge de colère me cherchant
Moi : eh merde
He : quoi
Moi (me cachant) : mon mec
He : tua s quel âge ?
Moi : tu es sérieux là avec ta question ?
He : très
Moi : 17 ans
He : mais tu fous quoi avec ce vieux tordu
Moi : mêles-toi de ce qui te regarde okay ?
He (vexé) : ok c'est comme tu veux
Moi (regrettant) : attend
He : bye
Il partit j'alalis moi rejoindre Clément
Clé (très faché) : ou étais-tu ?
Moi : heum là ?
Clé (hurlant) : LA ? LA ou ? ça fait plus d'1 heure que tu es sortie
Moi (très sérieuse) : j'ai aperçu l'ami de mon père qui m'a passé un savon et m'a ramené jusque devant chez moi j'avais pas mon téléphone avec moi j'ai du donc revenir en cachette te rejoindre
Clé (avec une têt de con) : ah désolé mon ange
Moi : apprend à poser des questions avant de juger
Clé : ok on y va ?
Moi : euh Urielle ?
Clé : elle est avec l'une de vos amie Grace DE SOUZA
Moi : ok
Clé (me tenant ma sacoche) : tient j'ai pris tes affaires
Moi : merci
Il m'emmena vers sa double cabine, puff je n'ai même pas pu dire au revoir à ma pineco, ni revoir le bébé là pufff. On roula jusque chez lui. Apeine on rentra dans la chambre que monsieur se jette sur moi, il me fit une cave rapide (au fond du cœur je riais juste s'il savait qu'il léchait le sperme d'un autre homme kkrkrkkr) pendant qu'il le faisait je pensais a bébé là et je finis par simuler un orgasme histoire de ne pas le frustrer puis il vint sur moi on fit ce qu'on avait à faire et puis direct même pas 5 minutes ( je vous l'avais dit non, il ne dure pas) il jouie je simulais encore (kiééé pauvre de moi :'( ) pendant tout l'acte je pensais au gar là vraiment j'avais encore la quequete en feu avec ce qu'il m'avait fait, il fallait que je le revois. On s'endormi là, je n'eus pas le temps de mettre le reveil...
Je me reveillais pour faire pipi et j'avais la quequete qui me chauffais toujours je vais à la salle de bain je fais pipi quan je reviens je prend mon téléphone je regarde merde il est 6h25
Moi : putain
Je le révèle
Clé : hum
Moi : bouges-toi il faut que tu me déposes il est 6h25 c'est dimanche mes vieux vont à la messe bouges-toi
Clément se lève met un jean et un tee-shirt et prend ses clés
Moi : tu n'oublies rien ?
Il prend son portefeuille et me remet 450.000f je mets dans ma sacoche et on fil direction chez moi pendant le trajet je tchek mon phone 4 appels en absence de ma petite sœur Andréa ANOUCHKA, je reponds vite au message de ma copine pour lui dire que je suis entrain de rentrer arriver au transfo là où j'habite
Moi : bon j'y vais
Clé : ok bébé
On se smack et je descends je cours direction chez moi en serrant les doigts que les vieux dorment encore arrivée là je cascade la barrière et je vais vers la fenêtre de la chambre que je partage avec ma sœur André ANOUCHKA (dédicace à toi ma chérie), j'ouvre pour me faufiler à l'intérieur et au moment où j'atterris je tombe nez- à-nez avec ELLE
Elle : ohhhhhhhhhhhhhhh TOI LA QU'EST-CE QUE JE VAIS FAIRE DE TOI ?
Moi : bonjour maman
Elle : bonjour maman de quoi ? MURUBWAOU ( à papa) : Jean vient ohh vient voir les choses de ta bordelle de fille
Hééé là je suis foutue mon père va me tuer une fois. Paro=don je vous laisse d'abord je suis dans la grosse merde là... Chapitre 1 : bonjour Mauricette
Héééé non Mauricette toi aussi tu es mal sauvage hein qui t'a même éduquée ? ah oui j'oubliais c'est cette bapunu de Marie là ( les bapunu de la page dans le peace hein). J'ai oublié de me présenter vraiment moi j'ai un gros problème quoi bon ok de m'excuser les sœurs hum quelles sœurs( je ne vous connais pas) là même les gens je vais faire honneur à mon ethnie :)
Je m'appelle AYANG-BI-EMANE Mauricette Lara fille de EMANE EMANE Jean et de OBONE NZE Maureen Lucette (d'où mon prénom Mauricette là), je suis donc un pur produit FANG oui ho fang du grand nord moine BITAM. Donc je disais tantôt que je suis née le 3 mars 1988, à l'époque où se passe les faits j'ai 17ans je suis en classe de 1ere S au Lycée Thuriaf Batsantsa (oui je suis peut-être tuée mais n'empêche côté school je suis hein, ne me négliger pas), je vis une période mouvementée de ma vie qu'il faut que je vous explique.
Mon père et ma mère était fou amoureux l'un de l'autre (c'est ce que je crois ho), donc après mainte tentative ils ont fini par m'avoir mais comme moi je détruis tout sur mon passage j'ai bousillé tous les organes reproducteurs de ma mère (ça c'est moi depuis bébé je fous la merde donc vous me comprenez non), donc après moi là ma mère n'a plus eu aucun enfant, mais comme on vit dans a brousse africaine là et qu' un enfant ce n'est pas assez surtout chez les fang (vous-même vous connaissez leur amour pour les enfants), ma famille paternelle a mis une pression de fous à mon père pour qu'il épouse une autre femme qui saurait lui donner une descendance beaucoup plus nombreuse et par la même occasion un bon héritier donc après 10 ans de lutte mon père épousa sa 2e femme aux yeux des hommes et devant sa famille, elle là c'est celle qui m'a coincé quand je rentrais de ma nuit mouvementée là, MAGANGA KOUMBA Marie elle a 10 ans de moins que mon père et ma mère, belle femme punu hein pas noir noir là non beau teint le teint qui shine bright like a diamond là voilà c'est ça les cheveux là c'est pour elle oh les formes que soyééééééééé sur elle. C'est comme ça que mon père prend un double coup de tête sur la go et voilà elle devient sa deuxième femme.
Quand ils se sont mariés là j'avais 5 ans et elle 26 ans mes parents 36 ans les deux mais ma mère était encore kieeeefff hein (neuve), mais quand les problèmes commencent à monter avec la belle-famille là tu prends même facilement 10 ans en plus, pire encore mon père tellement obnubilé par sa new femme a zappé le lit conjugal de ma mère.
Donc au début tout allait bien en tôt cas à mon niveau papa était très fièr de ses deux épouses, ma deuxième maman, car on m'avait obligé à l'appeler ainsi était douce et aimante avec moi. Tout allait bien dans le meilleure des mondes.
Mais alors que j'eus 11 ans on m'apprit que ma maman souffrait d'une maladie grave et qu'elle était mangée mystiquement, je ne sais pas par qui mais pendant 1 ans et demi j'ai vu ma mère dépérir à petit feu. Elle perdait de plus en plus de kg et perdait de sa clarté jusqu'au jour où elle ne s'est plus jamais réveillée.
Ce fut des moments horriblement durs, le pire pour moi a été le moment où ma belle-mère a commencé à changer avec moi, depuis le temps elle a eu Andréa qui a 12 ans aujourd'hui puis jean-junior âgé de 5 ans.
Ma chère deuxième mère a commencé a être froide et odieuse avec moi me frappant pour un oui ou pour un non. Je vous dis la go avait pris la confiance en maître de maison elle régnait comme pas possible et mon père était devenu si distant avec moi, c'est limite si j'existais pour lui. En dehors du bonjour, bonsoir, bonne appétit, là il n'avait plus trop mon temps. Mais bon, au fil du temps on s'est éloigné sa go me gonflait de plus en plus je n'avais de bonnes relations qu'avec ma petite sœur Andréa, elle s'est ma bouffée d'oxygène avec junior. Et quand j'ai eu 15 ans j'ai appris à sortir et faire la fête puis j'ai vécu un drame qui m'a révolté et j'ai connu la rue, les hommes, et depuis là c'est de pire en pire c'est limite s'il me salue. Je me sens comme seule au monde surtout que j'ai interdiction d'aller chez la famille de ma mère et ils en veulent à mon père car il l'accuse d'être responsable de la mort de maman, du côté de mon père je suis la paria je ne saurais même pas pourquoi en tout cas ma famille paternelle je la hais de toutes mes forces.
Bon assez parler de moi vous saurez plus de moi plus tard
On se smack et je descends je cours direction chez moi en serrant les doigts que les vieux dorment encore arrivée là je cascade la barrière et je vais vers la fenêtre de la chambre que je partage avec ma sœur André ANOUCHKA (dédicace à toi ma chérie), j'ouvre pour me faufiler à l'intérieur et au moment où j'atterris je tombe nez- à-nez avec ELLE
Elle : ohhhhhhhhhhhhhhh TOI LA QU'EST-CE QUE JE VAIS FAIRE DE TOI ?
Moi : bonjour maman
Elle : bonjour maman de quoi ? MURUBWAOU ( à papa) : Jean vient ohh vient voir les choses de ta bordelle de fille
Hééé là je suis foutue mon père va me tuer une fois. Pardon je vous laisse d'abord je suis dans la grosse merde kiéééééé
Moi : oh maman stp
Elle (criant encore plus) : MAMAN DE QUOI ?
Pa (entrant dans la chambre): qu'est ce qu'il y a ?
Elle (très énervée) : les choses de ta salope et bordelle de fille, quand je te dis que la fille là a le vempire
Pa (surpris) : elle a encore fait quoi ?
Elle (me pointant du doigt) : tu ne vois pas son accoutrement de salope ?
Pa (me regardant) : tu vas où comme ça ?
Elle (rire jaune) : elle va où ??? tu devrais plutôt demander d'où elle revient
Pa : quoi ?
Elle : jean tu as bien entendu
Pa : AYANG tu étais où habillée comme ça?
Moi (baissant la tête): ...
Pa : o mbare vé (tu étais où ?)
Elle : tu poses la question ? rire mais surement faire la pute comme d'habitude
Moi : je suis juste allée danser
Elle : ah bon fien fien fien danser que tu as demandé la permission à qui ? hein toujours entrain de faire la bordelle tout ça c'est ta mère à te cajoler comme ça elle t'a rendue bordelle, ça doit être de famille.
(dans mon cœur akiééééééééééé la femme là c'est ma mère qu'elle a trouvé à insulter non là mon cœur cogne seulement)
Moi (m'énervant) : maman je ne te permets pas d'insulter ma mère
Elle : sinon tu vas me faire quoi ? le vempire de ta famille maternelle à ce n'est pas avec moi hein imbécilé
Moi : c'est ta famille qui est sorcière et qui a le vempire, tu n'as même pas honte d'insulter une femme qui n'est plus de ce monde, tu te sens tellement minable que pour te donner de la valeur tu insultes ma défunte mère.
Je voulais encore dire quelque chose mais je ressentis une nerveuse gifle BAAAAAAAM sur ma joue. Quand je veux répondre comme ça je tombe sur le visage de mon père très en colère.
Pa (énervé) : je t'interdis de parler comme ça à ma femme tu m'entends
Moi( la rage au cœur) : et tu ne l'interdis pas d'insulter ma mère qui elle aussi a été ta femme ? et c'est sur moi que tu veux faire ton autorité en tant que qui ?
Pa : mais tu te prends pour qui dans cette maison hein ?
Moi : je
REBAAM double gifle
Pa : tu crois que c'est parce que tu baises avec les garçons dehors hein et tu oses me répondre et te mettre là devant moi pour ouvrir ta salle bouche là. Tu vas me sentir aujourd'hui là trop c'est trop
Et là papa me tire par les mèches jusqu'au salon... oyooo mes mèches sont neuves hein il va me tuer là.
Moi : aieee papa tu me fais mal
Arrivés au salon il me pousse violemment vers la porte du salon ... boum je me cogne ay ça fait mal hein, je me suis cognée le front contre le poigné de la porte.
Pa : tu vas me sentir aujourd'hui là , il prend la ceinture qui est posée sur un des fauteuils et d'un bond avec le geste
VLANNNNNNNNNNN, VLAAANNNNNNNNNNNNNNN, VLANNNNNNNNN
Papa ne fait que m'allumer les coups de ceintures partout au corps
Moi : ayooooooo ayoooo akiéééé pitiééé papa engogole, zame ngeu ma, engogole ( aie, aie, aie, pitié papa, pardon, laisse moi)
Est-ce qu'il m'écoute même, il ne fait qu'enchainer les coups sur moi moi que crier on dirait un bébé. Akié une grande fille comme moi comme ça on me bastonne comme si j'avais 7 ans. Papa ne fait qu'ajouter les coups.
Papa : je... vlan... dis...vlan... que.. vlan...
Papa : ta
Vlan
Papa : sauvagerie
Vlan
Papa : va
Vlan
Papa : finir
Vlan
Papa : aujourd'hui
Vlan
Papa : c'est quoi ça ?
Vlan
Papa : c'est dans
Vlan
Papa : ma
Vlan
Papa : maison
Vlan
Papa : que
Vlan
Papa : tu viens
Vlan
Papa : jouer à la pute ?
Vlan
Il ne fait qu'aligner les coups, mon corps chauffe tellement ça fait mal. Il ne fait qu'ajouter les coups.
Elle : continue elle est trop cette fille là c'est bien fait pour elle, c'est quoi on te nourris on te loge, n fait tout pour toi et toi c'est la bordelerie que tu viens faire après c'est pour emmener les enfants batars.
Papa : tu vas encore découcher
Vlan
Moi : non oh papa je jure plus jamais
Vlan
Papa : ça t'apprendra
Là il me fouetta encore 15 bon coups quand on entendis
Andréa et junior : papa stp laisse yaya hein stp
Mon père se stoppa net, il regarda ses enfants et me dit
Papa : dépêches-toi de disparaitre de ma vue avant que je n'en finisse avec toi
Faut pas suivre j'avais mal au corps hein, mais là il en valait de ma survie alors avec le peu de force qu'il me restait je me levais et allait dans la chambre que je partageais avec Andréa qui me suivait avec Junior.
J'entrais dans la chambre en pleurant akiéé le corps me faisait mal hein. J'ai pris ma serviette et je suis allée dans notre salle de bain, j'ai pris une bonne douche ékiéééé j'avais mal au cœur. Au bout de 15 minutes, je suis allée dans la chambre où je trouvais mes deux petits frères assis sur le lit je mis mon cabas et direct je me mis sur le lit. Au bout de 5 minutes
Andréa : yaya excuse-moi mais je t'ai beaucoup appelé mais rien tu ne déccrochais pas je te disais de rentrer parce que quand je suis allée pisser tu n'étais pas là maintenant après maman a cogné pour nous réveiller pour que j'aille balayer la terasse et je ne voulais pas ouvrir mais elle cognait trop fort donc j'ai dû ouvrir elle t'a demandé j'ai dit que tu étais allée acheter du crédit chez le malien. Et là elle t'a attendu et comme tu ne venais pas elle est restée dans la chambre.
Moi : ne t'inquiète pas ma puce ce n'est pas de ta faute si on m'a tapé
Elle : si yaya
Moi : non ma chérie
Junior : yaya pourquoi papa t'a frappé ?
Moi : parce que j'ai fait des bêtises
Ju : hanhan papa est mauvais hein
Moi : souriant tu es fou junior je jure on s'allongea là tous les trois sur mon lit de deux places
Maman rentra à ce moment là
Elle : je dis hein vous êtes là vous ne partez pas à l'église
Je ne répondis même pas
Andréa : non maman je suis fatiguée
Elle : fienfienfien il faut bien suivre les choses de ta grande sœur là tu verras imbécile heureuse
Andréa (boudant) :... est ce que c'est forcé
Elle : tu parles comme ça avec moi ?
Moi appuyant ma sœur parce que ça va encore retomber sur moi.
Elle : imbécile (à junior) : bébé on va s'habiller on va à l'église
Junior : on va sucer les glaces après et manger le pain à ya sayade ?
Elle : oui mon cœur
Junior (content) : ok donc je viens
Voilà junior qui suit sa mère. Et 15 minutes après la famille EMANE qui s'en va nous laissant là Andréa et moi, on se leva on alla faire le ménage et on sortit les restes d'hier puis on prit notre petit déjeuner rapidement direction la chambre, j'avais mal partout hein mais bon je dormis quand je me réveillais il était déjà 15h je réveillais Andréa on alla au salon en entendit tantine julienne (la sœur de ma 2e mère là)
T.J : non la petite là vraiment est foutue hein
Mam : à qui le dis-tu pourrie comme pas possible en tout cas son père te l'a frappé bien j'étais très contente
T.J : il a bien fait
Andréa et moi on se regarde seulement et on entre dans le salon
Nous : bonjour
T.J : oh mes filles bonjour... Mauricette ça va ?
Moi ( je la fixe seulement)
Mam : c'est à toi qu'on parle non
Moi : oui ça va
T.J : oh maman c'est comment tu es fachée
Moi : non
T.J : ah je demande oh comme tu es froide là
Moi : beh tu te trompes
Mam : ta sauvagerie là
Je ne la calcule même pas je continue dans la cuisine suivi par ma petite combi Andréa, on se servit à manger puis on alla s'asseoir à la terrasse on mange vite fait quand on fini on nettoie tout et direction la chambre en passant par el salon
Mam : je dis hein Andréa même pas tu viens rester avec ta tante
And : non je révise avec ma sœur
Je voulais rire la petite là est folle... on arriva dans la chambre
Moi : Dré tu n'es pas obligée de me suivre hein
And : je sais yaya mais je préfère rester avec toi
On prit nos cours chacune sur son lit et on se mit à bosser à 17h , je pris mon téléphone histoire de chequer un peu 4 messages d'Urielle
Ur : ma co bonjour ça va ?
Ur : ma co à quel niveau tu ne me donnes aucune news depuis là
Ur : Mau ton cul là répond
Ur : je vais t'insulter
Moi (répondant à son message) : puce je suis là laisse j'ai vécu une salle matinée je t'explique demain en cours
Ur : ah je m'inquiétais déjà explique déjà non
Moi : non demain c'est mieux, tu fais quoi ? moi je bosse les maths
Ur : moi la chimie
Moi : ok, bon je te laisse je vais me concentrer
Ur : ok topi top ma colonne vertebrale
Moi : bisous je te raconte tout demain
Puis je regarde encore 5 appels en absence de Clément et 3 messages, tchiip tout ça là même c'est à cause de toi si on m'a frappé ce matin là tchip. Je répond vite
Moi : slt bébé, j'ai eu des pbs avec mon vieux là parce que je suis rentrée tard. A+
Puis je mets mon phone sur silencieux et je me remets à bosser pour noyer ma frustration.
Chapitre 1 Chapitre 01
17/02/2023
Chapitre 2 Chapitre 02
17/02/2023
Chapitre 3 Chapitre 03
17/02/2023
Chapitre 4 Chapitre 04
17/02/2023
Chapitre 5 Chapitre 05
17/02/2023
Chapitre 6 Chapitre 06
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Chapitre 7 Chapitre 07
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Chapitre 8 Chapitre 08
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Chapitre 9 Chapitre 09
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Chapitre 10 Chapitre 10
17/02/2023
Chapitre 11 Chapitre 11
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Chapitre 12 Chapitre 12
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Chapitre 13 Chapitre 13
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Chapitre 14 Chapitre 14
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Chapitre 15 Chapitre 15
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Chapitre 16 Chapitre 16
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Chapitre 17 Chapitre 17
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Chapitre 18 Chapitre 18
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Chapitre 19 Chapitre 19
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Chapitre 20 Chapitre 20
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Chapitre 21 Chapitre 21
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Chapitre 22 Chapitre 22
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Chapitre 23 Chapitre 23
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Chapitre 24 Chapitre 24
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Chapitre 25 Chapitre 25
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Chapitre 26 Chapitre 26
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Chapitre 27 Chapitre 27
17/02/2023
Chapitre 28 Chapitre 28
17/02/2023
Chapitre 29 Chapitre 29
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Chapitre 30 Chapitre 30
17/02/2023
Chapitre 31 Chapitre 31
17/02/2023
Chapitre 32 Chapitre 32
17/02/2023
Chapitre 33 Chapitre 33
17/02/2023
Chapitre 34 Chapitre 34
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Chapitre 35 Chapitre 35
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Chapitre 36 Chapitre 36&37
17/02/2023
Chapitre 37 Chapitre 38
17/02/2023
Chapitre 38 Chapitre 39
17/02/2023
Chapitre 39 Chapitre 40
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Chapitre 40 Chapitre 41
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