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Naughty Harry, DĂ©buts De La Passion

Naughty Harry, DĂ©buts De La Passion

Plume Plume

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-Je sais que tu en as autant envie que moi Nina. dit-il en posant de doux baisers au creux de mon cou. -Non. Laisse-moi tranquille Harry. -Allons Nina, laisses-toi faire bĂ©bĂ©. Je sais que tu me dĂ©sires. Tu peux le nier autant que tu le veux mais ton corps te trahira toujours... -Harry... ------------------------------------------- Nina Mills est une jeune femme belle, intelligente et dotĂ©e d'un fort caractĂšre. A 22 ans ses nombreux soucis d'argent ne lui laissent pas de rĂ©pit. Elle a dĂ» arrĂȘter ses Ă©tudes avant son Bac, se trouver un appartement pas trop miteux et de quoi manger. Etant sans diplĂŽme elle n'a pu dire non au job de baby-sitter qu'on lui a proposĂ©e dans les quartiers riches de sa ville mais qu'en sera-il lorsqu'elle aura Ă  s'occuper du fils du milliardaire le plus en vue et chaotique de la ville ? Harrison Deveraux est en marche pour un lot de surprise. Sa vie qu'il pensait bien rangĂ©e sera confrontĂ©e Ă  des rĂ©alitĂ©s qu'il aura du mal Ă  accepter. Jamais il n'aurait pu s'attendre Ă  ce nouveau vent Ă  venir... /! \Cette histoire contient des scĂšnes Ă  caractĂšres sexuels. Personne sensible s'abstenir. /!\

Chapitre 1 L'entretien

-Eh la grue ! LĂšve ton cul, allez ! Exige mon emmerdeuse colocataire que je dĂ©teste et aime de tout mon cƓur.

-La ferme Moe, j'essaie de dormir moi. Dis-je la tĂȘte sous l'oreiller.

-Il est 13 heures Nini.

-13 QUOI ? M'Ă©criais-je en sortant du lit, manquant de m'Ă©crouler par terre les pieds emmĂȘlĂ©s dans mes draps. Mais pourquoi c'est maintenant que tu me rĂ©veilles Moe ? Je vais ĂȘtre en retard maintenant. Continuais-je en rentrant dans la salle de bain.

-Oh mais je suis désolé majesté, j'oublie souvent que je suis à votre service. Dit-elle sarcastique. Tu es marante toi, je te signale que moi je rentre à peine d'une nuit épuisante à me faire tripoter par des idiots avec qui je suis obligée de sourire. Alors faire la femme de chambre est trÚs loin dans ma liste de priorité.

-C'est vrai... je suis dĂ©solĂ©e Moe, je suis juste stressĂ©e. Ce job est trĂšs important tu sais ? Si je l'obtient nous pourrions avoir une vie beaucoup plus facile que celle que nous vivons. Pourquoi ne te trouves-tu pas un autre boulot que celui de barmaid ? Tu sais avec ce corps et cette voix tu pourrais ĂȘtre mannequin voir mĂȘme chanteuse !

-Mais bien sûrrrr. Dit-elle les yeux roulant vers le ciel.

-Bon, maintenant sors de ma chambre j'essaie de m'habiller lĂ .

-Oui majesté, à vos ordres majesté.

-ATTENDS ! Moe, je m'habille comment ?

-PORTES TON JEANS ! TU SAIS LE BLEU COURT ! hurle-t-elle depuis le salon.

-ET JE METS QUOI DESSUS ?

-JE NE SAIS PAS MOI ! PRENDS TON HAUT BUSTIER ROSE ET METS DES TALONS CETTE FOIS ! JE VAIS FINIR PAR TE LES BRULER TES PUTAINS DE BASKETS.

-PAS QUESTIONS ! TU SAIS QUE JE DETESTE ÇA. C'EST PAS DU TOUT CONFORTABLE CES ENGINS DE LA MORT.

-DISCUTE PAS !

-OK... MERCI.

-OUAIS.

Je crois que je l'ai agacé. Elle déteste quand je hurle partout dans l'appart comme quoi ça dérange les voisins et encore plus quand je discute ce qu'elle me dit. Pourtant elle hurle plus que moi et puis ce n'est pas ma faute si je n'aime pas les talons, non ?

*Ellipse*

-VoilĂ , je suis prĂȘte. AnnoncĂ©-je en me plantant entre elle et son marathon de LEGACIES Ă  la tĂ©lĂ©.

Ça doit faire quoi ? Deux minutes qu'elle me matte les yeux en grands et la bouche ouverte ? D'accord, c'est vrai que je m'habille rarement comme ça. Surtout que lĂ  j'Ă©tais maquillĂ©e...moi qui dĂ©teste ça mais elle ne va quand mĂȘme pas en faire du foin.

-Merde Ni'...tu es sĂ»re que c'est Ă  un entretient de travail que tu vas ? Ou est-ce pour sĂ©duire ton employeur pour ĂȘtre sĂ»re de l'avoir ce job ?

-Mon Dieu Moe la ferme ! Je devrais te laver la bouche avec du savon. Ce que tu peux dire de bĂȘtise. Bon, eh bien, vue ta rĂ©action, je pense que ça devrait aller.

-Carrément ! Tu es trop bonne. Dit-elle en me sifflant.

-Eh bien, à plutard. Dis-je en sortant de l'appart et de notre immeuble délabré.

C'est tous ce qu'on peut se permettre vu ce qu'on gagne avec nos revenus additionnés. Mais si je réussi vraiment à avoir cet emploi, on sera plus qu'alaise étant donné la somme qu'offre ce monsieur Deveraux pour garder son gamin. J'espÚre l'avoir...

Allez, en route ! Il faudrait que ces talons servent Ă  quelque chose quand mĂȘme. Non ?

À nous deux Dev.

-Quartiers riches de BERLIN-

Mon Dieu, tous ces magasins ! Il y en a partout. Des Starbucks aux restaurants 5 étoiles... c'est impressionnant. Tout a l'air si luxueux et parfait. C'est clair que je ne serais jamais à ma place parmi ces gens pétés de tunes.

Je regarde ma montre et il est 14 : 15. Bon song ! Plus que 15 minutes de plus et je serais vraiment en retard, il faut que je me dĂ©pĂȘche.

*13 minutes plus tard*

J'y suis enfin. Dieu, est-ce vraiment nécessaire d'avoir tout ce blingbling ? Ce que j'ai en face de moi n'est pas juste une maison mais un palais. Vous voyez les chùteaux des temps anciens chez les français ? Eh bien ça en est un. C'est ma-gni-fi-que. Ce Mr. Deveraux a vraiment bon goût.

Je me tiens droite sur le palier de ce chĂąteau et alors que je m'apprĂȘte Ă  sonner, mon doigt se stoppe juste Ă  quelque centimĂštre de la clochette. J'ai le cƓur qui bat la chamade, je pense que je vais vomir. Pourquoi je suis aussi nerveuse ? J'ai un Ă©trange pressentiment...

J'ignore la petite voix dans ma tĂȘte qui dit de m'enfuir pendant que je le peux encore et appuie enfin sur la sonnette. Quelques secondes plus tard, la porte s'ouvre sur le visage d'un homme dans la quarantaine et plutĂŽt bien conservĂ© pour son Ăąge dis donc. Monsieur Deveraux peut-ĂȘtre.

-Madame ?

-Uh...mademoiselle s'il vous plait.

-Soit, mademoiselle. Que puis-je faire pour vous ? Il n'est pas commode lui, ok...

-J'ai rendez-vous avec Mr. Deveraux pour le job...euh...travail de nanny.

-Ah oui. Entrez, je vous prie, on vous attendait mademoiselle. M'exhorte-t-il en refermant la porte derriĂšre moi. M. Deveraux vous attend dans son bureau, veuillez me suivre s'il vous plait.

Pendant que je le suis au travers du long couloir, je me prends Ă  admirer mon entourage et faire du repĂ©rage. AprĂšs tout si je suis prise, cet endroit sera mon presque chez moi vu que j'y passerais mes journĂ©es. Je ne veux surtout pas me perdre dans ces couloirs. C 'est vraiment incroyable quand mĂȘme, le hall d'entrĂ©e est superbe. On aurait dit celui dans Titanic avec tous ces ornements et mĂȘme un tapis de couleur bleu. Bref tout ça pour dire que c'est incroyable. Je me fais sortir de mes observations par la voix de monsieur... C'est quoi son nom d'ailleurs ?

-C'est ici mademoiselle, entrez il vous attend. John Bill, si vous avez besoin. Se présente-t-il enfin avec une légÚre révérence puis il se retourne sans plus de cérémonie.

Mon Dieu, est-ce vraiment nécessaire toutes ces maniÚres ?

Toc Toc Toc.

-Entrez. dit la voix derriùre la porte qui me donne des frissons tant elle est basse et grave. Pour ne rien arranger, mon cƓur se met à battre plus fort comme si je ne suis pas assez nerveuse comme ça.

C'est d'une main tremblante que je tourne la poignĂ©e pour me retrouver face Ă  la carrure imposante d'un homme de dos. Mais un dos vraiment trĂšs intĂ©ressant ? C'est quoi ces muscles... peut-on ĂȘtre excitĂ©e juste en voyant quelqu'un de dos ? Je referme la porte derriĂšre moi puis j'avance jusqu'Ă  ĂȘtre devant le bureau.

-Asseyez-vous je vous prie. Dieu, sa voix...pourquoi je me sens si excitée ? ce n'est pas comme s'il me caressait l'entrejambe, merde.

Je prends donc un siÚge en déglutissant trÚs bruyamment...

-Bien. Mademoiselle Mills, exacte ? Demande-t-il toujours dos Ă  moi, regarde-moi putain.

-Oui... Merde pourquoi cela sonne-t-il comme un gémissement ? Seigneur, j'espÚre qu'il n'a pas fait attention à ce détail.

-J'ai lu votre C.V et vous avez arrĂȘtĂ© vos Ă©tudes trĂšs jeune, pourtant vous Ă©tiez une Ă©lĂšve brillante selon votre livret. Mais ce n'est pas l'objet de votre prĂ©sence aujourd'hui alors soit ! Je suppose que vous devriez avoir assez de qualitĂ©s pour inculquer de bonnes valeurs Ă  mon fils. Dit-il d'une voix sĂšche et sĂ©vĂšre. Non mais pour qui se prend t-il pour me parler de la sorte ce beau salaud ?

Respire Nina, respire. Tu as besoin de ce job. Pense Ă  Maureen...

-Oui. Réponds-je avec le minimum de calme et de bienséance que je puisse présenter en ce moment. Regarde-moi, Lucifer.

-TrÚs bien. Parce que voyez-vous, je ne fais pas confiance aux personnes de votre condition. Ils sont généralement illettrés et je ne veux pas que mon-

Alors lĂ  s'en est trop !

-Personnes de ma condition ? Pour qui vous prenez-vous ? hurlĂ©-je en frappant du poing son majestueux satanĂ© bureau. Je suis peut-ĂȘtre pauvre mais j'ai des valeurs et surtout de la dignitĂ© ! Alors je vous interdis de me parler de la sorte. Riche ou non. M'Ă©criais-je en me levant de son confortable siĂšge. Je crois que je n'ai plus rien Ă  faire ici, veuillez m'excuser de vous avoir faire perdre votre prĂ©cieux temps M. Deveraux. Et le mien encore plus ! TerminĂ© je en me dirigeant d'un pas dĂ©cidĂ© vers la porte.

-Je ne vous ai pas encore congédié mademoiselle Mills. C'est trÚs impoli de vous conduire de la sorte. Il en veut pour son compte le salaud ! Et en plus il ne m'a toujours pas regardé ! Qu'est-ce qu'il compte voir à travers ses rideaux tirés ? Ou alors c'est juste pour me rappeler à quel point nous, gens du peuple, sommes insignifiants à ses yeux ?

-Ce qui est impoli, monsieur, c'est de vous adresser à une personne en lui donnant dos ! Pour quelqu'un de votre rang vous ne connaissez pas les bonnes maniÚres. Répliqué-je toujours en continuant ma route.

Alors que j'ouvre la porte et m'apprĂȘte Ă  sortir, elle est violement refermĂ©e par lui. Puis il me retourne fermement face Ă  lui. Peut-ĂȘtre mĂȘme trop fortement parce que je perds l'Ă©quilibre, entrainant notre chute Ă  tous les deux. Je ferme donc les yeux en attendant le choc. Je peux vous dire que je l'ai bien senti et aussi autre chose...

La premiĂšre douleur vient lorsque mon dos heurte durement le sol, me faisant hoqueter sous l'impact puis la seconde lorsque je sens un poids lourd s'affaisser contre mon corps.

Toujours les yeux fermer, je sens le souffle chaud de ce gros balourd se rĂ©pandre sur mes lĂšvres signe qu'on se trouvait assez proche. Lorsque j'ouvre enfin les yeux, une forĂȘt trĂšs claire, profonde mais sauvage me fait face. Bordel... Amazonie est le mot qui me revient face Ă  la vue en face de moi. Le vert de ces yeux est si...Ă©lectrique, si sauvage que j'en frissonne.

Son visage carrĂ©, son nez droit parfait, ses cheveux de blĂ© mi-longs et bouclĂ©s. Ce que j'aimerais y passer les doigts et les tirĂ©s fortement pendant qu'il aurait sa tĂȘte entre mes jambes... Ses lĂšvres mi-rouges et si embrassables. Dieu qu'il est beau ce salaud.

Merde, ressaisit toi Nina !

Lorsque je repose mon attention sur son visage, je remarque que lui aussi explore chaque partie de moi. De mes yeux fuyants, à mon nez, en passant par mes lÚvres, pour se fixer sur ma gorge lorsque je déglutis sous la tension, à la courbe de ma mùchoire et au renflement de mes seins accentué par la pression qu'exerce son torse sur ma poitrine.

J'ai si chaud et notre position n'arrange rien à calmer mes hormones. Lui au-dessus de moi, ses bras de part et d'autre de mon visage, une de ses jambes entre les miennes et si prÚs de mon entre jambe. Son pénis qui pointe contre ma hanche car oui, oh oui que je le sens...

Mh... bordel que ce serait bon. Tu le sens comme moi mon beau salaud ?

Oh mon Dieu, j'ai le souffle coupé. Je suis tellement chaude et ses yeux m'ensorcellent, j'ai peur de cligner des yeux de peur que ce moment disparaisse, je ne veux pas perdre ce contact. Je n'ai jamais autant pris conscience du fait que je suis une femme comme en cet instant, juste par son regard... Je me sens si connectée à lui, c'est une sensation étrange. Je me sens littéralement mise à nue mais excitée sous lui. C'est effrayant et oh-combien foutrement bon.

Je vous jure que cet homme est un dĂ©mon, un pur pĂȘchĂ©, la pomme biblique pour une simple femme comme moi. En plus, je le sens contre mon intimitĂ©, son sexe maintenant bien placĂ© entre mes jambes. Dur, tellement dur... Mh... Dire que c'est moi qui lui fais cet effet. Ce que j'ai envie de lui.

-Qu'est-ce que vous me faites... murmure-t-il. J'ai envie de vous comme jamais je n'ai eu envie d'une femme. Putain ! dit-il en me donnant un lĂ©ger coup de rein me faisant hoqueter puis gĂ©mir. Ce que vous pouvez ĂȘtre baisable, lĂ , allongĂ©e sous moi, Ă  ma merci, je peux vous sentir. Nouveau coup de rein. Entendre votre cƓur accĂ©lĂ©rer. Au fur et Ă  mesure qu'il parle il continue de me baiser contre nos vĂȘtements et rapproche de plus en plus son visage du mien. Vos yeux me chantent une musique merveilleuse, vous aimez ce que je vous fais ?

Putain ne me vouvoie pas dans ce genre de moment, salaud ! Il est tellement proche qu'on doit surement se partager le mĂȘme air. Ses lĂšvres sont si proches, si goĂ»teuse, je n'ai qu'Ă  relever un tout petit peu la tĂȘte, juste un peu et elles se toucheront.

-Je pourrais vous prendre là maintenant, dans mon bureau, contre ce sol. 'Je ne peux me retenir d'haleter. Comment en est-on arrivé là ?' Tu aimerais ça ? Tu veux que je te baise sur ce sol n'est-ce pas ? dit-il en effleurant et caressant nos lÚvres.

Putain il veut vraiment que je lui rĂ©ponde ? Je n'arrive mĂȘme pas Ă  penser correctement merde ! Et pour ce qui est de respirer, comment fait-on dĂ©jĂ  ?

-Réponds moi mon amour. Veux-tu que je te fasse jouir bébé ?

Euh... mon amour ? Bébé ? Trop rapide...

Il plonge sa tĂȘte dans le creux de mon cou et je sens ses lĂšvres y dĂ©poser de doux baisers. Je frissonne encore plus et m'entends gĂ©mir de plus en plus fort. C'est comme Ă©lectrique nous deux, une chute, une cascade.

-Ahhh... gĂ©mis je lorsqu'il se met Ă  aspirer la peau de mon cou. Dieu que ça fait mal... Pas mal comme le mal de douleur mais plutĂŽt comme le putain de mal plaisant, une douleur dĂ©licieuse. J'ai l'entrejambe qui baigne dans l'eau comme c'est gĂȘnant.

-Oui, gémis pour moi bébé. Je veux t'entendre belle Nina. Dit-il d'une voix sévÚre, presque comme un ordre en me mordant cette fois le cou.

Putain... mon nom dans sa bouche avec cette voix grave, je suis tellement mouillĂ©e. Je le veux tellement, je veux le sentir en moi, je veux qu'il me possĂšde, je veux m'oublier, tout oublier, mes problĂšmes, mon futur, tout, sauf ce prĂ©sent, cet instant avec lui, mon propre dĂ©mon, ma tentation. Ça, je ne le lui dirais jamais, Il est assez narcissique comme ça ce salaud et je ne lui donne aucune raison contraire de ne pas l'ĂȘtre.

-Ah... gémis je.

Il prend en coupe mon sexe à travers mon pantalon avec une de ses belles et grandes mains. De l'autre, il tient fermement mon sein droit jusqu'à me faire ressentir une légÚre douleur mais oh-tellement bonne.

-Je sais que ce que je te fais te plaßt. Oh bébé, ce sera si bon lorsque je serais en toi. Dis-moi que je te fais du bien ma belle. Dis-moi que tu aimes sentir mes mains sur toi. Tu me veux en toi Nina ? Dis-le-moi et je te baiserais comme tu le mérite. Je veux t'entendre le dire... Allez petite.

-EspÚce de- SALOP ! Crié je hors de moi par son ton condescendant et par mon corps qui me trahßt en répondant oui à chacun de ses mots.

-Bébé voyons, ne sois pas vulgaire. Tu adores me sentir là contre toi et tu veux ma queue en toi. Dit-il en descendant vers ma poitrine pour me mordre le téton et le sucer en tirant le tissu fort vers le bas.

Putain, ce qu'il est imbus de lui-mĂȘme. Je ne peux pas le laisser gagner !

Je réussis à glisser une main entre nos corps jusqu'au renflement de son pantalon de costume puis le prend fermement dans le creux de ma main.

-Putain oui... bébé, prends-moi. Serre Nina, sens ma queue ! Tu vois comme tu me rends dur ? Ah...

Je peux le faire moi aussi Dev, tu ne gagneras pas. Je le prends encore plus fort et commence Ă  le masturber. Je le sens enfler, devenir de plus en plus dur... Ce qu'il est baisable.

Nina, n'oublie pas pourquoi tu es lĂ . Ce n'est pas le moment de penser avec ton vagin merde !

Avec un effort surhumain d'esprit, je le repousse avec toute la force que je peux mettre dans mon Ă©tat d'excitation. Il se retrouve donc sur le dos et moi Ă  califourchon sur lui.

-Mh... j'aime les femmes entreprenantes. Dit-il en posant ses mains sur le haut de mes cuisses.

Ce qu'il est sexy...

Je retire presqu'Ă  contre cƓur ses mains de ma peau puis lui tourne la tĂȘte sur le cĂŽtĂ© et rapproche mes lĂšvres de son oreille de sorte Ă  venir lui murmurer.

-Ne prends pas tes rĂȘves pour des rĂ©alitĂ©s Dev. Dis-je d'une voix se voulant volontairement sensuelle.

Je rĂ©ussis Ă  me relever avec quelques rĂ©ticences de sa part et pars en courant de son bureau. Une fois dehors, je ne m'arrĂȘte pas pour autant. Ce n'est qu'une fois dans le bus pour retourner chez moi que je prends vraiment conscience des Ă©vĂšnements qui se sont dĂ©roulĂ©s.

-Merde, j'ai failli coucher avec ce salaud !

Dans son bureau en plus ! Et si ce monsieur John entrait ? Ugh, j'ai vraiment merdĂ©. PensĂ©-je en me prenant la tĂȘte entre les mains.

-Mais qu'est ce qui m'a pris...

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LA PETITE LUNA D'ALPHA

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"Dis-moi, ma fille, pourquoi toi et ton espĂšce de bon Ă  rien ĂȘtes-vous entrĂ©s sur mon territoire ?" Une voix inconnue retentit juste devant moi. Je baisse la tĂȘte et mes yeux commencent Ă  se fermer. C'est ici, c'est ici que ma vie va se terminer. J'ai toujours pensĂ© que ce serait de la main de mon beau-pĂšre, mais non. C'est Ă  cause d'autres types qui m'ont aussi fait du mal de façon tortueuse. Laissez-moi vous dire que ma vie a Ă©tĂ© gĂ©niale. Je vous laisse deviner le sarcasme. Soudain, une grosse main me saisit le menton. Il me force Ă  relever la tĂȘte contre ma volontĂ©. Non ! Non, je ne veux pas le regarder, je ne veux pas voir son visage monstrueux. Mais une fois de plus, il est bien plus fort que moi. Alors, avec le peu de vie que j'avais en moi, je regarde fĂ©rocement ses yeux d'un bleu profond. ImmĂ©diatement, l'expression de l'homme passe d'une expression livide et stoĂŻque Ă  une expression surprise et douce. Je l'entends murmurer : "Mon pote". ~~~ Willa est une jeune fille simple qui n'a pas eu de chance dans la vie. Elle a Ă©tĂ© abandonnĂ©e sur le pas de la porte alors qu'elle n'Ă©tait qu'un nouveau-nĂ©, ses deux parents adoptifs sont morts et son beau-pĂšre a abusĂ© d'elle presque toutes les nuits. Elle pensait que son petit ami et sa meilleure amie lui permettraient d'Ă©chapper Ă  la vie horrible qu'elle menait Ă  la maison. Mais en fin de compte, ils n'ont fait qu'ajouter Ă  la vie tortueuse qu'elle menait. Elle a donc fait la seule chose Ă  laquelle elle pouvait penser pour s'Ă©loigner de la terrible rĂ©alitĂ© qui l'engloutissait lentement. Elle a couru. Elle Ă©tait loin de se douter qu'en courant dans les bois cette nuit-lĂ , sa vie entiĂšre allait basculer. ----

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