graine d'étoile
Le livre d'graine d'étoile(1)
Au delà des apparences
Sci-Fi A toi qui a trouvé mon journal.
Il y avait dans l'air un goût de mensonge, un relent de tourment. Comme tout ces réseaux sociaux, je voyais des filtres partout. Les gens ne portaient plus de filtre virtuel, ils le portaient désormais sur leur visage, et ils étaient habillé de peur. On ne lisait plus le bonheur bordait leur lèvres, mais l'incertitude dans leur regard. Comme un mauvais Resident evil, je me retrouvais au coeur de tout cela. Je me rappelle enfant avoir regardé dans un petit tube en cylindre avec des couleurs à l'intérieur, et ne plus avoir vu le monde de la même façon. A cette instant où j'écris ces lignes, je ne pense qu'à ces couleurs et ces formes déformées. C'est exactement cela que je ressens aujourd'hui, une réalité déformé. J'ai donc chercher la vérité, & j'ai trouvé une sorte de clef quantique. J'ignore si tu crois à une autre dimension, à l'interconnexion et tout cela, mais si tu as trouvé ce journal c'est qu'il t'est destiné. Et si tu as trouvé ce présent qui est la dernière preuve de mon existence dans ce monde, c'est que j'ai trouvé la porte. Je t'attends de l'autre côté. A toi de trouver la clé pour me rejoindre.
Bonne lecture cher initié.
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LA FORCE DES LIENS - ELODIE ESCHMANN
ESCHMANN Elodie
Lucie et Keiji sont des jumeaux et sont tous deux destinés à régner sur le peuple de la planète Cérès, après la mort de leur père. Les deux jumeaux entretiennent une relation très complice, jusqu'au jour où le prince fit la connaissance d'une esclave nommée Némésis, jeune femme fourbe et adepte de la manipulation, avec qui il va mener une relation amoureuse dont seule Lucie est au courant. Un an plus tard le roi est assassiné sous les yeux de Lucie impuissante, qui sera faite prisonnière. Son ennemi ? Un puissant meneur de troupe, accompagné de Keiji qui n'a plus aucun souvenir. Lucie devra surmonter bien des épreuves pour tenter de rendre la mémoire à son frère et la liberté à son peuple. Humiliée, torturée, elle subira les pires atrocités de la part de ses bourreaux. Afin de lui donner l'espoir d'un monde meilleur, elle devra lutter contre ces souffrances, conserver ses valeurs, surmonter ses peurs, contenir ses sentiments et se battre, au péril de sa vie. Fleur violette🌺🌺
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Hynbride avait déjà tout planifié: La fin de ses études, son entrée à Harvard pour ses études en droit, un petit copain, un diplôme, un travail, une famille... Une vie... Tout était écrit à la lettre et elle allait les respecter et les réaliser une à une. Elle devrait avoir une vie parfaite. Dans ses plans, il n’y avait aucune place pour les imprévus. Mais les imprévus sont des imprévus... Et elle n’avait jamais envisagé que tout allait basculer. Et justement tout bascula... Car le destin ne l’avait pas décidé ainsi. Son destin était déjà prédit, déjà écrit et c’est par cette nuit obscure et pluvieuse que son destin allait entrer en jeu...
Hynbride avait basculé dans un monde obscur, un monde dont elle ignorait l’existence réelle. Un monde qu’elle lisait pour tuer le temps dans des livres d’effroi. Mais elle ignorait que ce monde était le sien et que le moindre échappatoire lui serait mortel et risquait de mettre en danger l’équilibre des deux mondes... Elle va devoir s’y adapter, s’y accoutumer car elle avait une destinée. Mais par dessus tout, elle allait devoir avant tout, supporter les yeux rouges et les dents pointues de son “Maître”... Mi-Ange Mi-Démon
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Les démons, les sans cœurs, étiquette collée à certaines personnes, ne le sont pas devenus du jour au lendemain. Ne dit-on pas que l’on vient au monde pur, ce qui renvoie à l’adage : « L’homme nait bon, c’est la nature qui le rend méchant ».
Eh bien tout émane d’une cause dont les conséquences sont le plus souvent néfastes nous réduisant le cœur en poussière ou le barricadé sous du ciment, le transformant en rock. Et un rock à la place du cœur, annihile en nous tout sentiment, voire tout humanisme………………………
La vie aussi douce soit-elle chantée, aussi paisible que l’on puisse la décrire peut s’avérer etre tout le contraire. Elle peut etre cruelle, injuste et monstueuse……
Qui dit vie, dit environnement, société….. C’est cette meme société qui demeure hélas un lourd fardeau pour les humains ! Chercher à trouver coute que coute des solutions à ces pesanteurs de la vie laisse forcément des traces indélibiles. Traces qui deviennent des plaies, lesquelles se cicatrisent de l’extérieur mais jamais de l’intérieur. Cicatrices qu’on traine tout au long de la vie………
C’est encore cette même société qui rend le quotidien de certaines personnes invivables, les étranglent et finissent par les pousser à faire des choses malgré eux. Ces plaies qui ne font qu’augmenter au fil du temps finissent par nous percer le cœur pour y injecter un venin plus dangeureux que celui des reptiles les plus redoutables. Venin qui peu à peu nous écourte les battements du cœur et un être humain en vie dont le cœur ne ressent plus rien se transforme bien évidemment en monstre. Ce venin se répandant à travers tout notre organisme finit par nous transformer en démon de l’intétérieur.
Telle fut le cas de cette femme Salimata Ndiaye………………………….
Elle vit le jour après les indépendances, plus précisément en 1970 à Saint Louis du Sénégal. Elle ne connaissait pas sa mère, cette dernière avait perdu la vie en lui donnant la vie.
Elle a été élevée par sa marâtre, Kiné la première épouse de son père qui n’a jamais pu enfanter. C’est cette même marâtre qu’elle appelait maman : celle qui l’a élevé à sa propre image. Kiné ne lui avait jamais réservé ce même sort que l’on entend souvent des marâtres populaires qui battent leurs beaux enfants ou leurs infligent calvair : non. Non pour Kiné, seul son bonheur lui importait, la poussant à aller souvent à l’encontre de son paternel. Son père était un fervent musulman : l’imam de leur quartier. Depuis sa naissance, le père de Salimata ne s’était jamais remarié. On dit que certains liens sont plus forts que celles du sang, Salimata était du même avis vue l’affection qu’elle et Kiné se vouaient mutuellement. On lui chantait souvent qu’elle est le portrait craché de sa mère biologique, qu’elle lui ressemblait comme deux gouttes d’eau n’empèche elle possèdait le même fond de celle qui l’avait élevé.
Salimata porte le même nom que sa défunte mère. Sur son extrait de naissance se trouve Salimata Ndiaye mais tous l’appelaient Saly : Saly la gazelle.
On l’appelait la gazelle parce qu’elle était très fine et très élancée, la gazelle car possédant l’allure gracieuse de cet animal. Dotée non seulement d’une noirceur d’ébène extraordinaire, elle avait aussi les traits très fins. Chose qu’elle avait héritée de sa grand- mère maternelle une peulh de Somalie qui avait migré à ndar avec ses parents toute petite.
Saly était une très belle femme et elle le savait : elle le savait que trop bien. Si belle qu’elle ne passait jamais inaperçue, sa beauté se remarquait partout ou elle passait.
La fille du quartier la définissait-on, Saly la gazelle disait-on pour l’appeler, Saly est devenue une mère dont le passé rattrape et hante le présent : un passé pas si glorieux que ça, un passé qui entachera toute sa vie……………………………. Le loup de la prophétie
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Dans un monde en proie aux ténèbres, Lysandra, une jeune femme dotée de pouvoirs mystiques, découvre qu'elle est la gardienne du Cœur de l’Éternité, un artefact légendaire capable de repousser le mal. Aux côtés de Gabriel, un guerrier courageux, Isabelle, une archère habile, et Elara, une mage puissante, elle entreprend une quête périlleuse pour défendre leur village contre des créatures maléfiques et mystérieuses. Chaque bataille les rapproche de la vérité sur leur destinée et sur les forces obscures menaçant leur monde.
Alors qu'ils unissent leurs pouvoirs pour vaincre les gardiens maléfiques et restaurer la paix, ils découvrent l'existence d'une prophétie annonçant l'éveil d'un quatrième gardien. Ensemble, ils doivent préparer le monde pour cette nouvelle menace, tout en renforçant les liens indestructibles qui les unissent.