Plumer Pro
Les livres d'Plumer Pro(3)
DOUTES
Aventure 23 heures.
Je m'active en apercevant que l'heure est déjà bien avancé.
Zen m'attend sûrement depuis une bonne dizaine de minutes et va encore me crier dessus pour mon nouveau retard.
Je brosse une dernière fois mes cheveux en remettant quelques mèches en place. J'enfile ma paire de talon, sors de chez moi en vérifiant plusieurs fois que j'ai bien fermé la porte de mon appartement.
Puis j'interpella un taxi venant dans ma direction et lui indiqua le lieu.
Dans la voiture, je reçu plusieurs notifications et je savais déjà qui en était l'expéditeur.
Zen : - tu peux te dépêcher? 23:13
- bon sang ! t'es pas foutu d'arriver à l'heure
une fois dans ta vie ? 23h15
-le patron va te tuer ! mais t'as déjà l'habitude non? 23h16
Je soupire en reposant mon téléphone sur mes genoux. Il a raison, depuis que j'ai ce boulot , je ne suis pas arrivé une fois à l'heure.
Mon patron m'a déjà menacé plusieurs fois de me virer si ie continuais .
Mais il n'a jamais mis ces menaces à exécution, fort heureusement pour moi.
Je joue avec le feu , je le sais , j'ai toujours vécu comme ça et c'est pas aujourd'hui que je vais arrêter.
Le taxi frêne brutalement me faisant comprendre que je suis arrivée.
Je sors de mon sac à main un billet pour payer ma course. Puis je le remercie et descend de la voiture en refermant la porte.
Juste en jetant un regard à la devanture du bar, je remarque qu'il est bondé.
C'est normal, cet endroit est très réputé.
L'une des meilleures boites de la ville paraît-il!
Je suis serveuse depuis 3 mois ici, un petit boulot qui m'aide à payer le loyer de mon appartement.
Je rentre et directement j'aperçois Zen, plusieurs verres dans les mains , trop occupé à zigzaguer entre les tables pour servir les clients , il ne me voit pas.
Je me dépêche de poser mon sac dans les vestiaires et de me mettre derrière le bar pour commencer mon travail.
La grande pièce se remplit à vue d'œil et ne se vide jamais de clients
Je prend les commandes rapidement.
Zen ne m'a pas adressé la parole . Il est sûrement énervé d'avoir commencé le service seul, je le comprends.
Au fil du temps, depuis que j'ai commencé à travailler ici, Zen et moi avons tissés des liens d'amitiés. Même si c'est très récent, je ne voudrais pas qu'on se dispute ce soir. Je l'apprécie.
Perdue dans mes pensées, je fonce dans quelqu'un et me prend un torse en pleine face.
Mon plateau me glisse des mains et les verres se renversent et éclatent par terre.
Surprise je me recule , je lève la tête pour apercevoir un homme, grand , ces cheveux noir tout en bataille.
Il me fixe d'un regard froid. Je baisse les yeux sur son costume et déglutis quand je vois la tache de boisson en plein milieu de son vêtement, qui doit couter plus que tout mon salaire réuni .
Si mon patron apprend que j'ai importuné un de ces clients, je peux dire adieu à mon boulot
Il se racle la gorge pour me rappeler sa présence.
- Excusez moi monsieur , je ne vous avez pas vu. lui dis-je précipitamment, ne sachant pas comment réagir.
Après quelques secondes de silence malaisant, il me toisa méchamment avant de répliquer.
- pas capable de faire son travail sérieusement celle là. répondit il froidement
Mon sourcil s'arqua face à sa remarque.
Pour qui se prenait-il celui la ?
Toutes sortes de phrases bien cinglantes traversèrent mon esprit et, sans réfléchir j'ouvris la bouche pour répliquer.
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Elle a 19 ans, son enfance a été compliqué mais elle a réussi à s'en sortir. Pourtant son destin va changer quand elle va récupérer ce qu'elle n'aurai jamais dû prendre.
Que se passera t'il quand le chef de la mafia italienne va vouloir obtenir la chose qu'elle possède ?
Leur rencontre ne sera sûrement pas de tout repos, mais l'amour triomphe toujours, ce n'est pas ce qu'on dit souvent ?
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Gavin Huit ans. C'était le temps que j'avais donné à Lucas, ma jeunesse entière vouée à son bonheur et aux promesses de mariage qu'il m'avait faites.
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Au bord du gouffre, brisée mais résolue, j'ai composé un numéro que j'avais gardé secret : celui d'Alexandre de Valois.
Sa réponse, calme et sans hésitation, a scellé mon destin : « Quittez Lucas. Épousez-moi. »
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Ce n'était pas une fuite, mais le début d'une revanche glaciale, orchestrée dans l'ombre, qui allait le détruire. Elle n'était Plus une Étape
Gavin La lampe de chevet éclairait à peine la chambre, et pourtant, dans cette semi-obscurité, je voyais le vide entre Kyle et moi, un vide que nos corps tendus ne parvenaient pas à combler.
Puis, alors que je pensais qu'il dormait, j'ai entendu son souffle lourd briser le silence, suivi d'un murmure glaçant : « Carole... ».
Mon sang s'est figé. À travers l'entrebâillement de la porte, j'ai vu Kyle, le corps voûté, le visage tordu par un mélange de désir et de douleur, tenir une photo de cette femme, qu'il appelait avec une satisfaction obscène.
Le contraste était brutal : avec moi, il était bloqué, distant ; avec elle, il était volcanique. Le désespoir m'a envahie, la terrible vérité s'est imposée : je n'étais qu'un "pis-aller", une auberge de passage sur sa route.
Comment avais-je pu être aussi aveugle, croire à ses promesses, servir de pansement à ses blessures pendant des années ? Mais une étincelle s'est allumée dans ce cœur en miettes.
C'en était fini de la Juliette naïve et soumise. J'allais partir, quitte à épouser le mystérieux Alan Moore, défiguré dit-on, pour fuir cet enfer. L'Enfant Non-Né : Mon Arme Secrète
Gavin Le jour où ma mère est morte, ma réputation a été anéantie par des photos truquées de mon fiancé.
Mon ami d'enfance, Kyle, m'a « sauvée », m'épousant et me promettant une vie de protection après ce drame.
Trois ans plus tard, enceinte de huit mois, j'ai surpris une conversation qui a fait basculer mon univers.
Kyle, l'homme de ma vie, a avoué avoir orchestré la mort de ma mère et ma ruine pour servir son obsession pour ma demi-sœur, Carole.
J'étais un simple pion dans son jeu macabre, une prisonnière dorée, lui qui était l'assassin de ma mère.
Sous le choc, son ignorance de ma véritable grossesse devint mon arme secrète.
Encore sous l'emprise, il me força à endurer les machinations de Carole et de mon propre père, me rabaissant et me blessant, allant jusqu'à me brûler la main, me privant de ma carrière de sommelière.
Comment pouvais-je être si aveugle au mal qui me cernait ? Quelle vérité cachée se tramait derrière cette façade de "bienveillance familiale" ?
J'ai dissimulé mon avortement, placé le fœtus dans sa précieuse boîte à vin et, armée d'une nouvelle identité, je me suis échappée en silence, laissant derrière moi des révélations glaçantes. Renaître à l'Aube de mon Mariage
Gavin L'air suffocant de notre appartement parisien m'étouffait, imprégné de l'odeur des médicaments et d'une solitude lancinante.
Ma main tremblante cherchait mon téléphone sur la table de chevet, alors que chaque inspiration devenait une bataille perdue contre ma crise d'asthme.
« Alan… j'ai besoin d'aide… » haletai-je, mes poumons en feu, mais sa voix, lointaine et irritée, me parvint, noyée dans le bruit des vagues et des rires : « Juliette, tu ne peux pas me laisser tranquille une seule fois ? Je suis sur la Côte d'Azur avec Carole. Appelle un médecin. »
Un clic sec. Il avait raccroché.
C'était la dernière chose que j'entendis avant que mon corps ne s'affaisse, ma dernière pensée amère n'étant pas de mourir, mais d'avoir gâché ma vie pour un amour qui n'avait jamais existé.
Puis, l'obscurité m'a enveloppée, douce et finale.
Mais à l'aube, mes yeux se sont ouverts brusquement sur notre chambre parisienne – plus neuve, étrangement familière.
Le calendrier numérique affichait une date qui me glaça : le jour même de mon mariage.
Alan entra, impeccable, indifférent, et lança : « Je sors. J'ai un rendez-vous avec Carole. Ne m'attends pas. »
Le nom de la femme qui avait hanté ma vie passée, Carole, résonnait.
Dans ma vie d'avant, j'aurais supplié, pleuré.
Mais cette fois, une froide détermination m'envahit.
Je me suis assise dans le lit, les draps de soie glissant sur mes épaules, et d'une voix que lui-même ne reconnut pas, j'ai dit : « Alan. Je veux divorcer. » L'Héritière Contre son Ex
Gavin Ce soir, c'était mon trente-deuxième anniversaire. Dans notre appartement parisien, j'avais préparé son plat préféré, rêvant d'une soirée romantique avec Alan.
Il est rentré après minuit, sans fleurs ni cadeau, méprisant ouvertement le dîner et le gâteau que j'avais passés des heures à préparer.
Puis, j'ai senti ce parfum : Chanel N°5. Celui de son assistante, Brenda. Et la photo envoyée d'un numéro inconnu a confirmé mes soupçons : Alan et Brenda, main dans la main, se promenant dans les Jardins du Luxembourg. Il a appelé ça une "urgence professionnelle".
Il a osé me dire que j'étais un "fardeau" pour sa carrière, que je ne pensais qu'à avoir des enfants. L'homme que j'avais tant aimé m'a demandé : « Si tu veux un enfant, on peut prendre un chien. » Cette phrase a été le coup de grâce.
Cet homme, que j'avais tant soutenu, lui offrant mon héritage, ma carrière, ma vie pour lancer sa « brillante » startup, m' a jeté un collier de famille à mes pieds en plein gala, brisé en mille morceaux.
Alors que les agents de sécurité m'expulsaient de la salle, je l'ai regardé droit dans les yeux. « Tu vas tout perdre, Alan. Absolument tout. Je te le jure. » En sortant, j'ai composé un numéro : celui de l'avocat de ma famille.