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Punir le Puceau

Chapitre 5 5

Nombre de mots : 1236    |    Mis à jour : 08/10/2024

anticipation de ce qui allait suivre. Mon esprit criait de questions,

inalement, ma voi

acquiesça, satisfaite. Et Sacha, toujours douce

e je venais de franchir une ligne invisible, un point de non-retour. J'étais à e

ons quitté la maison des sœurs Carter , j'avais senti un changement dans l'air. Tout avec Stacy semblait moins calculé, moins encadré. Elle avait cette éne

nuit s'infiltrait dans l'habitacle, jouant avec ses cheveux et créant une ambiance presque irréelle. Elle avait insisté

up d'œil dans ma direction. Son sourire était malicieux

our, mais la nervosité était toujours là, en toile de

ses doigts effleurant le volant avec aisance. « Mais tu

ation et de crainte me gagnant. Qu'est-ce que Stacy allait me faire découvrir ce soir ? Je n'étais pas encore

droit n'avait pas de nom, juste une porte noire et une lumière tamisée qui émanait d'une petite ens

moi avec un sourire espiègle. « Bienv

» demandai-je, ma voix

dit-elle avec un clin d'œil. « Là où tout ce que tu p

effrayait. Stacy sortit de la voiture, ses talons résonnant sur le bitume, et je la suivis,

lle, et une musique basse résonnait dans les murs, un rythme lent qui faisait battre mon cœur au même tempo. Des

it déjà en action. Elle attrapa ma main et m'emmena vers un coin plus reculé du club, un espace in

is me fit signe de m'asseoir à côté d'elle. « Ici, personne ne

e de mon corps tendu. « Et... qu'est-ce que tu atten

dans le mien. « Je n'attends rien, Lucas. Je veux juste que tu découvres c

cy ne cherchait pas à imposer sa volonté, à me contrôler comme Mia le faisait. Elle était là pour éveiller

n souffle chaud contre ma joue. « Dis-moi, Lucas... qu'est-ce qui t'a tou

mes souvenirs, mes désirs enfouis. Il y avait tellement de choses que j'avais touj

ra-t-elle, sa main effleurant doucemen

oment, quelque chose en moi se brisa. « J'ai... j'ai toujours eu envie de... perdre le contrôle », a

sincère, presque tendre. « Voilà

mes dans une petite pièce privée, décorée avec le même luxe que le reste du lieu, mais avec une intimité renforcée

de cette audace qui la caractérisait. Elle se tenait devant moi, domin

ôle ? Alors ce soir, je v

agissait à elle, à sa proximité, à ses mots. J'étais excité, terrifié, et fasciné en même temps. Stacy avait cette manière de te

nt lentement ma cravate. « Mais tu n'as rien à craindre. Je va

issait. Stacy avait cette façon de te faire sentir à la fois vulnérable et pui

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