Punir le Puceau

e seconde où cela me mènerait. Être au service de trois femmes puissantes, belles et incroyablement charismatiques semblait être une chance inespérée. Mais j

es de luxe... La routine, en somme. Mia, l'aînée, est entrée dans la pièce comme une tempête, vêtue d'une robe de soie noire qui soulignait sa silhouette avec une sensualité indéniable. Elle était

« je vais avoir besoin de toi pour quelque chose de... personnel. » Il y avait quelque chose d'ét

umée. « Bien sûr, Mia. De quoi avez-vous besoin ? » Elle a souri, mais ce sou

t de ne pas trop me poser de questions. Après tout, ce n'était pas la première fois qu'elle me demandait des services personnels. Parfois, elle avait b

s'est assise sur le bord du lit, croisant lentement les jambes avant de me fixer droit dans les yeux. « Lucas, » a-t-elle commencé

« À propos de moi ? » ai-je demandé, tentant de paraître

e a laissé sa phrase en suspens, attendant que je réagisse, mais je ne savais pas quoi dire. Elle savait quoi, exactement ? J'ai tenté un sourire maladroit, pensant

Ce n'était pas quelque chose que je partageais avec qui que ce soit. J'ai ressenti une vague

e levant lentement et en marchant vers moi. « Ce n

ussi mal à l'aise de toute ma vie. « Je... je ne vois pas en quoi c'est

ant doucement le long de ma chemise. « C'est fascinant. Et maintenant que je le sais... Je veux m'amuser un pe

t entrée avec un grand sourire. Elle portait un débardeur et un short en soie, une tenue à la fois décontractée

oindre question, Sacha m'a regardé avec cet éclat malicieux dans les yeux que je connaissais

onfusion et d'embarras. « Je ne comprends pas ce qui se passe, » ai-je

pas si tendu. Nous voulons simplement t'aider à... explorer certaines chos

te, comme à son habitude. « Alors, on parle de Lucas et de son innocence, c'est ça ? » Elle s'est a

à faire de ma virginité leur nouveau jeu. Je me sentais comme un lapin pris au piège, incapable de bou

encé, mais Mia a levé une

idées. » Elle s'est rapprochée de moi à nouveau, son souffle chaud contre ma peau. « Et si tu n

rs rêvé d'être avec ces femmes incroyables, mais une autre savait que je n'

une bonne idée, » ai-je fini par

quand tu es nerveux. Ne t'inquiète pas, Lucas.

s jamais. Et honnêtement, avec nous trois, tu seras entre les meilleures mains possibles. On p

ées à faire de moi leur jouet. Mais je ne pouvais pas ignorer ce malaise grandissant en moi. C'était bie

-je dit d'une voix presque inaudi