Au delà de l'interdit

Saint

à cause des longues heures de garde accumulée cette semaine. À 32 ans, j'avais appris

'épuisement sur mon visage. Malgré tout, j'étais déterminé à g

womèt, se travay nap travay (comme dit l'ex président d

logiques, les suivis et les urgences se succédaient l'un l'autre. Dans ce pays, septembre et novembre n'ont jamais été des mois de toute

tte pression. Mais aujourd'hui, quelques chose de différent m'était arrivée. Cette interne. Claris

ion approfondie du sujet. Je dois avouer que j'avais été impressionné. Chose inhabituelle, j'aurais souhaité pouvoir e

tée pour son travail. Une partie de moi savait qu'elle était touchée par mon approbation. Cela signifiait tant de choses pour e

ensées. Moi et Elena avec qui je sors depuis bientôt 3 ans, c'est une histoire à rebondissements. Tro

étais censé être de garde à l'hôpital. Une nuit comme les autres. Enfin, je le croyais. Je me trouvais dans ma petite c

ce qu'elle racontait, une dispute éclata entre nous. Violente, comme s

son chemin lorsqu'elle me c

ui tu

n baisé, elle croit déjà qu'elle

r la santé de mes patientes. Au lieu de ça, je dois rester là et l'écouter continuer avec ses insultes sans queue ni

Daniel ? C'est toi q

e ne peux pas me défiler de mes obligations. Tiraillé entre mon devoir et mes sentiments, je finis par rester avec. Contactant un

rrive de croire qu'elle a besoin de ces rebondissements dans notre couple. Parce qu'

temps, la communication était devenue si difficile. Quelques choses en moi me disait que cette relation é

proche. Viens

allongé un moment. Mes pensées tourbillonnant dans ma tête. Faire l'amour avait toujours été notre façon de se réconcilier, d'ou

. Je me dirigeai vers la terrasse du dortoir des résidents, espérant trouver un peu de calm

ne sais même pas pourquoi. Cette jeune interne avec son regard perçant, son sourire timide, et cette manière de s'investir à fond dans son travail.

ais en elle ce que j'avais perdu au fil des années : une certaine innocence, une vision claire de ce

ofession. Ou si, comme moi à son âge, elle était encore animée par cette naïve

ait que mon histoire avec Elena touchait à sa fin, même si je refusais de l'admettre. Peut-être que c'était le fait de penser à une au

acté plus tôt pour me remplacer. Il m'informait que tout était calme pour le moment, mais qu'il y a

le travail pour oublier mes pensées tumultueuses, mais je savais que je ne

isé. Comment étions-nous arrivés à ce point ? Notre amour était devenu une routine, un cycle de disputes et de réconcili

eau émotionnel pour redevenir le médecin et l'homme que j'avais toujours voulu être. Mais comment

ais j'avais pris une décision : il était temps de reprendre le contrôle de ma vie. Pour moi, pour me

ts de présentation pour le mois. Cette réunion était cruciale pour préparer les futures activités du service. Quoiqu'

ension subtile dans son attitude. Ça m'a touché de ressentir qu'elle veuille instaurer de la distance entre nous. Même si c'est ce que moi je faisais. En temps que c

ien défini. Un ensemble de règlements qui devraient être respecté pour la bonne marche du dit service. Et l'une d'entre elle était de maintenir une frontière prof

ant à dissiper mes pensées confuses. Mes interactions avec Clarisse ét

ec un regard perçant qui ne laissait rien passer. Il était aussi quelqu'un avec qui j'avais partagé de nombreuses gardes lorsque j'étais résident junior. Et

ce de moi, une lueur malicieuse dans les yeux. Tu s

i, essayant de dissimuler

al, juste la fa

on s'arrêterait là. Mais Delva n'était pas du genre à

j'ai remarqué que tu sembles un peu distrait ces derniers

épaules, évit

tress du boulot, c

e, mais son sourir

vécu bien de moments stressant. Ou b

ntérêt particulier à notre nouvelle interne, Clarisse Lafleur.

traverser l'échine. Je posai ma tass

as de quoi tu parles. Elle est un

nt, baissant la voix pour éviter

des d'une manière différente. On est tous passés par là, tu sais. Les

t, prenant le temps de

ait un excellent travail, et c'est pour ça que je la rem

ne expression plus s

attention, Daniel. Ce genre de situation peut devenir compliqué, surtout ave

n sûr. Les complications de ma vie personnelle étaient déjà assez lourdes sans ajouter un autre facteur

ête, reconnaissant le co

ançois. Je fe

on expression s

ut. Prends soin de toi, Daniel. Et essaie de

sse de café, me sentant encore plus troublé qu'auparavant. Delva avait raison sur un point : je devais être

sty, si je m'en souviens. De la tête, je la saluai sans m'y attarder. J'étais conscient des rumeur

etrouve à réfléchir à mes propres dilemmes. Me demandant s'il était possible de réconcilier mes sentiments personnels avec mes responsabilités pro

enir s'il est débordé pour la soirée ou si un cas le dépasse. Puis, je regagne le quartier des