Ma lueur d'espoir
gré son emploi de serveuse, les factures continuaient de s'accumuler, et l'argent fondait comme neige au soleil. Les nuits
agement la submerger. Elle se tenait devant le miroir de la salle de bains, fixant son reflet fatigué. Des cernes so
, tu peux le faire, » murmura-t-elle à son
elle les embrassa avant de partir. « Je reviens ce soir
t Yann, l'air sérieux. « Bo
un sourire forcé, avant
divers commerces, bureaux et même des usines, espérant que quelqu'un, quelque part, aurai
fiche annonçait un poste vacant. Après avoir échangé quelqu
vente ? » demanda la propriétaire, u
clientèle en tant que serveuse. Je suis très motivée et j'a
« Nous cherchons quelqu'un avec une expérience spécifique en vent
tentative infructueuse faisait grandir la pression sur ses épaules. Elle décida de fa
ppela Yann. « Salut, c'est moi
et je m'occupe de préparer le déjeuner
ce que je ferais sans toi, »
que tu fais de ton mieux, » répondit-
abandonner. Elle continua de parcourir les rues, s'arrêtant dans chaque mag
pour prendre un café. En attendant sa commande, elle remarqua une annonce sur le t
appela. Une voix douce lui répondit, et après une brève
C'était une petite maison dans un quartier résidentiel. E
e Dubois. J'ai appelé
Lefèvre. Entrez, s'il vous plaît
nne à la cuisine, où elles
n peu de vous et de pourquo
mille, et la nécessité de trouver un emploi
e. Il s'agit de quelques heures par semaine, pour m'aider avec le ménage et
'organiser, » répondit Anne, reco
me Lefèvre. « Commençon
la pression restait immense. Le loyer, les factures, la nourr
Anne trouva Yann assis à la table de la cuis
debout ? » demanda An
parler, » répond
ce de lui. « Qu'es
rouvé un travail
e. « Un travail ? Mais t
peux travailler après les cours et le week-en
sur lui de contribuer à leur survie. « Yann, je suis tellement fière de to
» insista-t-il. «
ccord. Mais si tu sens que ça devient tro
la tête.
tenir une certaine normalité pour Yann et Iris. Mais la fatigue commençait à prendre le d
a, inquiet. «
tête. « Juste fatiguée.
Tu ne peux pas continuer com
sur ses joues. « Je ne sais pas quoi f
» dit-il fermement. « On est
va des petits boulots, des tâches ponctuelles qui lui permettaient de ramener un peu d'argent à la maison s
trait chez Madame Lefèvre, cette
l vous plaît. J'ai quelqu
s'assit. « Oui,
ocate et cherche une assistante. Ce n'est pas un travai
lérer. « Vraiment ? C'est u
et veut vous aider à vous remettre sur pied. Voici
ude. « Merci, Madame Lefèvre. Je n
terminée. Vous avez un esprit comb
ains moites et le cœur battant. Elle fut accueillie par une femm
lodie Lefèvre. Ma mère m'a
de me recevoir, » répondit Anne
un sourire. « Parlez-moi de vous et
envers ses frères et sœurs, et son désir désespéré de trouver un
e. Je vais vous