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Ma lueur d'espoir

Chapitre 3 La Déchéance

Nombre de mots : 1347    |    Mis à jour : 29/05/2024

aient presque irréels, éclipsés par l'ombre de la tragédie. Bertrand et Jeannette avaient laissé un vide immense, non seulement émotionnel, mais aussi f

avait laissés. Elle ne comprenait pas la moitié des termes légaux et financiers. L

nda-t-il, essayant de dissimuler son inq

rtout. Papa a emprunté beaucoup d'argent pour ses affaires, et maintenant

ris qui jouait silencieusement dans un coin. « Quo

. « Mais il n'y a pas d'autre choix. Nous n'avons pas les mo

s stressants. La maison des Dubois, autrefois un refuge de paix, était maintenant le théâtre d'une lutte désespérée pou

ouvenirs, dans des cartons étiquetés. Yann aidait du mieux qu'il pouvait, essayant de ne pas montrer sa tristesse. I

jour ici ? » demanda Iris d'une vo

ait pas elle-même. « Je ne sais pas, ma chérie. Mais ce qui compte, c'est q

en moins cossu que celui qu'ils avaient toujours connu. Les rues étaient étroites et e

ec un sourire forcé, essayant de gar

ne. Les murs étaient défraîchis, les meubles usés, mais c'était tout ce qu'ils pouvaient se permettre. Anne savait que s'ada

velle école. Yann, qui avait toujours été populaire et aimé, se trouvait maintenant en butte aux moquerie

sac de sport sur le canapé. « Les gars de l'école sont des idio

c'est dur, Yann. Mais il faut leur prouver qu'on est plus forts

-t-il avec amertume. « O

le fermement. « Tant qu'on est en

aison ne durerait pas éternellement. Elle devait trouver un travail pour subvenir à leurs besoins. Après plusieurs journées passée

rentrait à la maison, épuisée mais déterminée à maintenir une atmosphère de normalité pour Yann et Iri

ouva Yann assis à la table de la cuisine, entouré de liv

ncore debout ? » demanda-

i besoin de bonnes notes pour obtenir une bourse. C'

ut ce qu'ils traversaient, Yann restait déterminé à

nt. « Merci, Anne. Mais c'est toi qui fais tout

masquer sa fatigue. « Je fais ce qu

mieux pour gérer les dépenses, mais les factures s'accumulaient. Un soir, après une journ

criait Yann. « On n'a pas les moyens de te p

guée mais autoritaire. « Ce n'est pas de sa faute.

bras d'Anne. « Pourquoi on doit vivre

lus. « Je sais que c'est dur, Iris. Mai

des bruits de pas dans le couloir. Elle sortit de sa chambre et trou

ais là ? » murmura-t-elle

ir, » avoua-t-il. « J'ai

paules. « Je sais, c'est difficile

veux pas que tu portes tout

déjà, Yann. En restant fort, en travaillant d

Yann et Iris trouvaient des moments de réconfort les uns avec les autres. Ils savaient que la route ser

s difficultés, ils trouvaient des raisons de sourire, de se soutenir mutuellement. Anne se répétai

ils continuaient d'avancer, une famille brisée mais uni

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