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L'Héritage de l'Alpha

Chapitre 4 Chapitre 4

Nombre de mots : 1306    |    Mis à jour : 03/04/2024

fait un sourire méchant

outurière, et pendant qu'Elodie est là, va cherc

viande chère. Je la regarde à nouveau, l

talons et en quittant la pièce. Je regarde

nt de mourir de froid en faisant des courses pou

re, je sais que je dois continuer. Il ne voudrait pas que j'abandonne ou que je m

n rideau du modeste alors que je me tiens dehors dans le

ne et marche péniblement dans la neige jusqu'aux chevilles, m'appuyant contre le vent qui déchire la veste en lambea

e aujourd'hui, mais je n'ai pas pu changer de position depuis des années. Trop mince, trop faible. J'essaye et rien ne se passe. C'est exactement ce que veut ma belle-mère. S

ent que je pouvais à peine me tenir debout, j'avais peur à cette pensé

t fatigué, et j'ai tr

aimé qu'ils ne se soient jamais produits. Au fil des années, plus je passais de temps à penser à lui, plus je le dé

élogieux, qu'il pensait que j'étais belle, séduisante. Mais ça ne pouvait pas être quelque cho

suis

liste», dis-je au propriétaire de l'un des rares magasins de la ville. La plupart des familles chassent pour leur viande, mais co

tour, il remplit mon panier et les pièces sont échangées. Aussi vite que je suis arrivé, je

es chiffons pour vêtements, de la peau et des os, mes cheveux un nid emmêlé de vagues rouges ternes ? Non, selon elle, j'appartiens à la rue avec

bant, le corps courbé contre le froid. Une rafale de vent arrache son châle de sa silho

étourne de la modeste pour la raccompagner là où elle habite,

e", murmure-t-elle en

e raccompagne

ne inspiration étouffée et secoue la tête. Ses yeux sont pr

Mes paroles sont à peine audib

ais m'éloigner, mais sa poigne augmente jusqu'à atteindre une force si en contradiction av

i pas de compagnon." J'avais abandonné ce rêve enfantin d'être emporté et de trouver mon compagnon depuis très, très longtemps. Cette notion avai

de l'ail et de la pourriture. "Reste avec lui et tu seras en sécurité." Je m

n. Je recule d'un pas, mes yeu

hé de ses épaules. Je me retourne pour l'attraper, bougeant soudainement comme au ralenti, voyant le tourbillon de flocons de neige pr

ce, j'ai le châle à la mai

'est p

cherchant sa forme dan

poitrine, je continue de la cherche

est-ce p

es-vou

on visage se plisse alors qu'elle me regarde "Madeline, qu'est-ce que tu fous ?" elle cla

l à la zone avant de placer le châle de la vieille femme s

né de fureur. Je suis tellement engourdi que la gifle ne fait

et tremblant de froid. Ma chambre, rien de plus qu'un placard de rangement avec

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