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L'Héritage de l'Alpha

Chapitre 3 Chapitre 3

Nombre de mots : 1291    |    Mis à jour : 03/04/2024

ce que la foule se sépare et que je m

s yeux croisent les miens. Des yeux couleur de

x puis ma main. Au début, je pense qu'elle est confuse. Peut-ê

main dans la mienne et je l

n'avais encore contacté personne

ue je la balaye sur le sol en marbre dans une valse très délicate. Elle connaît les pas et ses yeux restent fixé

e je peux voir des étoiles scintiller dans ses

eurant mon visage tandis que j

m'éloigne, je remarque le beau roug

uement. Elle s'éloigne de moi, faisant une profonde r

toute la nuit pour danser

e la seule femme ici qui a retenu mon attention. Elle se lève de la révérence et m

mais ma voix est ét

mme ça… ell

IN OU UN

ans pl

AD

éponge dans un seau d'eau. Le chalet a besoin de travaux, du moins ma belle-mère le dit dès qu'elle en a l'occasion. Les fissures dans le plâtre ancien et les cheminées

oigne de sa situatio

n’est qu’exaspérée par

ouche à nourrir. Un

pale et mes vêtements ne sont que des chiffons ter

les plus tendances et est traitée comme une pers

elle est la prunelle des y

es orteils à travers mes bottes usées et effilochées. La soirée approche, une autre journée passée à nettoyer, réparer et travai

ion et essaie de repousser mes

servira à rien, même s'ils font partie des rares pens

lls. Il m'avait demandé de danser, et même si penser à ces quelques instants que nous avions passés tous les deux à tournoyer sur la piste de d

ort de mon père, il y a quelques années, je n'ai jamais connu de moment de pai

a belle-mère est encore

pardonné d'avoir « volé la vedette à Elo

r au bal était d'être la

cours de sa vie, j'avais donc été invité, mais ma belle

t et on m'avait fait défiler avec Elo

de cette horrible robe verte qui la faisait ressembler à un lézard avec

Sans argent pour payer des femmes de ménage ou des cuisinières, tout ce travail repose sur mes épaules. Je frotte plus fort lorsque ses pas réso

r», réprimande-t-elle, les mains sur les hanches

ement à nettoyer à nouveau toute la

oin dans la pièce, renversant délibérément le seau d'eau savonneuse. L'eau sale se précipite vers moi, alors je

tu es maladr

attendant qu'elle contourne la flaque d'eau pour me remettre une li

z la couturière. Elle a besoi

es yeux sombres et d'acier de ma belle-mère. Elle était autrefois une beauté, mais elle est si lai

réalité, elle a dépensé la fortune de mon père immédiatement après sa m

st-ce que sa vient?" Je demande. Ma joue brûle au souvenir des gifles qu'elle me do

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