Charles et Anna — Tome 1
n
-deux ans, les yeux bleu très cla
r, qui avait perdu ses pare
son corps sur la plage, quelques jours après le drame, et sa mère était morte l'année suivant
de la prendre par la taille, pour la mettre sur leurs genoux, lo
fusquer, ni vexer la clientèle. Il n'en est pas mo
ervice. Elle alla chercher son amie Marjorie
en retard, nous allons encore, no
mit à rire,
quand même pas que j'aille
yeux bleu, la taille fi
bien pourquoi ? dit
avait deviné que la belle av
du commun cette fille, et l
angé ses cheveu
ends-tu pour te t
ttends de trouver l'amou
ois à ça ? Tu seras
oi quelqu'un pour te réchauffer la n
tique, tu le sais bien.
chemin de la taverne. Lorsqu'elles arri
en retard ! Je me demande
mais Marjorie le connaissait b
les clients aiment venir ici, rien que pour nous regarder, ré
déridant un pe
s s'impatientent. Allez donc servir s
pondit Marjorie, s
re, ce qui permettait aux jeunes filles de
rès ordinaires, lorsq
t Georges
Il faut dire que Charles était très é
éclata
s vu comme ça ! s'exclama-t-
balbutia Anna à qui le
es fascinée par lui ! Cupid
yant de retrouver son calme, c
pas ! dit-elle e
e verras de plus près ! dit Ma
! fit-elle timide, r
çut un choc. Jamais il n'avait vu une jeune fille aussi
s l'ob
la copine de Mar
auté ! Elle est magnif
oirs, évidemment que je la connais !
s'appell
aussi ébahi, ce qu
en mer, il y a plusieurs années, raconta Georges tristement, et elle a p
i triste sort pour un
? Anna ! s'écria Georges. Viens
arda Marjorie. Celle-ci h
t toi qu'on app
-froid, et retrouver une apparence convenable. Éviter par la même occasion de regarder Charles qui n
sirez-vous ? demanda-t-elle
une bière ma belle, et
onner son prénom, voyant bien
e savait commen
alons avec grâce, et partit d'une démarche souple et ondu
e et lugubre, mais il
je suis éveillé ? demanda-t-il
u as devant toi la plus j
non plus. Mais Anna a qu
en, elle est plus frivole qu'
un devant Georges, puis un devant Charles, et c'
ntit des fourmillements dans tout son corps. Une chose qu'il n'avait jamais connue avec ses nombreuses avent
ait à la scène et jug
est un réel délice tu m'
scrètement, alors que Charl
e fais que la complimenter. De t
e sourire, et répo
i hé
t leur bière
possible, pour la rencontrer ailleurs qu'à la taverne, afin de faire
t ce grand séducteur n'avait qu'une envi