Un jeu dangereux

issante érection puis, tout en souriant, se souleva lég

it nue d

veux, dit-elle en faisant glisser

à ce que je ne puisse plus le supporter, et je la prend dans mes bras, avant de l’installer à califourchon sur moi. Mais

as

i,

. Dans

e contre moi, je me lev

’escalier tandis qu’elle enroulai

atifs sont da

que nous n’en a

p de pied et me dirige vers

ends la

pour te

eu besoin de me

en ne m’aurait empêché d’utiliser un préservatif. Mais avec Maryline ... Je

, tu vas me

sens n

ns jamais ner

oigneusement le mamelon qui réclamait ses caresses. N’en pouvant plus, Maryline poussa une petite

au avec la même ardeur, Je me me redre

es seins humides, ses mame

bric

eut-être do

nt m

brasser. A vrai dire, Je me s

ngue, pas seulement avec mes doigts ; je voulait la sentir jouir dans ma bouche... Mais par

te voix eut beau me susurrer que le temps nous était compté, j’étais certa

bric

t le m

... V

nt où tu peux obtenir tout ce qu

n souvie

elle et elle e

glisse un bras

qu’elle désirait, ni mêm

oute pensée, toute souffrance disparurent. Parce qu’

e ferai p

rice

e-toi a

reins vigoureux qui la fa

elle pous

oujours c

No

Ah

’habitude, j’ai une sor

ain et la pose sur

urqu

ien. Tu n’as jam

No

ment envie de travail

réagirait

.. Tout le monde pensera sans doute que je m’en vais

ent, puis repri

e crois pas que je tiendrai compte de lui quand je prendrai ma décisi

les mêmes senti

oudrais m’éloigner de lui. La vie qu’il mène ne m’intéresse pas.Mon père ne travaille pas, Il reste assis sur son tabouret d

avec moi

r ? Ave

-bas ? Au début, je pourrais t’aider. Je suis copropriétaire d’une entreprise

appuyée sur mo. torse, elle

u pourrais y vivre avec

Je ne sais pas si ç

rquoi

leux, vraiment... Mais je n’ai pas très env

dit au bas du lit en réprimant

, dit-elle sans md regarder.

n voyant la tache d

Oh

nquiète pas. Personne n’en saur

près elle sort d

arde fair

ière fois que t

ici, oui, Maryline , j’ai un

cela plus tard. Pas maintenant. Parce que, avant d’aborder les affaires de famille, nou

c une autre femme, Je ne te ferais jamais une chose pareille. Et je n’

comprend

, ni même de me fiancer, mais oui, tu pourrais vivre chez moi au début, et nous pourrions sortir ensemble, appre

es sûr que cela ne t’ennuiera p

ument libre de vivre tes rêves et de travailler dans le domaine

obé

qu’un drap ayant séché

a

igne de s’app

y a autre

r le lit et r

Et

savourant chaque instant de ce merveilleux baiser. Quand je me résous à détacher mes lèvres de celles de Mary