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Le PDG

Chapitre 5 Chapitre 5

Nombre de mots : 2705    |    Mis à jour : 29/10/2022

de v

après-mi

vec ma mère. Étant donné que j'avais mon après-midi de libr

idente et ma seule famille. Depuis son divorce avec mon père il y a sept ans, elle n'a pas ch

. Mon père lui est carrément sorti de ma vie. Depuis que j'ai appris qu'il a trompé ma mère, je l'

lors d'une de ses affaires de justice et ma mère a fait une f

moins j'ai du mal avec les relations d'un soir. Je veux d'une

erait pas de trop. Attablée face à moi sur la terrasse d'un petit café, ma mère me sourit et repose son

Me demande ma mère en évo

redresse, f

trouver encore belle. Qui ne rêverait pas d'une femme comme elle ? C'est sûr que moi personne ne me trouvera auss

ouveau bureau ? Ton

mes joues chauffer. Comment j

s jeune aussi mais pas des plus agréable.

comment ? Elle m'interrompt e

ais pourquoi tu

s photos devant ses yeux. Elle relève les yeux ve

égayer sûrement parce que son charme a opé

erde alors. Les mains dans les poches de son costume, il semble que ce c

er mignon

sa propre pag

si je sais qu'elle a raiso

e que je ne te croirais pas, elle plaque ses mains

Je l'interroge, étonnée qu'elle

type d'homme. Mes petits copains ne

use, et si j'en crois la description que

e je suis conne ? Je grimac

que comme lui, tu es têtue et

pas têtue ! Je d

u'elle avait raison encore. Je connais ma fille quand même. Et puis, peut

'arrête alors qu'elle essaie de parler, il r

t que je me trouve un homme, que je me pose avec l

t nous demande ce q

ux sucres pour moi,

? Me demande le serve

que je repense au café que j'ai du prépar

i reste tout le t

e s'il vo

sans doute pré

- Pourquoi tu souriais comme une débile quand il t'a demandé combien tu voulais de
sucres ? M'interroge ma mère en ramenant ses deux mains devant elle.

a tête. Ça m'a juste fai

r au soleil sur la terrasse du bar. Le ciel commence à se couvr

e nouveaux vêtements un peu moi

He

uis ton premier emploi. Brise un peu les règles, crée ton propre che

aux vêtements maman. Mes tail

uelque chose de plus actuel. Et de

t sur ses lèvres, je soupir

que je pensais

e les boutiques pe

heur

ur acheter deux ou trois robes très simples mais qui ont coûté plus que mon précédent salaire. Ma mère ne le cache pas elle gagne assez bien sa vie et bien que je refuse souvent qu'elle me donne de cet argent , me faire p

ssi pour voir la ré

éjà de retour au bureau. Comme d'habitude, je pass

e salue Joy à l'entrée et continue mon chemin malgré les classeurs qui

e même à me cogner contre quelqu'un , un télép

jamais assez de mon salaire pour r

moi et malgré mes ex

tente de me pencher pour reprendre l'apparei

avant que je n'ai pu le faire et se redre

es. Déstabilisan

_

de v

d'apercevoir son visage la jeune femme se dandine comme elle peut pour récupérer ce qu'il peut rester de mon téléphone acheté le mois dernier. Sa robe, noire et

ue la tête. Je n'aime pas les femmes provocantes et

e croise ses beaux yeux. Elle a l'air tout sauf à l'aise dans cette tenue qui lui va tout de même très bi

je ne trouv

eveux derrière son oreille. Je suis désolée

ssez fait je crois, je rép

ôlent et un frisson m'envahit. Ma peau

levé sa main de la m

re et je mords la mienne pour ne pas fra

demander de payer ce téléphone. Même en un

tourner trav

ir. Quelques minutes plus tard je m

là. Et puis, elle avait l'air vraiment désolée.

avec ses employés et que cette Mademoiselle Miller m'atti

désormais éraflé vibre et je

lô p

jouée me rends soudainement

uis juste un peu fat

'on déjeune ensemble ce midi ? Ça pourr

a m

ant ton bâtiment. À

alance mon mobile sur le petit canapé

mi tous les dossiers urgents. Mais le premier

_

de v

méro du magazine qui sortira à la fin de la semaine. Mais malheureusement pour moi je n'ai pas c

me fai

ue pendant une bonne heure, la tête comme un ballon. Mais la colère

"Même en un an de salaire vous ne pourriez pas le réparer."


ne en même temps. L'appareil est là. Je m'engouffre dedans et appuie sur le bouton du

e. Ça fait cinq minutes que ma mère était censée venir à ma rencontre. Je croise les bras et ta

tendez qu

, il a fallu que ça ne soit lui qui vienne à ma rencontre. Debout à ma droite, les bras cr

us aussi, je réponds simp

orr

t de silence qui rend

on

nce les sourcils

n père que

moi m

parvient et je lève les yeux au ciel. Comment peut-i

atron sur le nez. Lorsqu'il les relève, leur ressemblance me frappe. Comment j'ai pu ne pas reconnaitre le visage de l'homme en p

solé pour le

il passe une main dans ses cheveu

r Mademo

votre fils, je lui explique et il hoche la tête

Vous déjeune

fait qu'atte

pas dans leurs bras pour manger avec eux , qu'il m'éjecte comme il vient de l

urs elle est

l y avait beaucoup de bouchons ! S'ex

n regard sur mon patron et son père. L'interrogation apparaît dans ses yeux quand elle ancre ses yeux

mon patron Monsieur Ca

ard

e la gorge et tend sa main à ma m

ous rencontr

lui répond, la voix

t envahir l'espace et je me r

ger avec mon fils et moi-même ? Finit

ste son fiston et je comprends qu

érange pas plus que ça en ce qu

rès genti

, lance ma mère,

regard noir. Elle me sourit timidement cer

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