Vision du monde

tie

nous a présentés, je ne rêve que de toi, tu occupes t

ête. Amoureux de moi… Landry le petit ami de M

i dis quelque chose…

dégoûtait comment pouvait-il faire cela,

plus à cacher ces sentiments que j’éprouve pour toi, tu occupes tout le temps m

droit devant moi sans rien dire, mieux vaut ne pas brusquer les cho

a voiture, durant tout le trajet nous n’eûmes à échanger aucune parole, Landry semblait embarrassé et

sait de se gratter la tête. Je dois l’avouer Landry m’avait également tapé dans l’œil lors de notre première rencontre mais c’était le boy de ma c

se-moi

ce baiser était doux…Tellement doux. Landry était un bel homme, toujours bien fringué,

s sur ses lèvres et l’embrassait, il répondait à mon baiser avec encore plus d

ste pour que tu ne te sente pas coupable mais à part cela il n’aura jamais rien entre nous, tu es le petit ami de ma copine et je ne suis pas le genre qui fait le ta

ochant peu à peu. Laisse-moi,

C

vis de qu’il s’agissait j’en restais figée, mon cœur s’était mis à battr

e ? Me dema

er, tuer ! J’étais foutue. Il insista encore, ni moi, ni Landry ne

descendais sans dire quelques mots à Landry. Puis Marc repris mais en s’adressant cette fois ci à Landry. Je vous remercie de l’av

ir qui vous êtes

! Là il veut encore m’ajouter les problèmes, si Marc a su

-vous en et que je ne vous repren

hanci. Dit-il séducteur ava

is je ne le fis guerre. Marc me regarda, il n’avait pas l’air en colère, ou déçu et c’est bi

ut naturellement, avec un pe

Demandais-je d’u

, d’après lui c’est un prénom de fille facile, pff n’importe quoi, en même temps j’aimai

nne (faut mentir un peu ou bien ?)

d’où pour qu’il

it le mariage de sa grande sœur

Habillé

est une robe

u as raison. Finaleme

nnivers

ureux ensuite on devait aller observer les étoiles et passer une bonne nuit ensemble mais bon tu devais rester chez toi

c’est quoi même

vait demandé depuis mais j’avais oublié et elle a tellement insisté po

un doux baiser sur le front. Tu finis la soirée avec m

je ne s

uste pour ton ann

je. OK, OK. Mais o

juste t’avoir dans

ché

parents ? D

uiète j

ok

au quartier Charbonnage, je n’étais jamais allée chez Marc disant que j’avais peur de me retrouver seule avec lui, je tenais tant à rester vierge au moins jusqu’à mes 18ans mais je venais de les avoi

avait ouvert ma portière et me tendait sa main, je sup

issant la sienne. Il me sourit

enu me chercher, une Porsche Cayenne, une Aston Martin noir et sa Range Rover dans laquelle nous étions. Il me f

quelque chose ?

va, ça v

ne pas fais co

ok

les miennes comme s’il ne voulait pas brusquer les choses. Très vite ce baiser devint intense, nos lèvres entremêlées et nos langues communiquant entre elles, Marc passa sa main sous ma robe en me rapprochant de lui, il me pr

ête Marc… Je

t le pavillon auriculaire puis il baissa la fermeture de ma robe, dévoilant ainsi mes seins debout dont les téton

essant ainsi les cuisses avant de les poser sur mes fesses qu’il appuyait et donnait de temps e

Demandait-il d’un

veux plus… Répo

r lui en baissant mon string, il remonta ses doigts le long de ma colonne vertébr

plus forte, une autre encore de plus en plus forte, puis ce fut une succession de baffe ! J

yooooooo !!! Je t’ai même fait quoi ?! Sniiiffff

s pas ce que tu as

Pon !

frappait. J’en pleurais tellement que s’en sui

apa ohhhhh sniiif p

lleurs il devrait être déçu par t

hhh Marc, sniiifff lai

Pon !

inon je te fesse en

oo sniiiiif.

n

A BOUCHE

. Fis-je en séc

nt touché le fauteuil que je sursautais, j’avais tellement mal que je sautillai

ression que je redoutais tant était là, Marc était énervé, il fulminait, j

ide mensonge. Mais tu es BÊTE ! Franchement ! Tu ne demandes même pas comment et pourquoi je me retrouvai

se-moi Marc,

illement mais tu es vraiment bête ! Dès que je suis arrivée en boite je t’avais déjà vu avant de me diriger vers la table, j’ai fait mine de ne pas t’avoir vu pour voir ta réaction et tu

onc tu m’as mau

niiff… Pl

chuuiip ! Et quand j’arrive je trouve madame dans la voiture prête à embrasser l’autre idiot là ! J’ai même été gentil

de m’embrasser je m’apprêtai

te justifier tu ne l’as pas fait ! Donc ne me s

en cachant mon visa

e mes amies, je te la présenterai ohhhhhhhhhhhh, m’écriais-je craignant qu’il ne me gronde ou me gifle en pensant que je mens. Je te la présenterai, sniiif, je suis trop bête,

mienne, je redressais mon

s trop tu

iif d

ois que tu me fais ce genre

ou

et tu m’appartiens, j’ai confiance en toi, au fait que tu sois différente de toutes les autres mais si jamais je me rends compte que tu t’es joué de moi… Je ne sais pas ce que je te f

a tête en g

t, je t’aurais demandé de faire attention aux petits voyous et de ne pas trop boire. Je ne sais pas comment tu me voi

, me porta et nous nous

punu, je t’aime vrai