Deux valises et un sac… — Tome I

uvant « chez moi ». Le rangement me prit une quarantaine de minutes et en faisant le tour des sanitaires, de la salle de bains et de la cuisin

ngement, suivi à une minute par J

enue, je te souhaite le meilleur ici, et Thierry m’a dit que tu étais d’accord pou

père ne pas perturber vos habitudes, il me faut

ne viens pas avec moi, il va rejoindre sa grande Anglaise, et je me retrouve un peu seul, idem quand je rentre ici, il n’y a personne avec

sents, plus les soirs où on dîne avec des résidents, alors c’est pas la faute d’Élisab

tu as trouvé une copine ça marc

après on file. Tu penses quo

s un village ou un dés

dents, on peut faire le désert ce soir, demain

est bien lui i

parce que demain au village je vais demander à Élisabeth de venir avec nous si

pour

, donc ce soir vous

, et des grands buveurs de bière, une route en terre, avec des ornières, et tout au bout la mer, quelques rochers, un bâtiment en bois, restaurant-bar, sans foule, m

s triée, connaissant et appréciant la cuisine du chef. Ce restaurant n’

des produits locaux, sauf pour le très bon vin rouge, il n’y a pas de vignes sur Tenerife

urner une situation quand elle devenait négative, tout y passa. Il faisait doux, nous étions bien, e

acolytes s’il fallait ré

it en éclatant de

nt pas sûr du tout qu’i

n, alors on fera

conduisait, le guide chargé de m’expliquer le fonctionnement d’un abonnement VIP.La formule me paraissait bien mise au point, ni pression, ni stress, tout en découvrant des villages, des paysages et des choses magnifiques, inattendues, avec la mer en point de mire quasiment à chaque instant. Premier jour, égal premier quart, nord-est, la Capitale Santa Cruz de Tenerife et toute la partie étroite de l’île, qui ressemble plus ou moins à une tête de chien qui regarde vers l’Espagne. La formule de Fred est intéressante, il est sûr que je la réutiliserai ! Sans arrêt nous passions d’un environnement ultra sauvage et magnifique

s de ton

avais maintenant une connaissance élargie de Tenerife, en fait c’est

nous trouvions, le sud-est, mais Fred pr

, et de les convoyer en taxi dans la périphérie de Playa Las Americas. Évidemment les résidents et clients de l’hôtel où nous vivions étaient des cibles parfaites et recherchées. Nous les mettions en garde, mais cela ne suffisait pas toujours et donc parfois le sujet arrivait dans la conversation au c

it à découvrir la rotation entre partants et arrivants, puis de parti

démarrait. Est-ce que j’étais prêt, me demandais-je à moi-même ? Oui, je crois, peut-

rtit que Steven voulait me voir à onze heures «

ui je serai à l’heure

, on le devine à peine il est caché dans la végétation, et pour y entrer en partant d’ici t

ctivement,avec Fred et Steven

s semaines, samedi mati

ompris, bonne

de Steven, il vint m’ouvrir en me

l’heure, c’est parfait,

teven, oui t

et Thierry. Si tu veux rejoins nous au barà midi et demi, je te les présenterai. À part cela, je suis satisfait par l’avis de Fred qui considère que ça devrait bien fonctionner pour toi, tout est en marche pour que tu arrives à ce que je souhaite, et ça commence par une bonne future semaine pour toi. Tu auras trois couples en premier, tu vas travailler en binôme avec Thierry, et donc ses trois couples à lui

suis prêt, et… me

mais en réfléchissant c’était prévisible. La seule inconnue dans les diverses situations : à quelle date et à quelle heure la décision de changement va-t-elle tomber ? On e

ochaine, parce que là tu viens d’arriver, et donc tu n’es pas bénéficiaire du chiffre francoph

es remarquablement bien

ouble nationalité et ils sont, bien sûr, parfai

t je suis heureux

a parlé de toi, je te

aine prochaine alors,

s, b