La Captive de l'Amour et le Bazillionnaire
use verte, le masque... je frotte et je frotte mes mains dans le large lavabo en acier inoxydable. J'étais assistée par deux techniciennes en devenir – dont Zoé cette sale traire! – ainsi que du pr
s techniciennes qui m'assistaient n'ont fait aucune err
dessus du lavabo en direction du miroir dans lequel j
brouillée! s'exclame le professe
s cro
ette opération. Il est possible de suivre le déroulement d'une pièce à la baie vitrée qui est adjacente et accessible aussi bien aux étudiants qu'aux autres pr
ssé de passer de famille d'accueil en famille d'accueil... je le prends volontiers comme un père de substitution. Sa chale
ardonne pas! Dans le corridor, le vieux professeur peut sentir ma sempiternelle insécurité me submerger comme trop souvent. Il pose sa main sur mon épaule chaleureusement. Il me suggère de ne plus y penser et rentrer che
s et mon rêve deviendra enfin réalité. Le professeur Dubuc me fait la bise, m'ayant reconduit à une des sorties donnant sur l
s de la ville, au-dessus d'un centre de yoga qui est dirigé par une femme d'exception: Jessie Marlot. Une dame dans la fin de la trentaine très engagée dans
ationner pratiquement n'importe où tant qu'il y a une prise électrique à proximité, ce qui est le cas de ma place de parking sur le côté du centre de Yoga. Je fais toujours
ends gratter derrière celle-ci et japper bien évidemment. Gala est toujours très heureuse de m'accueillir à mon retour à la maison. C'est un
s à la caresser et la gratter derrière les oreilles... avant qu'elle daigne enfin me laisser pénétrer plus avant dans le lieu. Elle me suit toujours en cuisine pour que je lui serve un
car je suis lessivée. Cet examen m'a crevée, épuisée...stressée au max! Je suis donc le conseil de
e peux cesser de penser à mon mystérieux CEO d'une compagnie basée au Costa Rica, de ce que j'ai découvert par la suite en effectuant quelques recherches sur Internet. Drake Sidov est également ce qu'on appelle communément ici, au Québec, un gros plein de cash. Un Bazillionnaire. Un gros richard quoi. C'est
et sans background, tandis que lui... Nan... Dans le dépanneur, il est évident qu'il ne faisait que me taquiner... Je suis certaine! Il se moquait d'la p'tite caissière un peu bébête! D'ailleurs, il doit surement fréquenter des mannequins ou des célébrités. Quoiqu
i deviendrait bien vite humide... Lentement, il écarterait de sa main ferme la fabrique du dessous satiné qu'je porterais, pour glisser son doigt dans ma chatte humide, caresser mon clitoris de mouvement circulaire... puis insérer un doigt entre les lèvres délicates de ma vulve...pénétrer mon vagin, aller et venir alors que son pouce continuerait de caresser mon clitoris désormais en é
experte sans relâche jusqu'à atteindre l'extase, et ce, devant tout le monde! Drake aurait alors
FF! W
sur la porte de la salle de bain. Je me lève dans la baignoire minuscule, dégoulinante d'eau, et j'attrape ma serviette de bain que j'enroule autour de ma taille en sortant. Je me
i, Gala m
nt. Il existe une garderie pour chien voisine de la clinique vétérinaire de mon quartier. Si j'avais, les moyens, croyez-moi, je l'y enverrais. Ma propriétaire accepte
ai durement apprise dans les foyers d'accueils étant jeune. Très vite, mes gardiens s'exaspéraient si je demandais un peu trop d'attention. J'ai vite compris que je devais être autonome. Du moins autant que faire se peut. Sinon, je me prenais une claque ou mes
enirs venir me hanter encore une fois. Mes espadrilles dans les pieds, je me penche pour mettre