Le roi de la mafia
s quand j'ai entendu
t-elle dans l
naissais pas ces gens et pour
e la cuisine alors qu'il était assis en haut de la t
"Je suis Sofia" répondis-je rapidement avec un sou
t rapides se dirigeant dans c
ta journée ? » demanda Ace, son ton changea alors qu'il essayait de détourner son esprit de sa mafia. Ace serra les mains, posant son menton dessu
nversation ou de contact visuel. « Alors Ace... » Kai éleva la voix du bout de
c lui. "Qu'est-ce que tu veux dire par qui est ton ami ?" Ace a crié à son père parce qu'il était déjà liquidé à cause de la mafia. "C'est toi qui as fait ce putain d'arrangement" grogna furieusement
éfinitivement. "Ce n'est pas une invitée, c'est ma putain
Il se met trop en colère, trop facilement » répondit Kai en roulant des yeux. "Mon fils a des problèmes de colère, si vous ne pouv
renfrogné. Je me suis figée dès que j'ai entendu le nom de mon père. « Kaï ! » Denice a craqué, renfrogné à son mari. "Peut-être que je devrais lui demander, comment il t'a fait garde
entendu parler
est une autre de ses prostituées ? Kai roula des yeux alors que Denice laissa échapper un soupir. Mes ye
é à sa nourriture. "Ahhh laisse le tranquille, il se défoule et j'ai du respect pour les femmes" Kai défendit son fils pour
qu'il arrête ce qu'il faisait pour moi. Ce serait comme
ai posa son menton sur sa main. « Puis-je continuer à aller à l'école ? m
s jusqu'à ce qu'il ess
insouciance. Je n'avais pas peur d'admettre que j'aimais aller à l'école puisque c'était le seul endroit où je pouvais m'éloigner de mon père. Kai y réfléc
ntant les escaliers. "Tu es trop gentille, ma chérie"
ler à l'éc
r alors que des larmes coulaient sur ses joues. Elle m'a lancé un regard mauvais avant de sortir
n ouvrant la porte de ma ch
était celui d'Ace. J'ai secoué la tête, tenté de le jeter ho
ger. "Quoi?" J'ai entendu un grognement venir de derrière la porte. J'ouvris lentement la porte pour voir Ace debout face à sa fenêtre, torse nu. "Sofia" marmonna-t-il, mon nom roulant sur sa langue si do
rs qu'il s'approchait de l'endr
er un sourcil. "Chaque fois que quelqu'un de nouveau vient, je laisse mon faux portefeuille rempli d'argent sur son lit et je vois s
se tenait devant moi; Il n'avait pas
ndre si je voulais » déclarai-je calmement, tenant le portefeuille just
mon oreille. "Eh bien, c'est le but" murmura-t-il
vec son stylo. Il me regarda, attendant une réponse. "Bonne nuit" répondis-je rapidement en sortant
la porte de ma chambre. Tout en lui es