Ma famille ma perte. Tome 1
e Ayodélé
de mettre les couverts,
d'ac
'accord ta cama
aissée. D'ac
feu avant de revenir ter
! Elle m'appelle par
Oui
: Amène-moi
te. Je vous l'amèn
cuvette que je lui apporte avec de l'eau froide dans un autre bol. Au cas où elle voudra diluer l'eau chaude. E
e l'eau fraîch
la cuvette d'eau chaude sur moi. Le cri strident que j'ai poussé
e l'eau avant de me l'apporter. Sinon, c'est ta tête même
ment mon corps me brûle, je ne fais
ler oui ? Dit-elle avant de se lev
:
nt que je ne fasse quelque c
aisser. Tu as vu l'état dans lequel tu l'as mise ? Je peux savoir
t ne t'en mêle pas. Tu ne
mon oncle en haussant le ton. C'est quoi cette cruauté Élise ? Et toi tu es assise là et tu ne
e mêle pas à cette histoire. Je ne suis pas un e
vrant les parties de mon corps que l'eau chaude a touchée d'une pommade. Je ne fais que pleurer. Tellement tout mon corps
a fille. La douleur v
pondre ? J'ai juste fermé les yeux
r la ménager. Elle a é
Imaginez sa douleur après que l'eau chaude soit versée sur elle. Elle a besoin de repos. De beauc
e se retrouve un peu. Que les brûl
la maison. Mes larmes coulent toutes seules. C'est quoi cette vie da
utes les injures. Mais supporter ce genre d'acte meurtrier, je n'en suis pas capable. J
e le plus est la jume
l'eau chaude tout à l'heure. Après elle,
ier qui paie
drice qui est entre deux avions. Ma seconde tante est DRH au ministère des finances. Mon Oncle travaille à l'étranger. Il est au
e grave en cuisine. Je suis un vrai cordon bleu. Dès mon jeune âge, ma mère m'a appris à cuisiner. Et j
. Quoi ! Vous croyez qu'ils allaient me laisser me reposer comme l'a recommandé le docteur ? Eh bien non. Ce matin, comme toutes les fois, j'étais déjà debout. Malgré mes blessures et ma douleur, j
vir le thé. À chaque fois qu'ils viennent c'est comme ça. Quand ils sont à table, je m'
restes de leurs nourritures. Au début, j'en pleurais. Mais maintenant, je me contente juste de r
Dieu. Espérant qu'il exauce mes prières cette fois. Avec l'arrivée de mes tantes, je n'ai pas pu faire les priè
el BOLA
e salon des
sérieuse avec mes sœurs et ma mère. On devrait avoir cette conversation il y a un moment.
êtes des femmes et vous avez aussi des enfants de son âge et même moins. Seriez-vous contentes qu'on traite votre enfant de la sorte ? Depuis plus d'un an, j'entends beaucoup de chose depuis Johannesburg comme quoi, vous la traitez comme une esclave. Je me suis toujours dit que
pas ce que tu crois
l vu ? Que ta fille assise-là ne lui a pas renversé l'eau chaude sur le
que tu sais ce
ortie du même ventre, le même jour que son père. Normalement c'est toi qui devrais la protéger de
au meurtre de son père. Épargne-moi ton discours sur la conscience. Moi,
VEZ TUÉ NOTRE FRERE et vous m'av
es années pour soulager ta conscience ? Pff. D
'être le plus ingrat q
alors je te déconseille vivement de ne plus placer un mot de traver
airs aujourd'hui ? Tout ce que nous sommes devenu aujourd'hui, ou ce que nous avons, nous le devons à notre défunt frère. Paix à son
e : et
egarde abasou
e : Tch
t a fauchée, c'est ainsi que vous al
que ce n'est pas toi
s-je en les fixant. Je paie déjà pour mes erreurs. N
re a quitté ce monde. Dès que je m'endors, je ne fais que faire des cauchemars. Je vois mon frère me demander des comptes. Je ne sais pa
oi mon frère. Di