L'illestrisme: De la nuit à la lumière
nfortunes et tisse le
our nourrir les enfants en bas âge mais vers les six ans, par nécessité, les
bailleurs étrangers, très souvent bourrus, néan
doute, en voyant arracher si tôt les
entre peste et choléra, il n
aim ces pauvres innocents serait la pire
vent honorables, ne seraient pas toujours
ervait toutefois la survie des indigents :
mais par conviction religieuse, on n'osait pas offenser o
besognes, les confiaient aux maîtres,
honoraient au moins la deuxième partie du contrat
vers les bois, tous les jours, par tous les temps, du matin au soir, conduire le
res et veiller au bon remplissage des pan
ent parfois à la maison, aidant aux travaux ménagers
arier à dix ans, âge à partir duquel l'éc
ion, les plus vaillants pour empiler au soleil les planches nouvellem
ule, courant pour échapper au cuisant bâton du s
ts des adolescents devenaient systématiquement l
es plus fainéants : pour ne pas travail
compétence mais à la quantité de trava
la nostalgie de la vie au grand air, sans Dieu ni maître dur
oupeau réchauffait les ventres et leu
une dérisoire rémunération et du droit de dormir à la maison, sans aucune
l'enfer en
ie, passeraient, en outre, leur vie éter
e ténacité mais au final, ils
ode à la