Un amour d'enfant

Frie

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quoi, sans réfléchir, je me dirigeais vers eux, les mains tremblant, en ignoran

s cette décision de venir lui parler.

même avec son air impassible. Et Saran... elle se contentait de me regard

u viens nous adresser la par

lège, il a fallu que ça soit cette peste de Saran qu’il ait choisi pfff. Bo

a toujours cette fille super

ne seule occasion pour nous le rappeler. En plus d’être très belle avec un tein

ran a déjà ses seins qui ont poussés et un jolie popotin qui

a remarque à la limite blessante, je me tourne vers

s la suivre !! peu importe ce qu’elle a à

envie ?? réponds-t-il

e perdis mes moyens lorsque je me rendis compte qu’on était seul et qu

u de la voiture tout à l’heure voilà p

me répondais à peine, à la limite j’avais l’impression que tu ne pouvais p

oui.. c’e

arde-

m ?

as jamais vraiment regardé. J’ai la ferme intention que tu me fuis en quelque sorte. Voilà pour

les doigts, et là je plongeais mon regard dans le sien. J’ai eu une vrai sensation de mal être mais en même temps

me dit-il. Alors tu dis

it le même trajet tous les jours, si tu voulais venir avec moi et mon chauffeur au li

’imposer ma présence tous les jours, pas après ce que j’ai vu aujourd’hui. Me dit-il avec

. Et je promets de ne pas faire la tête durant t

pause comme

ois merci pour ta proposit

emble, comme ça tu me montreras chez t

talons et de se diriger vers une Saran qui a surement suivi notre conversation de loin

der ce que j’étais partie faire avec Boubacar, heureusement, je fus sauvée par

distraite, pensant et repensant à comment mon ret

Je ne comprends pas vraiment ce qui me trouble autant chez lui, ni pourquoi cela m’arr

vre de mes parents !! S’ils savaient qu’ils payaient mes études tellement chères et que moi au lieu de travailler comme il se doit je me met à r

classe, devant le bâtiment je vis Boubacar m’atte

rire puis je lui rendis son sourire, et sans

plutôt gaie. Il me raconta ces cours,

rises de manière tellement passionnante. Qu’a un

Qu

se et là au lieu de relaxer et penser à autre chose tu te met

ssais vraiment, tu saurais à

ons dans le quartier là, tu devrais ind

une fois, remercia le chauffeur, et descendit d

ais- je, en ignorant les batte

amenait des beignets « fait maison » par sa sœur. On les mangeait ensemble en discutant de tout et de rien jusqu

terrogatoire que Khalil lui a fait passer, lui demandant si on était de la même classe, ce

amille, enfin presque. Il venait même à la mais

que j’ai dû faire chez lui, sa sœur a f

’ai appris que ses parents avaient divorcé quand il était plus jeune et que

ndre, jétais sa meilleure amie. Mais moi, après tout ce temps, je n’arrivais pas à le voir comme un simp

ès fort. Quelque chose que je n’arrive pas à contrôler, quelque chose qui grandit tous les jours un peu plus, quelque ch

dans mon lit, je me promis de le lui dire dès la rentrée prochaine. Il faut que je lui