La Vénus rose muscade

ix Nadar (1820 – 1910), écrivain et photographe français.C’est la Vénusnoire, n’est-ce pas ? Vénusnoire ou Vénusrose on parle d’une sculpture, avant tout. Mais non, elle était blanch

. Si seulement Jeanne Duval avait pris le temps de parler de la bea

’auteur lui consacra le cycle du répertoire : « Spleen et Idéal

utonnant jusqu

parfum chargé

eupler ce soir

dormant dans c

r dans l’air com

e cit

tères de beauté restent à définir. Le poète lui fit éloge dans « L’hymne à la beauté ». Elle y trouva grâce à ses plumes et son

ure de maîtresse éternelle. C’est la femme dont le poète n’a jamais pu s’en séparer. On dit qu’elle a pompé tout l’h

ompue. Ce détachement, cette lutte a duré quinze jours.

e cit

tte femme comédienne originaire d’Haïti posséda une double identité ? Rien de plus étonnant, quand on sait qu’elle

eanne Duval était cette créatrice universelle, le temps d’une œuvre a

orceau ! Cette œuvre est une pure poésie de la femme. Elle provoque la curiosité

ivre ouvert à la main, la tête baissée en posture d’un penseur. C’est la femme victime de l’amour, au-delà des utopies. Tout le monde s’est mis d’accord, concernant le plastique de mannequin de cette fille. S’agissant de

’est pas un modèle à suivre. Suivez mon regard. Elle fait partie de l’une des œuvres du peintre Éd

rtie, le visage pâle comme une princesse des contes de fées. Elle a subi sa vie durant le pouvoir d’un homme, comme un esclave d’a

ut créer le monde comme on l’imagine, sauf le Créateur.

anna la Vénus inconnue et on y ajoute qu’elle était irlandaise. C’est peut-être Jeanne, tout le mystère reste entier. Peu importe son nom, son origine, elle était bien fou

entités féminines concernant cette œuvre. Je vote pour Jeanne, la maîtresse du poète. Non… Non je vote blanc. Le blanc, ça voudrait dire que c’est neutre. Minc

rdonner à Charles Baudelaire. Honneur à sa plume

toires d’amour qui a secoué Jacmel. Secouons,

ya

Baudelaire(1821 -1867) – www.revue-journal.timadame.comQuand l

n, son image, ses dessins, ses joies, ses peines, ses regrets comme un fantôme. Quelle fantomale ! Je suis plus vivante qu’une poésie qu’on invente. Qui suis-je ? Je suis la voix des femmes. La journaliste de l’égalité des sexes. La vie de toutes ce

nelle. Les copines veulent souvent nous influencer. Je ne veux pas faire un choix qui va me déplaire. Un choix qui pourra plaire à mes copines. Je veux qu’on s’aime vraiment, une relation sincère. Nala, elle n’arrête pas de me parler de lui. Surtout de cet homme, en particulier, mais j’

Fa

dentielle à la

es Haïtiennes, qui foula les planches de la scène européenne, avant Ida Faubert, encore une des nôtres. On a failli l’oublier. On a voulu oublier qu’elle était une femme q

rit libre, de la prison sociale. Comment cela est-il possible ? Qui était cette fille de bonne fa

oétesse Ida Faubert est la fille du président Salomon. La fille d’un président qui v

t considéré comme, secret d’État. Elle a fait aussi les beaux jours du

eprésenta sa mère officielle ? Mais non ! C’est une comédie, le palais devient thé

nt. C’est un secret d’État. Mais le peuple s’en fout. Elle était aussi métisse. Une fille