CROQUEUSE (Mafia Book I)
rde. Merde. Merd
s, je laissai échapper un cri de panique en ent
et j'enfonçai mes pieds dans les rochers pointus du gravier. Les bords des pi
a poitrine tellement fort alors que je courais. Je jetai un coup d
aient. R
s que j'arrivais à une impasse. Deux murs de pierre ma
en boule et pleureraient pendant que ces hommes feraient D
fils, je retena un cri alors que je sentais le métal trancher et me couper les pieds. Je me mordu
rrière moi et je l'ai vu
er. (Petite chienne, attrapez-la. Main
laient russe.
touchai le sol, durement. Je senti mes genoux céder al
ambes me faisaient mal et j'avais l'impression d'être tombé sur mille couteaux. Des pierr
e sol de gravier, je me retournai et je
, à chaque pas, je sentais une partie de moi-même se briser, de nouvelles larmes coulaient sur mon visage pendant que je co
it une v
en voyant quelqu'un
onça les sourcils en me
es hommes, et ils essaient de...de-...j'éclat
ui et il me tenu
? Que se passe-t-i
ge, alors que je pointais les quatre sil
ssaient
derrière lui en regard
vous s'il vous plaî
ser sur mon visage alors que l'
(oh mon Dieu). Qu'
celui qui avait assommer le gars glis
rs était sur moi alors que je me tenais là,
térie me traversaient alors que l'un d'eux se tenait devant moi. Ils étaient vêtus de noir
, chut. C'est bon, l
oi, mon corps tremblait et était paralysé alors
es mains agrippaient mon poignet
ri, mais il couvrit ma bo
udes couler librement. Non, je n'étais pa
ait en place, sa main gantée toujours ferme autour de ma bouche.
essa, ce sera
je puisse traiter quoi que ce soit, un c
lieu de tomber, je sentis quelqu'un rattraper mon corps et me tenir pendant que je me débat
d et j'agitais mes bras, mais à la se
oi s'affaiblit et s'estompa, la piqûre de
mes devenaient froide. Je sentis mon corps devenir froid, la lutte que je menais cessa, et alors que je p