Mon unique amour
de Kevin tandis que je cherchais une pair
parler ? Me de
s rendue à mon club de sport pour me calmer les nerfs. La séance n'avait pas donné les résultats escomptés. A présent, je suis encore plus fatiguée, ma s
tu vas lui
parler
'un bloc, de peur que mon fil
animé avec ce ridicule
e sais très bien. Nous l'av
érerais les oublier, lui
temps avait laissé des traces sur mon visage un peu exsangue. Pas de doute, j'ai besoin de travail
'un ton inquiet, tu n'as p
n en reparler
ttre d'être sage avec « tonton Kevin », puis je pars . Je m'assois dans la voiture .
e à l'intérieur de la bâtisse, certaine que John m'attend dans la salle de restaurant. Mais je suis accueillie par un liftier en unifo
*
eux feu de cheminée. Une musique douce s'échappait des haut-parleurs fixés aux quatre coins de la pièce.
is derrière un burea
ait-il être aussi détendu ? Sans pouvoir m'en empêcher, je me retrouve projetée des années en arrière. Des images de nos corps entremêlés s'imposèrent
de ma vie cinq ans auparavant. Pourtant il était là, devant moi, en chair et en os... Il range son téléphone portable et se leve de son siège. Sa haute stature, tout en muscles, était imposante et sexy à la fois. Il portait un pantalon noir et une chemise blanche dont il avait déboutonné
que tu aies pu
aissé d'autre choix.
, tu e
ampagne au visage. Le regard caressant dont il
partement
s du
ne sur le plateau que lui tenda
pas de femme à
e drôle
i qui me l'
marque, j'ai failli lâch
Moi
ue chez moi. Comme toi, autrefois. Je rencon
'abri des regards indiscrets. Puis je rentrais chez moi en catimini. John me reprochait sans cesse
e d'avoir au mo
ncore m'apporter
i pas ta maît
ier soir, tu m'as presque
, même si, au départ, il ne s'
erreur. Cela ne s
une onde brûlante se propage dans tout mon corps. Comment je pouvais ressentir autant de désir pour cet homme qui repr
ussitôt, des serveurs réapparurent avec des plateaux chargés de nourriture, qu'ils déposèrent s
Man
ôt. Trop prise par le travail et les soucis, je ne prenais plus le temps de dîner convenablement ces dernières semaines,
ffaires pendant le repas,
? Plus vite nous en aurons fini, pl
e vin à ses lèvres et
que travailler ces derniers mois. Apprécie
iter. Le débat était clos pour le moment. John se comportait comme s'il était seu
as pu bâtir un empire en p
xe ! Je prends aus
en qu'il ne s'était pas astreint au célibat ces dernières années. Les journaux relataient régulièrement se
ui possède de nombr
n ? Me demanda-t-il en me
i ? Le
la réb
r ? Toi ? Tu ne représentes rien pour moi. Quel besoin aurais-je de me rebeller contre toi ? Je trouve cette i
ulibaly a-t-il pu s'
lui. Il n'a rien à
l'ai
e l'aimais ! Je l
alors qu'il tenait mon destin entre ses mains
. Il nous est impossible de teni
. Que tu le veuilles ou no
infâme as-tu employée pour convainc
uve vraiment
te qu'on ab
uel autre banquier détenteur de tes crédits ? Les accuserais- tu de tricheri
relations avec mon mari. Il ne me demanderait pas
it tes précieux magasins. J'ai dis que je les voulais.