La lune rousse
Georges de la Com
. C'était comme si elle était vivante pour la première fois. Je me souviens encore que j'aspirais à ce sentiment, que je voulais trouver la personne qui me ferait ressentir cela, comprendre et vivre
la porte d'entrée. Je voulais me rattraper, essayer de lui parler et m'excuser, peut-être même réessayer. Je voulais être
rnière personne à qui je voulais m'adresser. En effet, j'avais fait le tour de toute l'éc
son visage, et cela m'a juste fait regretter encore plus mes décisions. Ce qui a aggravé les choses, c'est que ma mère avait entendu chaque mot. Elle est entrée dans la pièce en pleurant, tout en me regardant avec une telle douleur. Je voulais pleurer avec elle aussi mais
as possible. En outre, personne ne connaissait l'endroit exact à moins d'y être invité, et si on l'
mes paumes commencer à transpirer et sentir mes mots ne pas vouloir sortir. Il a ré
raccroche », a-t-il
nterrompu après avoir e
nom, je l'ai entendu grogner au téléphone. Oui, ils savaient vraiment ce qui s'était passé. J'étais sur le point de parler à nou
Tu es un petit garçon arrogant qui croit que le monde lui doit tout ce que son petit cœur égoïste désire. Ma fami
ambre était complètement saccagé et mon père était devant moi, me demandant ce qui s'était passé. J'ai craqué et lui ai raconté tout ce que Liam avait dit, les larmes coulant sur mo
habitude d'aller à la maison de la meute pour aider à chaque fois que c'était nécessaire. Elle aidait habituellement les petits de la meute. Chaque jour, ma mère venait dans ma chambre, essayant de me faire sortir du lit en me racontant plus d'histoires sur ma compagne, et à quel point elle était incroyable. J'appréc
ma meute méritait, être l'
it Jeanne, à part sa famille, mes parents et ses amis. Au début, ils étaient tous en colère, mais ils ont vite compris q
là pour ma meute. Je savais que même si elle était partie, je ne pourrais jamais être avec une autre femme, et le simple fait de penser que
uvé leurs compagnes. Ils m'ont également informé qu'ils étaient revenus avec quelques personnes. Je l'ai permis, non pas que je ne l'aurais pas fait, mais parce que j'étais
continuait à dériver dans son propre monde, un monde où Jeanne était à moi et où nous étions am
plus envie de Jeanne. Quand ils m'ont vu, ils m'ont regardé avec plus de haine que je ne pourrais jamais imaginer ; je le méritais, je le savais. Ce qui
nt leurs casques. L'un d'eux était une fille avec de longs cheveux blonds qui lui descendaient jusqu'à la taille. Elle était petite mais elle se comport
se, même si je ne pouvais pas voir son visage. Elle n'avait pas d'odeur. Elle était la seule à ne pas sentir le loup-garou, contrairement à ses amis. Je suis resté scotch
r de nous haleter sous le choc, mais je ne leur ai pas prêté attention. « C'est
, me suis-j
un chocolat mais d'un noir de minuit. Elle était toujours aussi belle, même après tout ce temps. C'était Jeanne. Jeanne était vivante. C'était
et c'est là que j'ai enfin capté son odeur. Je ne pouvais pas comprendre pourquoi je n
agne était là et je savais que, par miracle, j'avais une autre chanc