Tout le reste va se passer

rt

nn

30. J’ai rendez-vous avec Ethan, mon chéri. Je dois lui faire le compte rendu de mon entrevu avec ma sœur. Je

sement que je sors, je n’ai pas envie de passer ma soirée avec eux ! J’enfile mon jean et un chemisier dame, une petite b

itif. Je viens saluer. Il se lève, je n’aime pas la manière dont il me toise, comme

nt complète donc je suis co

t non, j’ai un e

e de fuir loin du péché, mais to

qu’à ma sœur. C’est elle qui perm

22H30. Je vois Ethan ce soi

, le Seigneur

en m

lui demander si on s’est disputée… Je n’entends pas sa réponse j’ai déjà ouv

« Tithan, je suis chez t

de se convertir bien qu’il fusse né dans une famille chrétienne et mettait désormais son talent de bassiste au service du Seigneur à l’Eglise. Nous sommes restés en contact et j’avoue que pendant les hivers froids ou la so

us en a fait voir des vertes et des pas mures. Heureusement qu’Annie et moi avion

on vœux le plus cher est qu’il soit le dernier. Après cette première fois-là, nous avons parlé. Je connaissais tout de lui, et lui aussi de moi. Il é

me regarde de haut. Comme une fille sans vertu incapable de se préserver pour rent

. Il habite un petits deux pièces. Je rentre je m’installe dans son unique canapé et je sers contre moi le gros nounours blanc qui trône en maitre des lieux. Ethan me regarde, il comprend, il va à la cuisine et revient avec

st si ma

magines

qui t

e, avec l

le joue… je co

ur et qu’on veut se marier pour de mauvaise raison, et donc cet été c’es

pas lui dire qu’elle m’appelle Marie-couche-t

e Igbo n’y changeront rien d’accord ? Tu vas te détendre, enlève tes chaussures et mets-toi à l’aise d’accord… Je sui

s

mieux

e le dîner. A même le sol, nous dégustons notre plat. Dans la joie la bonne humeur. Il me raconte ses derniers « gombos » (petits contrats que font les musiciens professionnels pour arrondir leur fin de moi).

ssiettes sales pendant qu’il balayait le salon. Et nous avons fi

privilège tu sais ? Apparemment il y a quelque chose qu’elle ne te pardo

êne vraiment… je ne comprend

me… tu m’as dit que tu ne la sens plus n’est-ce-pas ? Que

uand je lui en ai parlé, elle m’a ris au nez, en disa

u sois très proche d’elle et que tu pries… Je sais que tu aimes l’é

te tendre. Nous continuions à parler de la vie de famille que nous voulons avoir, de la place de chacun et de nos rêves. Il prend sa guitare po

nard le gardien nous ouvre. Je demande si maman dors, apparemment non. Ethan m’accompagne au salon, il salue maman, disc

et vos p

cette période-là, je crois qu’il serait égoïste

e vous rêviez de vous marier

s un souri

des histoires d

tout v

n peu fatiguée, demain je verrais avec An

a fille, Die

en m

a lumière sous la porte d’Annie, je toq

iens e

En

quelque chose de t

t choisi cette date ensemble. C’est ta date et je n’ai pas m’imposé… Ethan et moi on a

e contre elle… Très fort, j’aime vraiment ma sœur, et

quand tu es partie. Je pens

rester fâchée contre t

Je l’embrasse et je vais dans ma chambre. Je me change, je me couche j’appel