La vie d'Amanda

da r

journalistes ainsi que le publique réun

va, oui il me sauva, mais sa tête heurta une pierre, puis du sang ! Je pleurais, je criais, je lançais des S.o.s. un pêcheur attiré par mes cries arriva, il ne pouvait pas sauver mon père, il était déjà mort par ma faute, oui ma faute. Ce pêcheur me sortit de là, je le communiqua mon adresse, il alla me déposer, après avoir expliqué l'histoire à une femme qui était là, ma tante qui vivait avec nous depuis deux jours seulement, me chassa de là, elle me traitait de Ndonki (Sorcière) disant que j'ai tuer ma mère, puis mon père, elle ne veut pas être la suivante, elle me sortie de chez mon père, je la suppliait, en vain. Ainsi j'étais devenue enfant de la rue, mandiante, je mangeais dans les poubelles, les journées j'apprenais à lire et à écrire au près des enfants qui venaient aider leurs mères à vendre au marché. J'étais seule, toute seule, je grandissais dans cette rue,

ture était bien long, nous étions entrain d'établir nos projets quand cet accident arriva. Lucas trouva la mort, mon Lucas, et moi le choc fut grave, j'ouvris mes yeux, j'étais dans une salle d'accouchement et je

as appelée, car tu e

is les bananes, elle avait déjà 5ans. Un matin elle n'était

lais la chercher de l'eau, à Pen retourner, un client l'appela, elle traversait

oooo

e donner mon identité il cria. J'étais recherchée depuis bien des années pour hérité de l'héritage de mon père, les annonces étaient partout. Alors voilà comment j'ai inauguré cette entreprise de chips Bananes une idée de mon pèr

il? Vite emmenez