UN ROI CRUEL Tome 1
ol
e Montér
recouvrait son cou et ses épaules, Anisha é
iliers impressionnants et au t
importantes du royaume étaient prises, et c'était là
ifiante, drapée dans son long chiton
sque-là, s'étaient écartés d'elle, pour
roi, dès que le bruit tonitruant des deux mag
tait posté non loin d'elle, et qui tenait un grand
rds, bâtirent le sol d
eu plus Anisha, de l'homme qu'
uer de ses mains s'il lui en
ses veines, faisait battre s
incapacité à se donner la mort plus tô
urait voul
de devoir s'agenouiller devant le tyr
ssin sans cœur
r si elle ne pouvait pas déposséder un garde de son épée
pas hésité à le f
proche et tous les hommes présents gardaien
se raccourci
de s'arrêter just
pouvait sentir une présence pui
estin allait jug
a grâce de la mort é
ce défait, appartenait à celu
plus cruel et le plus sanguinaire, que l
i dans le confort et les soieries, Helia
rt en stratégies de guerre. Un vétéran, entouré d'une armée cruelle, prête
gue chevelure noire, se rabattait en par
rade où se trouvait un énorme fauteuil doré,
sûrement un garde qui accompagnait le souverain,
oquèrent de peur, mais son cœ
r les grandes fenêtres qui longeaient toute la longueu
saisit aussitôt par l'épaule pour l
fortement la lèvre. La poigne de fer qui lui happait les chair
e promener sur elle, comme on sent la brise
mordante comme la glace et son
er quelque chose en Anisha tout en lui semblant étrangement familière. Cette ren
, Helias venait de se lever de s
tant. Ses mains devinrent moites et son cœ
toujours au sol, elle se
menée, le souverain se baissa à sa hauteur et
is qu'Anisha tentait de garde
ensément puissant, la fit frissonner de peur. Elle
était bâti pour le combat et ses mains impressionna
e et envoutante. On m'a rapporté que tu as tenté de t'ôter la vie, à deux reprises depuis que tu es
fla de rage la jeune femme tandis
, fit sourire le souver
m'appartiens et je décide en ce j
uilla des ye
t. Et peut-être que les turpitudes qu'il vivra en te voyant retrouver ta co
r je ne vous servirai jamais, lâc
ge d'Helias brill
le fais pas, c'est toutes les filles de ton île, qui seront emmenées com
ec peine devant ce
eur de la réputation, que l