La malédiction de Pygmalion
t visiblement à un musée. Les murs s'agitaient et j'avais froid. Les tableaux accr
ormant à chaque expiration. Je frottais mes mains pour me réchauffer. Les murmures se transformèrent en cris étouffés qui
e, très belle femme, debout sur un coquillage au bord d'une plage, nue, sa peau satinée n'avait aucun défaut, ses longs cheve
s pas. Les murs hurlaient maintenant et me sommaient de partir d'ici. Le tableau semblait prendre vie car la femme sur
te tuer, us
la pénombre et cela me rassura. Je me redresse de mon lit. Le cri de la femme rousse résonne encore d
e me pince la joue pour vérifier si je ne suis pas enco
chaussée. Ma grande sœur est déjà éveillée, prête à aller au travail et ayant fini de faire
Dit-elle d'un
e à table. Je mange et elle
sage ? Demande t-ell
N
er, se leva et prit
en cours aujourd'hui. Laisse les clés sous le pot de
cord. À
termine mon repas à mon tour et
'habitude et ma composure reste de marbre face à tout ça. Je ne me dirige pas directement en classe, je vais m'assoir sur les bancs publics dans la
s discutent, rient à gorges déployées et jouent. D'autres groupes d'élèves me re
e précipitamment et rentre dans le bâtiment à toute allure. Je dev
rape par le bras. Il me plaque violemm
ement à mes avant-bras et
oucoule t-il. Comme chaque jour
. Le temps s'est arrêté et il n y a que nous d
Tu ne voulais pas qu'ils te voient
mes bras ce qui m'arrache
ais pour a
Le garçon brun au teint morbide ne souri
e, lâc
t tout de noir lui donnait des airs lugubres. Il
pas encore pris ton âme. Même les jolies