Un baiser pour ta liberté
s qu'elle m'attire déjà vers le comptoir, ça ne me fait pas aussi mal que ça d'y pense
lle, la journ
ut ma meilleure amie. Elle a besoin de se changer les idées
'habitude
uble be
en répondant au sourire
haker avant de le secouer et de nous servi
e les verres vers nous. Je te jure que t'en mourras pas, sinon, j'y serais pass
s Mélissa l'avaler d'une traite et j'en fais autant. Après tout, tant qu'on est toutes les deux, je ne crains rien. Aussitôt la brûlure de l'alcool se repent
ire toutes les deux. Synchro comme toujours même si on
orte, me dit-elle
ncore e
deuxi
it sous l'emprise de l'alcool que ça soit t
tement d
K pour un
désirer même si ça me met légèrement mal à l'aise. Ce que je peux lire dans leurs yeux et aussi ce
me voit bouger doucement, elle finit par me prendre la main et danser avec moi. On a un peu trop but, ça n'est probablement pas l'endroit pour ça, mais on s'en fo
tter. J'ai encore le choix, a
n au dessus de la tête. Je veux en profiter. Me vider la tête. Ne plus penser tout simplement. Nos éclats de rires se perdent dans la musique et le bruit de la c
reprendre le volant. Je la serre contre moi, la porte est déjà ouverte, je suis prê
s eu raison. Je croyais tellement que je pouvais tourner la page que j'en ai oublié que finalement, j'ai encore le dr
e pas. Je te laisserais pas sombrer. Tu m'as demandé mon aide pour ce tatouage et on sait toutes les deux que tu le fais pour commencer une nouvelle vie et ainsi tirer un trait sur ce qui te fait si mal. J'ai
s heures Mélissa. Bonne nuit, lui dis
omatisme, je prends mon portable et découvre qu'il a essayé de m'appeler plusieurs fois. De nombreuses fois à vrai dire. J'ai
ler. Je ne peux pas me servir de lui et je ne veux plus souffrir. Je veux
r le fauteuil, éveillé, à scruter son portable e
i dis-je en m'av
s, souff
action se seconde, sons sourire refait surface, me savo
is que c'était ce que je voulais. J'y croyais vraiment, mais je
antant son regard dans le mien
Je n'ai même pas d'excuses, j'ai vue en toi ma chance, la possibilité d'êtr
as bus et pe
x te le dire. Je suis désolée, vraiment désolée, tu es
pour laisser une barrière entre nous, comme si tu ne voulais pas te laisser a
te l'accorde. Mais ça ne suffit pas. Je m'en veux de te faire ça. Je m'en veux tellement. Tu m'as sauvé et moi je dois t'a
e si tu le traînais à la manière d'un fantôme qui se serait agrippé à toi. Je ne sais p
solée. Tu as le droit de m'en vouloir, de me haïr. Mais, je veux que
and je t'ai rencontrée. Je me suis occupée de toi. J'ai tout fais pour te voir s
t ça. J'aimerais que tu comprennes à quel point je m'en veux pour ça. Mais tu ne
e laisserais plus jamais faire. Plus jamais. Et soudain, plus rien, un peu comme si
res s'il te plaît, dit-
lève les yeux au plafond, contemple cette lumière qui s'imprègne dans ma rétine. Le silence de mon appartement me fa
e dans la pièce comme un appel à l'aide. J'ouvre les yeux
je d'une voi
t Mélissa sur un ton
s le
ais et que ça tient tou
ça tient toujours
e. Alors je viens te chercher jeudi soir, je nous réserve une chambr
avant de remettre ça Mélissa mais
dit-elle. Suis mon conseil et
être perdu une fois mais ça ne veut pas dire que tout est finit. J'ai aimé me sentir désirée, j'ai aimé rire, j'ai aim
pas penser, je vais avancer et oublie
udi s
que la mienne. Car après son départ, j'ai eu le droit aux appels, aux textos, aux mails, aux messager
te rappelle, dit-ell
. Mais je suis prête. Vides moi la tête pendant quatre jours. J'ai
-elle tout sourire. Ça e