Rendez-vous dans une autre vie...
e autour de la taille. Ses cheveux goutta
s'asseyant en face de moi. Je vais devoir attendre que le sé
ux, merci, répondis-
is envie de le prendre, là, tout de suite. Mais, je n'étais pas amoureux. Simplement, il était fichtrement bien f
le séchoir tournait. Une fois celui-ci terminé,
temps passait et moins je comprenais mon corps. Bientôt, Livaï était devenu mon meilleur ami. Je ne recevais plus du tout de nouvelles de la part d'Armin et Sarah, pourtant si protecteurs, et arrêtais petit à petit de penser à eux. A vrai dire, le seul à qui je pen
z lui, je décidai de lui parler de mes rêves. J
, c'était juste pour un rêve que t'av
était toi, dans mon rêve. Et puis, quand je l'ai compris, j'ai continué à te côto
s d'
i ?
veux plus jamais rev
rquo
ournai chez moi, le pas lourd. Il ne m'avait même pas laissé le temps de m'expliquer. Il m'avait viré de chez lui sans autres for
er mon agent pour permuter mon jour de repos avec mon shooting d
o et m'assis à ma table habituelle. Contre toutes
-t-elle. Et là, seulement quelques semaines après ta promes
? Ma
ieger ! Comment t'as pu avoir si
issé le temps de m'exp
as-y ! E
que j'étais intrigué. Il ne m'a juste pas laissé
connais même mieux que personne. Mais ce
t-ce t
oué de lui pour savoir ce qu'était la signification d'un rêve sans importance ! Tout ça parce que tu
à passer du temps ensemble et à se connaître, je l'ai considéré comme mon meilleur ami ! Si je lui ai parlé de ce
e même plus à remettre les pieds ici ! Tu ne ferais que nous rappeler à tous qu'on t'a fait confiance et que tu l'as trahie ! Tu ne fais que causer des ennuis à Livaï ! Parce que, au cas où tu n'aurais pas remarqué, depuis que vous êtes "amis", comme tu aimes
ne plus jamais revenir. Jamais, je ne l'avais vue dans cet état. Elle qui était tout le temps si joyeuse. Désormais, tout le personnel, en particulier Livaï et elle, me haïssait. Je décidai de me rendre chez mon ami, afin de lui présenter des excuses. Sur le chemin, je tentai de l'appeler à plusieurs reprises, mais i
poing contre celle-ci. Allez ! Ouvre ! Je suis déso
espérant que ce soit lui, même si je savais pertinemment q
J
ux ! répond
d mais ressemblait quelques peu au Noireau. Il avait un
. Qu'est-ce que tu veux à
dis-je. Vous êtes
e qu'il va pas revenir ici avant un sacré bout de temps.
est ?! demandai-je
ux t'assurer qu'il ne dormira
qu'y vous f
le plus grand trajet de toute l'Allemagne. Il le
'il va rev
s rien. Ç
st-ce que
e revoir ta face un jour. Allez, le mioch
pas lourd, les larmes aux yeux. Il ne voudrait sans d
e ma faute. Entièrement de ma faute. La pluie