Les chroniques du perroquet à poil
éf
mense honneur, la surprenante demande. Le sujet, il est vrai, s'y prêtait grandement, presque pour moi, avec gourmandise. Jeter le regard de mon exercic
as, Yves, poussé par l'enthousiasme si communicatif qui sans cesse l'habite, semble l'avoir allègrement franchi avec ses truculentes Chroniques de son non moins ineffable Perroqu
tre lieux ou personnages familiers, ce ne serait évidemment que pure coïncidence, esquisse subtile des desseins impénétrables de notre fa
que roman échappe à cette règle. En ce qui le concerne, tout est vrai
hélémyP
iers sujets du BAC en visio. Voyez-y plutôt le fruit d'une humble réflexion, celle d'un homme qui, au cours du temps, s'est défini plus par ce qu'il devait être, que par ce qu'il était vraiment.
mal, animal-homme, à se demander parfois lequel accompagnait l'autre. Je n'aurais certes jamais pu m'en moquer, tant de fois avais-je dit moi-même, que le sens de l'évolution n'était pas forcément celui que Darwin avait pu lui prêter. J'en prenais pour preuve le regard un tantinet condescendant que me lançait du canapé, mo
arfois même comprendre sans véritablement tout savoir. Voilà tout le défi de notre exercice, marier un savoir approximatif à une délicate expérience pour, expression créatrice et art ultime du praticien, en retirer une belle connaissance. Celle-ci se manifeste par la décision, parce qu'il s'agit bien de cela finalement : décider. Voilà le sel, la touche de l'homm
ouce insouciance des premiers jours, entier, sincère et dévoué. Mais « les ailes de l'espoir » peuvent s'user avec le temps et les rêves d'antan, ne devenir que les dérisoires illusions du présent. P
ucoup, beaucoup