LA MAFIA DE MONTE CARLO
a
. Et lorsque je suis sur le point de m'écrouler, elle apparaît. Luisante, belle, étincelante. La lumière qu'elle dégage m'aveugle presque. Elle me tend ses bras avec un sourire large. Je suis intimidé par elle et je
e mets à crier, à lui donner des coups, à la
ends rien. Mon psychologue du moment avait dit que c'était une imagination de mon subconscient. Mais j'en ai marre, moi. J'en ai rien
encore du réconfort. Mon casque sur les oreilles, j'écoute cette musique. C'est du rap et ça me redonne le moral. Je suis là à faire des tours pendant près d'une heure trente sans m'arrêter. C'est normal, j'ai passé toute ma vie à faire ça. D'a
vers le frigidaire où je prends un jus nature. C'est du jus d'orange na
e un lon
ent expliquer concrètement mais faire du sport est plus qu'une passion pour moi. Je me sens exagérément bien, c' est presque jouissif. Je continue tout en faisant des allers-retours. Quelques minutes plus tard, j'aperçois un couple. Ils ont l'air plus qu' amoureux. Main dans la main, ils sont en train de courir avec leur caniche su
i dégage autant d'amour je suis pris d'envie, et souvent même de jalousie. Mais je n'ai jamais trouvé cette femme là avec qui ce truc spécial là ce serait produit. Je ne suis pas tombé sur la femme qui allait déclencher cet effet là en moi. Cette a
pour les admirer. Il a fallu qu'ils disparaissent complètement de mon
épartement. Le temps passe et il faut que je mette mon pl
tr
lectronique avec la musique dans les oreilles. Je viens à peine de commencer donc la chaleur monte peu à peu dans mes j
, ma
man, comment
e te sens souffler comme
juste. Je suis en train
étonner toi. On ne dirait même pas que tu étai
ez moi. Elle tente de le joindre mais son téléphone est indisponible. Je l'ai rassuré du mieux que je peux parce qu'il a l'habitude de se comporter ainsi depuis qu'il a dix-huit ans. Il n'a pas cessé de crier à qui voulait l'entendre qu'il était majeur et
e de partout. J'accélère au maximum et observe
t. C'est Yolanda. Elle vient sûrement de se réveiller. C'
la porte. Elle a les cheveux en bataille. On
lant):....bonjou
ui je v
longtemps. D'ailleurs, on dirait qu'elle n'a plus au
pé du séjour et s'assied un
e. J'ai l'impression d'être devenue amné
pharmacie et je prends des médicaments pour soulager les maux de
e lui tends ce que j'ai en main.
i bien fait d'être venue chez toi. Tu prends to
oi pour me traiter de grand-
le disais dans le bon
e encore
passé hier ? Je me souviens de rien sa
était à la
ue j'étais à une fête sinon je n'au
ée des fêtes et surtout de l'alcool s
a : Be
u justifies ces ma
à se gratt
e sais...pas moi ..eh dis, tu a
e que de prime abord, on peut se dire qu'elle n'a rien dans la tête. Ce qui est complètement faux. Nous continuons
elle n'a pas pu apprendre. Ma mère a moi savait le faire mais ne le faisait pas régulièrement. J'ai appris en regardant notre cuisinière le faire. Souvent
a
qui pensait profiter de mon dimanche tranquillement, eh
vendre de la drogue dans une banlieue. Marita quant
pour nous. Nous mettons des jeans déla
n détraqué. Anthony, juste à côté
? Regarde toi! T'as l'air
ule) : vraiment
ais bie
s simultanément
lus tard, il est l
dehors, appuie fo
ers Anthony) : tu
Non mais
geste amical et nous nous e
ri
nouvelles recrues en mission. Parce
s faut donc prendre le plus de précautions possible. Alors
verres. J'enlève mes hauts talons et je
. J'ai des gants en plastique et une boîte d'outils telle une inspectrice. Je ne cherche pas quelque chose en particulier. Je cherche tout et rien. Je fouille un peu
est terminée. Je n'ai ri
a même ét
artement tout doucement et je
e le papier du sol et je l'ouvre parce qu'il est plié en plusieurs morceaux. C'est un acte de naissance, celui de Pablo. Je parcours un peu le document. Aucune surprise, il n'a pas menti sur son nom, il s'appelle bien Pablo. Mais qu
mée. Je cherche dans mes souvenir
ad
de reproches. Je viens de me fa