Pour l'amour de la création
mière
urne, occultant les autres astres dont l'éclat s'en trouve affaibli. On pense d'abord à une seconde étoile polaire, mais nous sommes loin de Vénus. Étrangement, elle reste visible de nuit comme de jour. Ce phénomène scienti
ion, future supernova. Mais le phénomène aurait un petit million d'années d'avance. Et puis Sirius aurait été une bonne option. La double étoile des Dogons, alignée avec la ceinture d'Orion à sa droite, étant la plus proche étoile de notre Terre, seulement 8,6 années-lumière. Alors que la plus proche étoile d'Orion se situe à 242,85 années-lumière. Mais incontestablement, ces options ne sont pas validées puisqu'il
ens ou de chefs religieux. Les chefs d'État, soucieux des répercussions néfastes pour gérer leurs pays et des déroutes économiques qui semblent s'annoncer, décident de convoquer de toute urgence une conférence internationale au sommet. Une première vidéo-conférence a lieu en secret entre les chefs des états les plus puissants : les États-Unis, la Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne, la Russie, le Japon, l'Inde et la Chine. De cette réunion émane une résolution :
ier les supernovas, les trous noirs, la naissance et la mort d'étoiles. Aux délégations panaméricaine, européenne et asiatique s'adjoignent des représentants des divers observatoires et
velle étoile s'apparente à un phénomène connu. Ainsi, la première ronde de discussions porte sur la formation d'une supernova ou d'un trou noir. Afin de partager la connaissance actuelle de ces phénomènes, les supernovas connues et déjà étudiées sont passées en revue même si elles appartiennent à d'autres constellation
ésus-Christ, dans la constellation des Poissons, fut cons
des Sumériens (en quatre mille av. J.-C.) et possiblement reliée à la grotte française de Lascaux, dans la peinture du Bison blessé, selon l'hypot
ère sud, future supernova (dans
observée en 1987, dans la constell
de la graine selon les anciens Égyptiens et Grecs ; la seule, a
a plus brillante) de la c
nant de l'étoile ne correspondent pas à des résultantes d'origine humaine et n'ont pas dévoilés leurs mystères malgré l'analyse des ordinateurs terrestres les plus performants. Cette technologie dépassait pour l'instant les capacités de notre civilisation. La source extraterrestre de ces signaux demeure donc une hypothèse probable même si, pour l'instant, indéchiffrable et non identifiable. Une chose semble certaine pour
n trou noir. Toutes les observations étudiées à ce jour confirment deux faits : il s'agit d'une forme de lumière avec un spectre lumineux bien au-delà de tous les phénomènes connus ; il en émane des ondes sonores tellement complexes que les ordinateurs les plus sophistiqués n'ont pas encore pu en déchiffrer des fréquences audibles ou porteuses d'un
l'instant, de l'OVNI. Ils prédisent toutefois que lorsque le vaisseau va se rapprocher de la Terre, sa taille s'agrandira pour devenir monstrueuse à proximité de notre planète. Les télescopes les plus puis
solaire, peut être même les orbites de nos planètes sœurs et de leurs satellites. Nos saisons, notre climat, les marées vont certainement être perturbées. L'apparition soudaine du phénomène, sans détection ni préavis, indique qu'il est apparu dans notre système solaire à une vitesse vertigineuse incalculable et qu'il s
as moins qu'il en découle un renouveau spirituel et une ferveur religieuse depuis longtemps disparus. Les fidèles reviennent aux lieux de culte. Les pèlerinages reprennent. Les hauts sites sacrés sont inondés d'adeptes. Tout cela en quelques jours. Les autorités religieuses, ecclésiastiques et spirituelles sont débordées mais se réjouissent. Les coffres se remplissent au-d