Sa plaisanterie cruelle, mon cœur brisé
es parents qui attendaient, leurs visages un mélange de soulagement et d'inquiétude. « Maman,
u parles, Léna ? » a demandé ma mère, sa voix aiguë d'incrédulité.
culeusement ses statistiques de rugby, qui connaissait sa commande de café préférée, qui gardait une petite photo usée de nous à la maternelle cachée dans son journal intime. J'étais la fille qui chérissait la tasse
, je laissais
solé. Des larmes coulaient sur mon visage, mais elles étaient différentes maintenant. Pas des larmes de douleur de sa trahison, mais des larmes de deuil pour la fille que j'étais, la
admission anticipée à Sciences Po. Alors que je m'installais à ma place, mes yeux ont balayé la pièce. Et puis je l'ai
e. Elle a levé les yeux, son regard croisant le mien une fraction de seconde, écarquillé de panique. J'ai sout
tre sa poitrine. « Léna, s'il te plaît », a-t-elle plaidé, sa voix à peine plus qu'un murmure. « Tu ne diras rien, n'est-ce pas ? Mes parents... ils
é échapper un sanglot théâtral, attirant l'attention de plusieurs élèves qui traînaient encore. « Je suis tellement désolée, Léna !
nt éclaté, vifs et cruels. « Regardez-la, la grosse truie. Toujours à créer des problèmes. » « J'ai entendu dire qu'e
ts ont été engloutis par la marée montante de leur mépris. La pièce semblait rétrécir, se referma
beauté sans effort, même maintenant. Il est allé directement vers Gigi, qui sanglotait maintenant ouverteme
mandé Damien, sa voix calme, mais ave
. « Léna... elle m'a vue... elle allait dire à tout le monde que j'avais tric
e c'est vrai ? » a-t-il demandé, sans aucune trace de l'ancienne familiari
ure. « Non, Damien ! » ai-je crié, ma voix se brisant. « Elle ment ! Elle a
s'est passé hier soir, n'est-ce pas ? Ce n'est pas juste de te venger sur elle. » Il a fait une pause, puis a porté le coup
plus forts maintenant. « Tu vois ? Je le savais. Elle est c
ue. Il ne me croirait pas. Il avait déjà choisi. Ses yeux, habituellement si chaud
, sa voix plate. « Excuse-toi auprès
ci. Pas pour eux. « M'excuser ? » ai-je demandé, ma voix tremblante mais ferme. « Je n'ai
des caméras. « Non, s'il vous plaît ! Ne faites pas
resse. Et franchement, Léna, tu fais une scène. Je t'ai dit qu'il n'y a rien entre nous. Je ne pourrais jamais... Je ne pourrais jamais être avec quel
ers la foule. Mes larmes, que j'avais si durement retenues, ont final