Jour de fête et autres nouvelles
pas. Fébrilement, le 17 juillet, je refis mentalement une dernière fois l'inventaire de la pile d
bout de la clé Évelyne, Évelyne et ses
peut-être de trouver la solution. Je me précipitais vers la cuisine. Non. Les toilettes ? Pas d'avantage, Évelyne ne jouissait que d'une autonomie restreinte et son premier souci e
tions le dix-sept juillet qui, une fois de plus, se révélait être une date à retenir bien que je ne me souvenais plus avec précision de la nature de l'évènement qu'il fallait célébrer. J'étais assi
ctionneuse du temps qui passe. Et dans tout cela pense-t-elle à moi un seul instant ? Ses souvenirs, sa vie, son œuvre et mon cul ? Une rage profonde alors défer
s laissé emporter par un courant sournois, que je me noyais dans les tics, les tocs et les manies d'Évelyne
ête, un océan de fureur déferla, claqua. Pas de quartiers hurlais-je. Je sautais de la malle en pleine dérive emportée
uffit à faire scintiller la lame d'un sabre d'abordage que je tenais à la main et que je tenais, par la même occasion, d'un vieil oncle q
'anniversaires. En déboulant enfin dans le séjour je ne hurlais plus, je m'époumonais, pas de quartier,
ept juillet et de tous les autres jours de l'année bourrés d'anniversaires à la mort moi le nœud hurlais-je toujours en abattant la lourde lame du sabre sur le crâne d'Évelyne. Elle s'écroula alors que, comme par magie, la lumière se fit et, devant mes yeux je reconnus Tonio, un bon copain, mo
cience de mon erreur dérisoire, nous n
eu impressionné par les assassins occasionnels, ou encore moins rancunier que monsieur l'inspecteur princi
fois-ci, un rire où roulaient bizarrement des sortes de
ans il tue sa compagne à coup de sabre
en mille neuf cent soixante-dix-neuf, le dix-sept juillet en effet, à la pag