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La sœur qu'il méprisait, désormais adorée

Chapitre 7 

Nombre de mots : 1548    |    Mis à jour : 22/12/2025

vue de Ch

s. Ça ne pouvait pas arriver. Chaque terminaison nerveuse de mon

, tâtonnant à ma taille. Son baiser n'était pas un baiser d'affection, mais un pillage désespé

, un son étranglé coincé dans

ourd et insistant contre le mien. « Kenza », a-t-il bredouillé en enfouissa

enza. L'horreur s'est intensifiée, tordant mon estomac en nœuds. Il ne pouvait mê

ient inutilement. Il m'a portée, en trébuchant, hors de ma chambre et dans le cou

lit. Le matelas s'est affaissé sous mon poids. J'ai reculé en rampant, essayant de mettre de la distance entr

é, ma voix rauque de terreur et de dé

ps, qui s'était pressé contre le mien, est devenu rigide. Ses yeux, encore troubles, se sont lentement concent

ré. Il a reculé, ses mains tombant de mon corps comme si je l'avais brûlé. Une

le silence assourdissant. L'air crépitait de terreur non-

ssant une main dans ses cheveux. « Chloé... » a-t-il marmonné, sa

sion feinte. « Qu'est-ce que tu fais dans ma chambre, Chloé ? Et pourquoi es-tu... contrariée ?

piégé désespéré de s'échapper. Il allait faire comme s

é, ma voix tremblante, «

! Et tu étais... tu étais juste là. » Il a fait un geste vague, comme si ma seule présence ét

e. L'injustice de to

t peur. J'ai évidemment cru que tu étais Kenza. Il est tard. Tu devrais retou

du la main, me tirant de nouveau sur le lit, son bras passant autour de ma taille. « Reste... juste », a

étreinte. *Je ne veux pas être seul.* Pas *Je te

'odeur d'alcool. Je voulais hurler. Me battre. M'enfuir. Mais j'étais paralysée. Que se

ieuse s'échappant de mes lèvres. S'il

te, reposait maintenant innocemment sur ma hanche. Il s'endor

is pi

effréné contre mes côtes. J'ai senti une vague de vertige, ma t

Ma vision s'est brouillée. J'ai fermé les yeux, me souhaitant de disparaître

uis glissée dans un sommeil agité et intermittent, blottie contre l

Hadrien était déjà réveillé, assis sur le bord du lit, le dos tourné. Il était entièrement habillé, impeccableme

yeux étaient sombres, un mélange complexe d'émotions tourbillonnan

voix basse et tendue. « Chloé. Qu'e

est enflammé. L'audace pure de sa ques

'est passé », ai-je dit, ma voix trembla

is réveillé et que tu étais dans mon lit. Après que je t'aie explicitement dit de ne pas causer de problèmes. Que penses-tu que Kenza dirait si ell

t morts sur ma langue. À quoi bon ? Il ne me croirait jamais. Il n'assumerait jamais la re

et dure dans mon estomac. C'était son schéma. S

ayant un goût de cendre. Une reddition am

Maintenant, habille-toi. Et ne t'attire pas d'ennuis. Kenza arrive bi

partir, le clic de la porte réso

spoir. Tout ça pour un homme qui me voyait comme un problème, un fardeau, une sœur

s quelques heures. Je partirais. Et je ne regarderais jamais en arrière. Il ne me

artie. Po

étaient en bas. Et si elles me voyaient sortir de sa chambre ? Mon cœu

, mes pas légers et silencieux, comme une voleuse dans ma propre maison. J'ai atteint ma chambr

icles, une voix venant du couloir m'a surprise. « Chlo

n sourcil parfaitement manucuré levé, un sourire

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