La sœur qu'il méprisait, désormais adorée
vue de Ch
s. Ça ne pouvait pas arriver. Chaque terminaison nerveuse de mon
, tâtonnant à ma taille. Son baiser n'était pas un baiser d'affection, mais un pillage désespé
, un son étranglé coincé dans
ourd et insistant contre le mien. « Kenza », a-t-il bredouillé en enfouissa
enza. L'horreur s'est intensifiée, tordant mon estomac en nœuds. Il ne pouvait mê
ient inutilement. Il m'a portée, en trébuchant, hors de ma chambre et dans le cou
lit. Le matelas s'est affaissé sous mon poids. J'ai reculé en rampant, essayant de mettre de la distance entr
é, ma voix rauque de terreur et de dé
ps, qui s'était pressé contre le mien, est devenu rigide. Ses yeux, encore troubles, se sont lentement concent
ré. Il a reculé, ses mains tombant de mon corps comme si je l'avais brûlé. Une
le silence assourdissant. L'air crépitait de terreur non-
ssant une main dans ses cheveux. « Chloé... » a-t-il marmonné, sa
sion feinte. « Qu'est-ce que tu fais dans ma chambre, Chloé ? Et pourquoi es-tu... contrariée ?
piégé désespéré de s'échapper. Il allait faire comme s
é, ma voix tremblante, «
! Et tu étais... tu étais juste là. » Il a fait un geste vague, comme si ma seule présence ét
e. L'injustice de to
t peur. J'ai évidemment cru que tu étais Kenza. Il est tard. Tu devrais retou
du la main, me tirant de nouveau sur le lit, son bras passant autour de ma taille. « Reste... juste », a
étreinte. *Je ne veux pas être seul.* Pas *Je te
'odeur d'alcool. Je voulais hurler. Me battre. M'enfuir. Mais j'étais paralysée. Que se
ieuse s'échappant de mes lèvres. S'il
te, reposait maintenant innocemment sur ma hanche. Il s'endor
is pi
effréné contre mes côtes. J'ai senti une vague de vertige, ma t
Ma vision s'est brouillée. J'ai fermé les yeux, me souhaitant de disparaître
uis glissée dans un sommeil agité et intermittent, blottie contre l
Hadrien était déjà réveillé, assis sur le bord du lit, le dos tourné. Il était entièrement habillé, impeccableme
yeux étaient sombres, un mélange complexe d'émotions tourbillonnan
voix basse et tendue. « Chloé. Qu'e
est enflammé. L'audace pure de sa ques
'est passé », ai-je dit, ma voix trembla
is réveillé et que tu étais dans mon lit. Après que je t'aie explicitement dit de ne pas causer de problèmes. Que penses-tu que Kenza dirait si ell
t morts sur ma langue. À quoi bon ? Il ne me croirait jamais. Il n'assumerait jamais la re
et dure dans mon estomac. C'était son schéma. S
ayant un goût de cendre. Une reddition am
Maintenant, habille-toi. Et ne t'attire pas d'ennuis. Kenza arrive bi
partir, le clic de la porte réso
spoir. Tout ça pour un homme qui me voyait comme un problème, un fardeau, une sœur
s quelques heures. Je partirais. Et je ne regarderais jamais en arrière. Il ne me
artie. Po
étaient en bas. Et si elles me voyaient sortir de sa chambre ? Mon cœu
, mes pas légers et silencieux, comme une voleuse dans ma propre maison. J'ai atteint ma chambr
icles, une voix venant du couloir m'a surprise. « Chlo
n sourcil parfaitement manucuré levé, un sourire