Il m'a traitée d'exigeante, puis il a perdu
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pour être la femme de l'ombre derrière mon p
r internet, flirtant ouvertement avec sa co-star, Léna, pen
banale » et « indigne ». Quand je l'ai supplié de m'aider, i
e, il a tenu une conférence de presse, la défenda
hampion de la justice pour une autre femme. J'ai compris qu'il n'était pas i
ulement banale. J
ro et pris un aller simple pour sortir de sa
pit
ue de Chlo
lirter avec Léna en direct sur un stream qui était censé
sible derrière la star montante. Ce soir, la télé aurait dû diffuser notre comédie romantique préférée, peut-être av
'était notre anniversaire. Pas qu
Lefèvre : L'alchimie que vous ne pouvez pas ignorer ! » Le titre hurlait, se moquant de moi. J'a
vait Adrien, assis bien trop près, riant à quelque chose qu'elle venait de dire. La section des commentaires a explosé de c
ge, encadré par une coiffure savamment stylée, s'est penché. Sa main, la même main qui avait tenu la mienne sur d'in
êter. « C'est qui déjà la copine d'Adrien ? Une graphiste ? Tellement banale. » « C'est la petite amie la plus banale du show-business
u des cils. Adrien a gloussé, un son profond et vibrant qui, autrefois, n'
l'industrie. Mais Adrien, qui ignorait habituellement son propre téléphone pendant les
lé au téléphone. Même pas un « Léna, c'est ton téléphone
blagues privées et de compliments voilés. Il était si at
s une graphiste avec de grands rêves. J'avais abandonné ma propre carrière, investi chaque centime dans ses cours de théâtre, ses photos, son loyer. Chaque échec qu'il a subi, je l
s assise seule, à regarder ma vie s'effondrer sur un écran. La prise de conscience m'a frappée com
leur à Adrien, qui lui souriait en retour. C'en était trop. Le dern
s'est durcie en moi. A
légèrement l'aéroport et quelque chose de sucré – le parfum de L
e demandé, ma voix plate
e. Pourquoi tu es encore debout ? » Son ton était teinté d'irri
allumée dans ma poitrine. « C'e
Il s'est frotté le front. « Écoute, Chloé, pas ce soir. Je
a garder stable. « Tu étais en direct, à pratiquement demander Lén
. C'était du travail. Ça s'appelle l'alchimie, C
hode d'acteur" pour ta négligence émotionnelle. Je t'ai vu faire passer tout le monde et tout avant moi, et quand je demande enfin un peu de respect de base, je suis "collante" ?
ais pas le prendre si au sérieux. » Il a passé une main dans ses cheveux, agité. « Et tu sais
pris l'avion pour l'un de ses tournages, une visite surprise, espérant lui remonter le moral après une nuit de tournage p
« Coupez ! » et il est parti en trombe, toujours dans son personnage. Je me suis approchée timide
Tu sais que j'ai une grosse scène émotionnell
basse et dangereuse. « Tu essaies de me saboter ? » Puis, d'un geste soudain et furieux, il a arraché la boîte de cookies de mes mains et l'a jetée violemment contre
à vif. Et maintenant, i
voix calme mais ferme. « J'en ai fin
as dramatique, Chloé. Tu fais toujours ça. » Il s'est avancé vers moi, sa main tendue. « Tu es juste con
s'emballait. Ce n'était pas de l'amour. C'était une habitude. C'é
cun des tremblements de mes mains. « J'ai vu comment tu regardais Léna. Co
st de la comédie, Chloé ! C'est ce que je fai
-être que je ne veux juste pas d'un partenaire qui ne sait pas faire la diffé
uveau, une lueur de quelque chose que je ne pouvais pas tout à fait
tu n'as pas pris la peine d'être ici pour notre anniversaire ? Parce que tu étais trop occu
« Non, Adrien. Arrête. C'est fini. C'est vraiment, vraiment