Quelques pas dans le parc
ie b
u
Tous. Ceux de ma famille. Ces e
Une maison hantée. Sortez-moi de là ou je
a
t sont gris. Ceux du balcon aussi. Les montants de mes fenêtres sont en fer. Tout est coincé, mis sous scellé
de mes frères et sœurs (ça fait du monde) mais aucun n’est à mo
s. Elle me saignera à blanc. Sanguinaire. Elle, enfin « eux », ils ont déjà loué mes appartements… P
rc
brun dans un cadre d’acajou. En chemise de nuit fanée sur mon lit d’agonie. Terre gl
re mon passé et ma haine. Et pourtant désar
and tu germ
hivernage. Suaire qui reco
on, j’ai pleine vue dessus, bonjour ; à côté aussi d’un sale roquet, le petit vieux du 124 (tu l’entendrais brailler, avec sa femme bientôt morte, avec ses gosses qu’il pourrit
ns ce grand aquarium pour espèces en voie d’extinction. C’est sûr, c’est même écrit sur le contrat de location, on va tous cr
e ressemble à rien), celle qui nous fait gym, elle sautille, et ça ballotte, elle doit pas plus être prof
céral. Carcan hum
lière renforcée. Mais je passerai outre. O
s petites bonnes femmes en blouse, des martiennes. Vertes comme d
ur de l’espérance et de l’apaisement… d’ap
e
ue je coure à ma perte. Que je me taise. Que je meure. Mais je n
stance. En clandestine, elle va tout vous plomber. Ici et là-bas. Je médite mes mauva
ire pour les miens. Ils ne pourront plus rien compter, ajoute
l’attends. Et une chose est sûre, il vient. Il est en chemin. C
i chat noir. Le chat était mort depuis quelque temps. C’est peut-être ce qui les a décidés à me placer ici. Pour le bala
mon programme :
ù je me sens pourrir. Tu vas voir mon cochon qui est la plus cochonne.
oite, des miettes charbonneuses dans mon lit. Je frotte pour les enlever, flûte, mes draps son
boue. Je vais aller exprès dans les endroits les plus v
les martiennes, ne voulant pas que j’en mette partout, me hèlent dans le couloir d’entrée. Hep, attendez !!! Elles ne s
es traces… humm
façon, c’est
e le payer d’avoir le tiers, le qua
ie. J’ai vu grand, j’ai presque repeint toute la salle de bains ! Vlan, il y en a eu partout. Et pour parfaire le tout, pour r
and j’étais petite, c’était interdit. Là, plus rien ne
nd
t. C’est-à-dire jusqu’à ma mort… Ou jusqu’à la leur si je
hibée
période coloniale de papa. Du zébu et du lion. (Du simili) Elles ont migré ici, mes neveux n’en voulaient pas ! Ma
rd » et même « elles sont in
ne vieille dame gâteuse en perte de mémoire ». Je suis donc bien en prison,
ures, zébrures, tout y est passé. Pour faire coule
mettre en prison ? Laissez-moi rire…). J’ai conservé des restes : j’ai fait fondre du chocolat, j’ai répa
teur, je lui dirais crotte s’il venait me voir. Je lui apprendrais son métier : je ne suis plus à une calomnie, à un blasphème près. Et tout
ondices. Plaqués sur le mur, com
temps, je vais mourir après tout. Que j’expr
Surtout le faux zèbre. Oui,
maudi