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Son ultime acte de vengeance

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1790    |    Mis à jour : 19/12/2025

re tachés de vomi séché, ont fait défiler son message. J'ai ouvert un navigateur web et tapé son nom, Audrey Neal, dans la barre de recherche. Son vi

de prestige, les lumières scintillant sur les flûtes de champagne coûteuses. Mais ce n'était pas seulement l'image d'eux ensemble qu

on cadeau. Il le lui avait donné tout en essayant encore de se « réconcilier » avec moi. C'était une autre couche de trahison, une cruauté froide et calculée

publication d'Audrey aussi, ou peut-être qu'il venait de rassembler ses esprits et était prêt pour un autre round.

ait tendue, un rugissement à peine contenu. « Tu es folle ou qu

? Tu lui as déjà donné mon cadeau d'anniversaire. Qu'est-ce que tu pourrais bien avoir à perdre de

nt ? Très bien. Tu viens de déchaîner un monstre, Jeanne. Tu vas le regretter. » Il a r

ain, mes mouvements raides, robotiques. J'ai ouvert l'armoire à pharmacie et attrapé le flacon d'analgésiques. J'ai secoué trois, puis quatre, puis cinq pilules dans ma paume. Je les ai avalées

les contrats publicitaires, les talk-shows. Toujours aux côtés de Côme, s'accrochant à lui, son collier d'émeraudes scintillant sous les lumières. Leurs apparitions

nonçant une nouvelle fondation à leurs noms. Un gala de charité où la « Fondation Delcourt-Neal » a été lancée. L'ironie était une pilule amère. J'ai reçu une

gneusement construit de Côme, son personnage public, son héritage – tout cela n'était

e, ses crises de colère, son besoin obsessionnel de contrôle. Il était désespéré, et je savais pourquoi. Il menait une guerre sur deux fronts – maintenir son image publi

utre SMS, une photo d'elle et de Côme partageant une blague privée, sa main reposant intimement s

t, non pas de peur, mais d'une montée terrifiante de quelque chose de froid et de puissant. Je suis entrée dans le studio vide que

symphonie, tout comme sa vie. Ma poitrine s'est serrée, une douleur familière se propageant dans mes côtes. Les tremblements dans mes mains sont devenus plus prononcés, mon p

était mon héritage, mon lien avec lui. C'était ce que je devais finir, quoi qu'il arrive. La douleur dans mes mains, la faiblesse dans mes

en marbre poli. Une mer de gens impeccablement habillés, leurs rires et leurs bavardages un bourdonnemen

rtait le collier, bien sûr. Elle riait un peu trop fort, ses yeux balayant constamment la pièce, cherchant la vali

emme siffler. « Celle qu'il a quittée pour Audrey. La pauvre. » Une autre a ri : « La pauvre ? C'est elle qui l'a trom

ne », a-t-elle ronronné, sa voix dégoulinant d'une fausse douceur. « Tellement contente que tu aies pu venir. » Elle s'est penchée, son

beau bijou que j'avais autrefois admiré ; c'était un symbole de mon humiliation, un trophée de sa victoire. Je me suis souvenue de Côme me disa

« Il a toujours eu le don de choisir des choses qui reflétaient ses goûts. » Mes mots étaient une pique voi

alice. « Il m'a tout raconté sur toi, Jeanne. Comment tu es une petite chose fragile, ayant toujours besoin d'être sauvée. Comment la mort de ton frère

arler de Léo, pas le droit de toucher cette blessure. Mon sang s'est glacé, puis a bouilli. Côme avait dû lui dire. Il avait transformé mon traumatisme le plus pr

a jeté un coup d'œil, une lueur d'inquiétude dans les yeux. Mais il n'a p

apper Audrey, mais pour arracher le collier d'émeraudes de sa gorge. Je voulais le lui arracher, l'écraser

Ma tête a heurté le marbre avec un bruit sourd et écœurant, des étoiles explosant derrière mes yeux. La force de l'impact a secoué mon corps déjà fragile. Une douleur aiguë et brûlant

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