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Ils ont tout volé : maintenant je prends

Chapitre 4 

Nombre de mots : 1271    |    Mis à jour : 18/12/2025

encieuses l'avaient clairement déstabilisé. Il ne comprenait pas la profondeur de mon désespoir, la finalité de

nière dramatique. Ses yeux papillonnèrent, et elle vacilla dangereusement, s'ap

t sur elle. Sa voix, il y a quelques instants remplie d'une froide irritation pour moi, éta

faible et fragile. « Je ne veux pas causer plus de problèmes. Peut-être que

nant grands de panique, se tournèrent vers moi, un éclair d'accusation dans leurs profondeurs. Il me blâmai

ne d'un Oscar. Alors qu'il l'emmenait, Jade jeta un coup d'œil par-dessus son épaule, un sourire suffisant et

, s'affaissa. L'angoisse émotionnelle était si profonde qu'elle se manifestait physiquement, une douleur sourde se propageant dans ma poitrine, rendant la respiration diffici

'était un spectacle brutal, conçu pour me briser. Et pendant un instant, il y est presque parvenu

ne profonde inspiration tremblante. Quand je les rouvris, les derniers vestiges d'amour, d'espoir, s'étaien

i-je, ma voix tra

venant déjà sur son visage. « Qu'est-ce qu'il y a, Él

nant en force. « Ça ne peut

ra, révélant une rage pure et sans mélange. Ses yeux, habituellement si calculateurs, flamboyèrent d'une

nt son regard furieux sans ciller. « Je veux partir. L

même pas te tenir debout, encore moins me quitter. » Il fit un autre pas, me dominant, sa présence me

vert un délit de fuite pour protéger son grand amour, la fille de l'homme qui m'a estropiée. » Chaque mot était un coup précis et calculé, conçu pour le frapper là où

nflée. « Ce n'est pas vrai, Éléonore ! Tu délires ! Tu imagines des choses ! » balbutia-t-il, sa voix empreinte d'un déni désespéré. « Je l

L'audace pure de ses mensonges, même maintenant. « À l'aise ? » fis-je écho, ma voix se brisant. « Tu veux dire piégée. Sous

était à quelques centimètres du mien, son souffle chaud sur ma peau. « Tu crois que tu peux juste partir ? Après tout ce que j'ai fait pour toi ? Qui prendrait soin de toi ? Qui voudr

siques qui avaient défini ma vie pendant si longtemps. Mais au lieu du désespoir, une colère froide et féroce déferla en moi. Il avai

l avai

feu silencieux. Il pensait m'avoir brisée. Il pensait avoir gagné. Il all

en que mon corps tremblât encore de son agression. « Et je partirai. Et

ivi d'une série de pas précipités. « Adrien ! Ma tête ! C'est bien p

uée. Sa prise se desserra sur mon fauteuil roulant. Sans un mot de plus, il se tourna et sprinta en ha

ix désespérée, sa performance toujours en c

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