Piégé dans sa toile de manipulation
nerveuse tandis que je le plaçais soigneusement dans une boîte, nouée d'un ruban rouge vif. J'imaginais sa surprise, son sourire rare et sincère quand il me verrait l'att
intes chaudes. Je me suis assise sur un banc à l'extérieur, serrant le gâteau, mon télépho
de violets flamboyants. Puis le ciel est devenu noir d'encre, e
n estomac. Le gâteau, autrefois parfaitement formé, a commencé à s'affaisser sous son propre poids, le glaçage
hose ? S'il était blessé ? J'ai même envisagé d'appeler la sécurité
st apparu. C'était Manon.
ace de glaçage sur le nez, un rire large et sans retenue sur son visage. La légende disait : « Joyeux anniversaire à
ours prétendu détester la texture du glaçage, invoquant des « problèmes sensoriels » lorsque j'avais essay
is des mois. Le genre d'adoration qui m'avait autrefois été réservée. Mon propre anniversaire, quelques mois plus tôt, avait
ail. Il est poli. Il est obligé !* Les Voix ont essayé de
te, et le moelleux au chocolat autrefois parfait s'est effondré en une flaque sombre et poisseuse. Un
haudes, me piquant les joues. Je voulais crier, briser quelque chose, mais tout ce
étaient vifs, scrutant le gâteau en ruine, puis mon visage inondé de larmes. «
» ai-je réussi à art
expression de dégoût traversant son visage. « Au labo, évi
ory de Chloé, sous son nez. « Travailler ? Et ça, Maxime ? 'L'esprit le plus brillant et l'âme la plus gentille ?' Tu as dit que tu détestais le
e attitude, Léna ? C'était une simple fête de labo. Tu vas sé
on sang-froid s'est brisé. L'image du gâteau écrasé, un désordre som
r mon visage. « Et ton attitude à toi ? Et elle ? Et
. Un bouton, une petite perle polie, s'est détaché de sa chemise et a rebondi sur le sol. C'était le même bouton que je lui avais r
nuisance. « Tu es hystérique, Léna », a-t-il dit, sa voix sèche, dégoûtée. « C'est mon anniversaire, et tu m'agresses. Elle n'est qu'une collègue. Tu ne peux pas être raisonnable pour une