Son vœu, mon cœur qui se meurt
l'emmena précipitamment, son dos un mur rigide de désapprobation. Chloé, toujours la demoiselle en détresse,
qui fit trembler toute la maison. Adrien se tenait là, les yeux flamboyants, une tempête brassant der
était un grognement sourd, cha
amer s'échappa de mes lèvres. « Pourquoi ne m'étrangles-tu pa
as. « Je ne t'ai jamais trahi, » murmurai-je, les mots
a mon abdomen, et je suffoquai, mon co
iques, Célia ? Après tout ce que tu as fait ? » Il se pencha plus près, sa voix chargée de venin. « Pourquoi Victor Niel, un
, me volant ma voix. À quoi bon ? Il ne me croira
veux, Adrien. » Je crachai les mots, le défi un
avant que je puisse le faire, il me projeta violemment sur le lit, son corps s'appu
e ma peau, mais ses mots étaient glaçants. « Tu me dégoûtes, C
Sa haine, son dégoût, me transpercèrent,
. « Peut-être, » murmura-t-il, ses yeux froids et calculateurs,
rtelant sa poitrine, mais c'était comme frapper un mur de briques. Je me mordis
et nauséabonde dans mon estomac, me forç
» ricana-t-il, ses yeu
à peine audibles à travers mes dents
ndre. Avec une poussée d'adrénaline désespérée, je le poussai
le lit plus tôt, tomba au sol. Le flacon d'analgés
èrent sur les documents éparpillés.
nique. Je me suis jetée en avant, essayant
, les libérant. Son regard, autrefois froid, se remplit maintenant
stic t
ant sur le sol. Mon secret, exposé,
me regarda à nouveau, son visage un mélange complexe d'émotions q
r le lit. « Un autre de tes tours pathétiques, Célia ? » Sa voix était un coup de fouet
t m'aider. Mais son contact était froid, ses doigts essuyant douce
ourvue de pitié, « ça ne me ferait pas la moindre peine. » Il
u es trop jeune pour une maladie en phase terminale, Célia. Ce
aînée jusqu'au lit, mes doigts cherchant à tâtons le flacon de pilules ab
s'échappant de mes lèvres. Les larmes coulai