Du Tombeau de l'Océan à la Reine
vue d'É
me coinçant les bras derrière le dos. Je me suis débattue, mon cœur battant contre mes côtes, regardant avec horreur l'un des hommes de main massifs de Baptiste leve
lé, les larmes coulant sur mon visage. « C
'est appuyée sur son bras. L'homme de main a continué à frapper, les cris d'Étienne s'estompant lentement en gémissements. Mon
ssé et saignant sur le sol. Baptiste s'est retourné, une sombre satis
is d'étancher le sang qui coulait de ses blessures. « Étienne, reste avec moi ! S'il te plaît ! » Ses yeu
rps. Du sang a fleuri sur ses lèvres. « Je n'ai pas pu... le sauver. Ton
. Ma vision s'est brouillée, et une douleur vive et cuisante m'a déchiré la poitrine. J'ai suffoqué, un son d'étouffement, puis mon prop
se sont ouverts d'un coup, et ma respiration s'est bloquée dans ma gorge. J'étais suspendue en l'air, une corde épaisse me mordant les poignets, me
, les yeux écarquillés de terreur, gémissant hystériquement. «
ses hommes, et à mon horreur, Baptiste, son visage un masque d'angoisse. Mes parents bio
t, l'autre meurt ! Baptiste, tu choisis ta précieuse Chloé ! Et les Arnault, vous choisissez votre
ts. Mes vrais parents. Une lueur d'espoir, un espoir désespéré et insensé, a vacillé en moi. Sûr
compte à rebours. «
à moi. Il était déchiré. Et puis, son regard s'es
! Qua
on torturée, se sont regardés. La main d'Hélène
! Deux
urlé Baptiste,
ié mes parents, pr
brisé. Ils l'avaient choisie. Tous. Ils avaient choisi le mensonge. Ils avaient c
ujours aussi aveugle. Il jouait toujours le héros pour son inn
tion. La douleur, la trahison, la lutte sans fin – tout était fini. Je n'aurais plus à me b
é avec un claq
vent et d'eau, puis le choc glacial de l'océan m