Le froid retour de l'amant déchu
e vue d
ul mot : « Confirmé ». Mon cœur battait la ch
nant. Chaque seconde pas
jours soigneusement roulé, y est entré en premier. C'était la seule preuve
rgent, gravé de nos initiales. J'ai hésité, puis je l'ai arraché, le jetant
nnue. Pâle, les yeux cernés, mais avec une nouvelle lu
i anonyme m'a déposée près du port, un lieu grouillant
tume sombre, se fondant parfaitement dans l'ombre des quais. Il n'
ée d'adrénaline. C'
hone prépayé, que j'avais réactivé juste pour ça, a vibr
Il écourtait son « voyage
ton « répondre ». Une partie de moi, l'ancienne Anya stupid
celle forgée dans la
roisé mon regard, son expression illisibl
laissé tomber le téléphone dans l'
une fois, puis a été avalée par les profonde
e alarme de voiture a retenti au loin. Sa voiture
fiant. Je me suis appuyée contre la rambarde, rega
la liberté semblai
Méditerranée », a dit le contact, sa voix bri
e doux sur mon âme blessée. Une vrai
ue je ne pouvais pas tout à fait me rappeler, des voix
épuisement profond. Je dormais peu, hantée par des rêves vifs
u sentiment de détermination. Je construisais u
'île privée, c'était le crépuscule. L'air
sage gravé d'un mélange d'espoir et d'appréhension. Ses
un bond. Serai
comme s'il cherchait quelque chose de perdu
es larmes montant enfin à
re sa poitrine. C'était une étreinte familière, que je r
fin à la maison », a-t-il
né au plus profond de moi,
omme Hadrien de Val
eulement mon frère. Il était mon véritable fiancé, celui à
ne base de données généalogique. C'était le propre réseau
dit Hadrien, me tenant à bout de bras, s
nastie européenne. Il m'a parlé des fiançailles
ipulation. C'était un lien d'histoire, de fam
ante clandestine, semblait incroyablement dis
Lefèvre. J'étais Anya de Valois