Le syndrome d'Aurélie
t. Damien, l’aîné, garçon assez équilibré quoiqu’un peu flambeur et pas très courageux, terminait une licence en droit. Très beau gosse, héritage de sa mère probablement, se
de la loi ne le branchaient pas, mais alors pas du tout. Un matin, après quelques mois de vie relativement dissolue, squattant la mais
ens-tu f
rd appuyé de son fils vers la porte de communication avec le bureau d’Édouard, se leva et la ferma doucement. Jusque-là Damien ne s’intére
sais pas comm
ue se pa
t… Les hypothèses les plus saugrenues lui traversaient l’esprit.
acquérir une foncti
alement jusque-là ! Aucun doute, Damien cherchait simplement une planque, bien au chaud et à l’abri, dans une entreprise qui, croyait-il, le protégerait jusqu’à la fin
ses vraiment à
in rassura Henriette sur
surtout en parler à Édouard. Mais, auparavant, essaie de définir quel poste
. Très souvent, des héritiers souhaitant succéder à leur père sans en avoir les réelles capacités, ont provoqué des drames familiaux et économiques. Et Chantegros n’était pas une épicerie de quartier dont la disparition ne change pas la face du monde. Des centaines de fami
’une part de plonger son fils dans le grand bain, et surtout, les incidents se multipliant, de l’éloigner du cocon familial. Quelques jours plus tôt, ayant entendu vers deux heures du matin du bruit à l’étage de leur maison, elle croisa une gamine d’une vingtaine d’années, dévalant l’escalier à toute vitesse, vêtue en tout et pour tout d’une chemi
ent est-ell
arcourant, en petite tenue et à pied les trois kilomètres rejoignant la ville, ou bien un automobiliste compatissant la pr
pu la ramene
geste
ne ébauche de solution, et Damien fut convoqué
une Société, implantée à Paris, et dont le but serait la vente, en régio