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Quand l'Amour Devient Cendres Vives

Chapitre 2 

Nombre de mots : 1149    |    Mis à jour : 08/12/2025

e vue d

curable. C'était un amour aveugle, dévorant, qui me rongeait de l'intérieur. Elle m'avait pré

dent". Une nuit que Pascale avait orchestrée avec

on corps tremblant, quand elle m'avait poussée

imer en secret ! » Sa voix était un chuchotement fé

ent sec. J'étais prisonnière. Prisonnière de cette pièce, de cette odeur de s

magnifique. Nos regards s'étaient croisés. Et le reste n'avait été qu'une successi

nt à travers les rideaux. Un bonheur pur, inattendu, m'avait e

ysse

ses yeux clairs me

que tu fais

e. Mon cœur avait fait u

je pen

it levé, ramassant ses vêtements avec une ind

ot. Un mot pour

é. J'étais enceinte. Mon bonheur s'était mêlé à un

dit, sa réaction

rès, n'est-ce pas ?

sur mon ventre plat ave

ne manipu

é les apparences. Puis il était parti. Cinq ans. Cinq ans à l'étranger, me l

loup en moi, lié au sien, me murmurait de l'espoir. Mais le lien

nu. Il y a un mois. A

mur de glace. J'essayais de le toucher, de lui envoyer une pensée, une ém

n regard, que je connaissais si

chée de lui, ma

a de la fièvre, et il tousse beau

nfin posé sur moi,

voyage. Il est fatigué. J

tenait Gérold dans ses bras. Il a

Marie. Elle peu

J'ai insisté, ma voix tremblante malgr

il, un sourire moq

en sorte que Tom ne s'approche pas trop de

e d'eau. La rete

C'est votre fils ! Votre propr

levée, brisée p

ourd'hui ! Vous l'avez vu

n pas, son visa

Toujours à vouloir attirer l'attention. Dahlia est fragile. Et

mot résonnait comme un

s ? Il n'est pas vot

as manipulé la situation pour m'avoir

invisible, se tendre, vibrer, puis se rompre avec un son assourdissant d

intérieur

avec tes manigances. T

éré. « J'ai juste essayé de survivre ! J'ai élevé votre

aurais toujours protégé Dahlia et son

s, mais des balles qui transperçaient mon âme. Je ne sentais

tant de fois,

. J'avais lutté seule pendant cinq ans. Cinq ans à élever notre fils, à essayer de comprendre, à pa

, aux matchs de football. Ulysse le portait sur ses épaules,

désespérément un

des pères et des fils, espérant

e ce mariage. Ils étaient là, dans mon tiroir. Je les avais regardés tant de foi

père l'avait abando

ais plus le l

doigts tremblaient légèrement. Le

aman. Pas de retour

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